Derniers Avis : Donjons & dragons - Page 3

Un méchant sans grand charisme, voulant le pouvoir dans un monde fantaisique (dragons, elfes, orques....). Pour le coup, passons. LA première erreur, fut les dialogues ; complètement déplacés et ou l'humour se noit dans ce qui pourrait faire sourire les bambins de 3 ,ans... Sans quoi, il y avait matière à faire quelques choses ayant une belle envergure et riche en humour, en action et en FX. JE ne parlerais pas du scénario qui emplissent l'histoire avec de jolies quetes, des héros.... (bref, tout ce que l'on peut voir dans le seigneures anneaux ou j'ne passe. De la série B, de pale copie donc. Et je n'en dirais pas plus sur les différentes caractéristiques des nains ou elfes ; qui font sans hésiter penser à la copie du film de P. Jackson. PAs de quoi, attirer les foules ou les amateurs de ses grands films. LEs plus jeunes, débutant avec ce style de fillm ; y trouveront peut être quelques points interessant. Mais une fois, que la patte d'un des grands sera mis en route ; cela ne sera sans doute plus la même. Tout juste divertissant , un dimanche apres midi.

Bon nanard. Bonne comédie! A voir absolument pour passer une soirée fou-rire entre potes!

Je citerai simplement le nom du méchant "Profion" (Irons) pour vous donner une idée du film. Dire que je suis allé le voir au cinoche. Honte à moi.

Bon alors dans la catégorie films foireux, on a là un beau morceau. La liste est vraiment pas mince concernant les nombreuses idioties, imbecilités,, niaiseries pour rester poli.
-Les décors (en carton pate ou effets de synthèse miteux) sont à pleurer, les Dragons sont une véritable insulte au jeu de rôle, de par leur apparence notamment, mais aussi leur pseudo-intelligence.
-Les acteurs sont tous minables, même Jeremy Irons que j'avais pourtant apprécié dans son rôle de Brom dans ce gros navet d'Eragon, me fait chialer. Mention spéciale à la pseudo impératrice vachement mûr pour son âge (du genre la gamine a 12 ans à tout casser et elle gouverne un royaume,tient tête à une bande de vieux gâteux bon la maison de retraite, mais LOLEEEU!!) et qui donne envie de lui coller deux claques après deux minutes passé en sa présence.
-Le scenario est pitoyable, bourré d'invraisemblances, et le titre ne semble être là que pour décorer et attirer le spectateur crédule et/ou fan du jeu de rôle, alors qu'on a plus rien a voir avec la source d'inspiration.
-Quand aux scènes entre guillemets émotions, pas grand chose à sauver spoiler: (comme quand le pote du voleur qui meurt, tué par l'homme de main de Jeremy Irons , ou bien l'histoire d'amour à l'eau de rose entre le voleur et l'apprentie magicienne)


L'heroic fantasy est pourtant mon genre de film préféré, je ne regarde quasiment que ça, et j'en ai vu des films minables, mais là on atteint un degré de débilité et de niaiseries pas possible.
J'en viens d'ailleurs à me demander comment ils s'y sont pris pour réussir à faire passer deux films en guise de suite.
A classer dans la catégorie nanars (lisez donc la chronique sur Nanarland, elle est vraiment hilarante, vous aurez une idée très précise de ce "truc").
Bref, une sorte de pseudo Seigneur des Anneaux bien foireux, à ne regarder que si vraiment il n'y a rien d'autre à la télé.

Un des pires films existant. Effrayant de voir toutes les prestations à la ramasse, malaise de voir Jeremy Irons dans une position calamiteuse, du jamais vu. Sortez du donjon et fuyez !

Bon, après La revanche des mortes vivantes j’en profite pour m’attaquer à un autre sacré morceau (dans le mauvais sens du terme) du 7ème art. Donjons et dragons est un très mauvais film, pas nullissime mais enfin, pas loin. Le casting d’abord va directement dans le mur du cabotinage outrancier. L’acteur jouant Ridley manque par ailleurs totalement de charisme, ce qui est aussi le cas de Marlon Wayans, mais lui est tellement caricatural dans son rôle de bouffon aux blagues oiseuses qu’on n’oublie qu’il n’a aucune présence. Jeremy Irons n’a décidément pas de chance pour sa part, puisque dans ses tentatives de jouer dans des films d’heroic-fantasy il se plante à chaque fois, et il récidiva avec Eragon. Dommage qu’il ne se soit pas dégoter un rôle dans The hobbit pour conjurer le mauvais sort, à moins que ce soit lui qui porte malchance. Il faut dire qu’il fait plutôt pitié le pauvre sous la direction de Courtney Salomon. La palme du ridicule reviendra tout de même au redoutable Damodar avec son rouge à lèvre bleu, ses ongles de femmes et ses « anguilles » sortant des oreilles par moment ! Le casting féminin relève un poil le niveau, mais enfin avec des rôles très médiocrement écris il ne peut pas faire des miracles.
Coté scénario c’est le calme plat. L’univers d’heroic-fantasy n’est pas creusé, il reste désespérément vide, on attend des donjons, en vain, et l’histoire est d’une banalité affligeante. Elle manque totalement d’envergure, et pour le genre c’est quant même frustrant.
Visuellement le film est plutôt laid. C’est vrai que les effets spéciaux sont moyens, voir pas top (en partie justifié par un budget en deçà du Seigneur des anneaux par exemple avec lequel il est souvent comparé), mais le pire reste les décors ! Aucun décors naturels ne vaut le détour, et les reconstitutions sentent plus d’une fois bons le carton pâte ou l’image de synthèse. A noter aussi des costumes pas folichons voir franchement banals, manquant de la fantasy visuelle qui aurait pu venir rehausser un peu ce métrage. Les scènes d’action enfin sont peu voir pas intéressantes, car mal filmées, et pâtissent du coup de l’espèce d’engourdissement général dont souffre le film.
Bref, Donjons Dragons est un film vide, dans lequel il ne se passe que des banalités, et qui ne transmet surtout aucune émotion, rien. Mal fichu visuellement, il est plus d’une fois ridicule et les apparitions de Bruce Payne grimé en une sorte de drag queen est d’un surréalisme rare ! Le budget est modéré, certes, pour ce type de production, mais honorable et il y avait en tout cas franchement matière à faire mieux, d’autant que l’on aurait pu pardonner aux effets spéciaux, mais pour le reste, non, il ne faut pas pousser mamie dans les orties. Ce n’est pas bon et le budget n’y est pour rien.

Merci! Mais non merci! Déjà vu ! Et quand je me rappelle de certains films que je vis par le passé en compagnie de peu de monde. Je me dis merci mais non merci.ce moment Mais on ne nous aurait pas déjà fait le coup avec celui ci." Suicide King' s !"...Ou celui là " Le Grand Bleu"... Ou encore celui là "Quand Harry rencontre Sally"...Mais ce ne sont pas les seuls exemples d' oeuvres cinématographiques utilisant des produits culturels basiques et venant de la contre culture qui sont mal adaptés et qui nécessitent une connaissance plus poussée du sujet dont ces personnes parlent.

Personnellement je ne me permets pas de critiquer les oeuvres en elle même sur le moment! Mais le ressenti que j' en ai! Tout de suite, là maintenant, et les sensations et émotions qu' elles me rappellent.

Aprés je sais que ma critique peut être retourner contre moi mais je ne tiens pas à revoir ce genre d' horreur.
Ou bien il faudra bien le signaler: Pour public averti et âmes sensibles s' abstenir.

Je crois qu' il y a un ou plusieurs dictons populaire des familles qui disent un truc du genre:

" Inutile de sortir les violons, la larme n' est pas loin; Quand on a le coeur au bord des yeux et sur la main "

Quoi qu' il en soit s' il n' existe pas il faudrait l' inventer.

La plus grosse daube de l'histoire du cinéma ! Avec Beowulf :)

Que dire de ce film ignoble...
Un antagoniste portant un nom pourrit ( Profion)
Un protagoniste voleur qui découvre en 2mn et comme par hasard sans le moindre danger, un artefact vraiment ultime dans le monde AD&D "Le sceptre de contrôle de dragon d'or".... oui oui ... et moi j'ai trouvé hier dans un Kinder le Jeu de cartes merveilleuse...
Un protagoniste voleur qui dérouille un guerrier au corps à corps..... ok ben la prochaine fois que je crée un perso pour AD&D je m'en souviendrais...
Un dragon rouge enfermé dans une grotte qui meurt écrasé comme un gland sous une herse...Le dragon rouge n'est pas censé être la race de créature doté d'une intelligence supra normal ??? avec des sorts très puissants ???

Bref ce film est une insulte au JDR AD&D à éviter.

De bons effets spéciaux, mais une histoire qui s'essoufle bien vite. Les acteurs sont faibles. Petit, il s'avère distrayant. Ados, il s'avère affligeant.

Une daube comme j'en ai rarement vu , rien à sauver de ce nanar , nul de chez nul .

Scénario, décors, jeu d'acteurs, effets spéciaux (il est vraiment fait en 2000!!)... J'ais jamais vu un ratage aussi gros. Le pire c'est qu'il se prenne au sérieux dans leur navet. Je n'est même pas pu aller jusqu'au bout.
Le plus gros bide que j'ais pu voir de ma vie.

Pourtant le titre était très accrocheur, pour personnellement aimer ce genre d'univers.

film digne d'un téléfilm M6 de série B , médiocre et présentant les clichés du genre archi-vus dans ce genre de film

Un film super divertissant qui grâce à de nombreux anachronismes se joue des clichés de nos sociétés modernes. La réalisations et les effets spéciaux sont honnêtes.
Pour les fans de nanars qui s'assument.

Donjon et Dragons, le jeu de rôle le plus emblématique ? Probablement, néanmoins c’est un constat tout à fait différent qui s’impose face à sa transposition cinématographique ; aussi nous remercierons de tout cœur Courtney Solomon, qui nous gratifie en décembre 2000 d’une véritable … purge mythomane. En ce sens il est à souligner que les boitiers DVD trompent facilement la vigilance d’un enfant … dont l’esprit naïf ne parvient à saisir l’incohérence tangible entre les propos d’avant-goût tenus et le contenu du long-métrage même … mais aujourd’hui, la duperie n’est plus de mise ;D , alors les (je cite) 5 années de préparations et près de 500 effets spéciaux numériques NE TROMPENT PLUS PERSONNE. Plus sérieusement, ces fameux effets visuels brillent de par leur laideur (il est à noter que les décors ne rattraperont pas le coup), tandis que la réalisation ne manque à aucun moment l’occasion de nous noyer à nouveau sous ceux-ci (cf. les multiples plans de la cité de je ne sais plus quoi) ; en bref les 35 millions de dollars de budget, c’est à se demander où ils sont passés … bien entendu, cet espèce de nanar de fantasy (un an plus tard sortira la Communauté de l’Anneau, dieu soit loué) arbore un scénario à faire pâlir d’effroi le plus rôdé des cinéphiles, celui-ci tenant en l’espace de deux ligne (la voix-off débitant son baratin indigeste en introduction de Donjon et Dragons résume à merveille cet état de fait), et s’offrant le luxe d’une multitudes d’incohérences et autres ficelles grosses comme le bras. Tout ceci n’est donc pas palpitant pour un sous, et une pause intermédiaire sera bienvenue afin de récupérer de cette intense fatig… que dis-je, de cette torture manifeste et pourtant nécessaire (c’est un dérivé de masochisme je suppose). Sinon la plus grande force (à prendre avec des pincettes !) du film tient en ses personnages, rassemblement hétéroclite de figures ridicules, inexpressives ou encore sans aucune once de crédibilité ; ainsi on trouve : le héros cliché (évoluant de simple voleur à guerrier trop cool, sans compter sur les épées qui crépitent) ; la fille qui n’est pas la copine du héros mais qui le devient ; le fidèle compagnon du héros ayant oublié qu’il s’agit là de Donjon et Dragons et non de Scary Movie ; le nain (plus inutile tu meurs) ; ou encore le larbin du grand méchant qui se promène avec un faciès figé, une cape trop dark et … et … du rouge à lèvres >_< (une sorte de bleu) … en parlant de grand méchant, sachez que ce fameux Profion, entre autre campé par Jeremy Irons (p_q … la plus grande énigme de ce film mes amis), brille de par son absence de charisme, et ce du fait d’une composition totalement excentrique et décalée. Pour conclure outre une fin notablement tirée par les cheveux et on ne peut plus fadasse, ce film ne manquera pas de vous émerveiller de par son potentiel nanarnesque.