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    Julie (en 12 chapitres)
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    3,9
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    242 critiques spectateurs

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    arthurmartin
    arthurmartin

    4 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 octobre 2021
    Gros mansplaining aussi niais qu'incompréhensible à la fin ! Au demeurant les trois premiers quart sont plus qu'agréables et il y a cette scène incroyablement belle de rencontre via le jeu des infidélités acceptables. Une merveille
    Gilles_Tisserand64
    Gilles_Tisserand64

    2 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 octobre 2021
    Julie est drôle. Julie est émouvante. Julie est d'une justesse folle. Julie est cruelle aussi, parfois. Bref elle est vivante. Un moment rare de cinéma !
    selenie
    selenie

    6 241 abonnés 6 184 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 octobre 2021
    D'emblée, on le sait, ce genre de découpage narratif qui fait une sorte de succession de courts métrages donne toujours un résultat inégal. Ainsi on constate que les différents segments ont des durées très très variables, ce qui est tout aussi peu judicieux car les plus courts sont quasi tous peu intéressants voir même carrément anecdotiques. Le choix de la voix Off s'avère aussi agaçante que superflue. Le film reste particulièrement bavard, et trop souvent pour des propos peu passionnant ou si convenus avec sa dose de clichés (bobo artiste, lesbienne, rapport au père, soirée drogue... etc...), sans compter des passages obscurs ou plutôt qui laissent perplexes (certains qualifieront de malaisantes) comme la partie bad trip. Il y a quelques scènes assez magiques comme la traversée de Oslo dans une ville immobile, l'alchimie entre l'actrice et ses deux partenaires offrent bien quelques instants de grâce mais dans l'ensemble le film est trop long, trop inégal, trop déjà vu voir même trop cérébral ce qui limite les émotions surtout dans la première partie. Une grande déception...
    Site : Selenie
    Cinephille
    Cinephille

    156 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 octobre 2021
    Finalement pas si emballée que ça par cette Julie notamment par l’omniprésence de Renate Reinsve qui semble faire une bande demo de toutes les mimiques et émotions possibles. Anders Danielsen Lie m’a paru nettement meilleur dans une plus grande sobriété. Les chapitres sont eux aussi inégaux et la fin assez décevante. En conclusion c’est un film plaisant avec de beaux passages mais pas le chef d’œuvre vanté par beaucoup.
    Phil Du
    Phil Du

    2 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 novembre 2021
    Film Norvégien en douze parties . on voit bien OSLO. .Film assez lent et parfois osé. ,scène pouvant etre choquante .

    A voir si vous voulez regarder un film pas Français.
    AccordeoNNN
    AccordeoNNN

    11 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 octobre 2021
    Je comprends pourquoi l actrice principale Renate Reinsve a reçu le prix de l'interprétation féminine au Festival de Cannes 2021, cette actrice est d une telle authenticité dans sa façon d'exprimer une large palette de sentiments humains !

    Un film complet, et complexe sous ses airs simples, sur de nombreuses dimensions de la vie…. Ici norvégienne mais c est plus généralement occidental.
    Impossible de tout aborder ici.
    Déjà, sur la pression sociale que subissent des jeunes adultes sur la vie qu il est jugé "bien" et "normale", de mener aujourd'hui .
    Dans une société qui ne considère pas encore suffisamment la dimension de la psychée humaine, et qui presse insidieusement à être productif (travail, couple, enfants) avant de prendre le temps nécessaire pour se connaître soi même, s estimer, s aimer, afin d avancer dans la vie avec plus de sérénité et de conscience. Comme ici, cette jeune femme qui ne s aime pas suffisamment, et qui a besoin de temps et d experiences pour maturer, s engager, et être pleinement en lien avec les autres et elle-même….
    je vois aussi un lien entre les problèmes de santé d Aksel et le mercantilisme. Je ne sais pas si le réalisateur avait cela en tête, mais symboliquement, le pancréas est en lien avec la liberté, la maitrise de soi, la gestion émotionnelle et un conflit vécu avec amertume en lien avec l'argent peut entraîner une pathologie de cet organe.
    Il y a aussi le sujet des familles monoparentales, et des fragilités que cela peut entraîner chez les enfants….
    Au final , je dirais que c'est un beau film sur le chemin vers la vraie Liberté....

    J'ai bien apprécié l'originalité des 12 chapitres…
    Ufuk K
    Ufuk K

    518 abonnés 1 473 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 octobre 2021
    " Julie (en 12 chapitres)" présenté cette année au festival de Cannes est un drame romantique qui finit par émouvoir . En effet même si une ambiance détendue est abordé une longue partie du film , le portrait de cette trentenaire norvégienne brillamment interprété par Renate Reinsve ( prix d'interprétation cette année au festival de Cannes) au fil du temps bouleverse par sa sincérité, simplicité et sa mélancolie représentant bien la femme moderne de notre époque occidentale .
    Francois Descols
    Francois Descols

    9 abonnés 58 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 octobre 2021
    Les palpitations du cœur d'une trentenaire vers l'épanouissement. Film tout en nuances de gris sans aucun manichéisme.
    L'actrice mérite amplement son prix d'interprétation féminine reçue à l'unanimité du jury de Cannes.
    remoche
    remoche

    15 abonnés 34 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 octobre 2021
    Un film d'une grande beauté, d'une grande justesse aussi. On rit (bcp), on pleure aussi (un peu). Prix d'interprétation amplement mérité pour Renate Reinsve qu'on ne devrait pas tarder à revoir (partout).
    Juliette Schrameck
    Juliette Schrameck

    3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 octobre 2021
    Un film magnifique, émouvant, drôle et intelligent. L'actrice est sublime et a bien mérité son prix à Cannes!
    Regine C.C
    Regine C.C

    36 abonnés 226 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 octobre 2021
    Ce film évoque les difficultés à trouver sa voie quand on est une jeune femme européenne dans un mode de vie qui s'est imposé un peu partout. Il faut être mince, sportif, branché. Les habitations doivent propres, rangées, épurées alors que les difficultés à gagner sa vie sont croissantes. Ici en l'occurrence, on finit serveur dans un café ou vendeuse en librairie malgré des années d'étude à décrocher un diplôme. Il y a une angoisse existentielle inavouée qui rend difficile tout projet familial s'imposant comme une évidence pour nos aînés et toute prise de risques. Dans ce contexte, vont s'affronter l'amour vécu comme salvateur surmontant tous les obstacles et la maladie destructrice. Au final comme un bateau après la tempête, on finit par trouver son chemin.
    Loïck G.
    Loïck G.

    336 abonnés 1 670 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 octobre 2021
    Assez circonspect sur l’intérêt d’un tel étalage pour un portrait de femme que Renate Reinsve assume joliment, avec talent, sur une palette de sentiments très large. Son prix d’interprétation à Cannes 2021 n’est pas usurpé , mais si l’auteur veut nous faire comprendre qu’un sujet usé jusqu’à la corde ( la quête amoureuse ) peut être transcendé par la magie de la mise en scène, c’est une réussite. Qui s’éternise … Le choix du sexe, du travail, de la responsabilité individuelle immanquablement liée un jour à celle de la collectivité, Joachim Trier nous fait une sorte de déclin de l’empire norvégien dans sa phase intermédiaire. Sur le terrain des sentiments diffus qui virevoltent au gré de ses humeurs, de ses sensations, de son cheminement personnel le film me parait tirer le meilleur parti d’un récit par ailleurs très classique.
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    Cinévore24
    Cinévore24

    342 abonnés 705 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 octobre 2021
    L'histoire de Julie, jeune norvégienne de presque 30 ans, indécise jusqu'au bout des doigts, préférant vivre le jour présent plutôt que se projeter dans un avenir qu'elle imagine flou, que ce soit professionnellement comme affectivement.

    Fausse comédie romantique, le film nous parle des errances et des surprises de la vie, qu'elles soient positives ou négatives.
    Parfois drôle, jamais lourd. Parfois touchant, jamais tire-larmes. Parfois cru, jamais tape-à-l’œil.

    Malgré des chapitres parfois un peu inégaux, une petite capsule de tendresse (souvent), de cruauté (parfois) et de liberté (toujours) qui n'en fait jamais trop, et ose quelques belles trouvailles de mise en scène au passage.

    Et au milieu de ce récit à l'esprit mélancolique, la rayonnante Renate Reinsve qui irradie le film de par sa présence, ses doutes, ses coups de gueule et ses rires. Rêveuse, imprévisible, solaire, et très justement récompensée par le prix d'Interprétation Féminine au dernier Festival de Cannes. 7,5/10.
    RedArrow
    RedArrow

    1 665 abonnés 1 529 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 octobre 2021
    "Julie (en 12 chapitres)" fait partie de ces films dont je sais qu'ils ont tout pour que je les adore avant même de les voir. Au-delà des très bons retours critiques, la récompense cannoise louant l'interprétation de son actrice principale ou le fait que je suis client du cinéma de Joachim Trier, il y a ce pressentiment, ce petit truc indicible qui me fait dire par avance que ça sent bon l'entrée immédiate dans mon top ciné de l'année.

    Et j'ai effectivement beaucoup aimé "Julie (en 12 chapitres)" (plus un prologue et un épilogue)... mais pendant seulement dix de ses chapitres.

    D'abord, c'est incontestable, il y a la révélation Renate Reinsve, cette actrice absolument géniale et dont tout être humain se doit de tomber sous le charme dès les premières minutes en film (je vous mets au défi de lui résister). On en vient même à se demander qui d'autre qu'elle aurait pu si parfaitement incarner, et avec un naturel aussi incroyable, Julie, cette presque trentenaire poussée par le temps et certains diktats à s'enfermer dans un choix de vie prédéterminé là où elle se refuse à sacrifier sa soif intarrissable de liberté.
    Cela se traduit dans le film par une mosaïque de moments -de chapitres- où Julie tâtonne dans sa quête de soi, où elle n'est jamais dans le bon timing de la relation amoureuse adéquate vis-à-vis de ses aspirations sentimentales et où les premiers instants passionnés se transforment en prisons sur le long-terme appelant une nouvelle évasion de sa part pour espérer toujours mieux. Et, même si ces erreurs provoquent bien sûr une certaine détresse chez la jeune femme, elles sont sans cesse contrebalancées par la lumière qui irradie d'elle à chaque nouvel espoir d'épouser un bonheur inédit et peut-être enfin immuable.
    Cet alliage d'instants à forte variante émotionnelle permet à Joaquim Trier d'offrir un éventail de séquences dont on sort toujours avec un énorme sourire aux lèvres, comme cette "pause" romantique et un trip où la drôlerie se dispute à des images cauchemardesques, mais aussi lors de passages en apparence plus anodins, un week-end chez la belle-famille ou les simples échanges d'une nouvelle rencontre, des petits riens dont le réalisateur parvient à exalter l'importance capitale qu'ils représentent à travers les yeux de Julie.
    Bref, tout ce que j'attendais de solaire, d'irrésistible et d'intelligent sur le plan émotionnel dans ce portrait de femme moderne en pleine hésitation sur le cap à prendre m'a pleinement réjoui pendant les trois-quarts du film.

    Et puis, lorsque est venu le temps de faire atteindre symboliquement l'âge de la raison à Julie, quelque chose s'est enrayé.
    Peut-être que cette dernière partie du film tombe dans l'excès à mes yeux ? Peut-être fait-elle appel à une concomitance d'événements trop faciles -scénaristiquement parlant- dans le simple but de faire gagner un énorme level-up de maturité à Julie ? Peut-être cela provient-il de ma propre personne en tant qu'éternel résistant à l'âge adulte ?... Mais, une chose est sûre, je suis resté étonnamment hermétique à ces deux derniers chapitres. Quelques dialogues m'ont touché subrepticement bien sûr, je ne le nie pas, et la fin du chemin est cohérente vis-à-vis de l'évolution de Julie et de ses relations mais, là où j'attendais d'être submergé par une vague d'émotion en forme de parfaite conclusion à tout ce que le film m'avait fait traversé auparavant, je suis resté de marbre, majoritairement impassible à ce qui se déroulait sur l'écran.

    C'est donc sur une note un peu amère que j'ai quitté ces derniers chapitres passés avec Julie, les souvenirs du bonheur partagé avec les précédents l'emportent évidemment sur ces derniers instants mais, même si j'ai beaucoup aimé "Julie (en 12 chapitres)" globalement, il me restera toujours cette petite déception de ne pas l'avoir adoré autant que je l'avais présagé.
    En espérant qu'un deuxième visionnage dans quelques temps répare cela...
    cosette2010
    cosette2010

    51 abonnés 112 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 octobre 2021
    Encore une trentenaire égocentrique qui se cherche... et on est sensés s'émouvoir. C'est d'une platitude. Heureusement que cette longue actrice est jolie à regarder, mais 2 heures c'est bien trop long.
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