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    Julie (en 12 chapitres)
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    242 critiques spectateurs

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    Jean-marc B
    Jean-marc B

    7 abonnés 22 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 octobre 2021
    Beaucoup de mal à entrer dans cette histoire. Les 12 chapitres égrenés m'ont permis de prendre patience avant l'épilogue.
    Tout çà pour çà
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 713 abonnés 12 426 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 janvier 2024
    La belle surprise du Festival de Cannes 2021! On aime la finesse et la limpiditè de la mise en scène qui ne visent jamais à l'èpate! On aime aussi l'originalitè de son scènario, divisè en plusieurs chapitres, et le fait qu'il ne s'inscrit dans aucun registre particulier! il combine brillamment drame et comèdie! Le dèfi ètant de trouver le bon èquilibre entre les choix et les hèsitations, les envies et les dèsirs de Julie! En l'espace de quelques secondes, avec, à peine deux regards, Renate Reinsve crèe l'èvènement, utilisant toutes ses caractèristiques (charisme, sensualitè, sensibilitè, humour...), en accord avec les nècessitès de son personnage! Elle irradie les chapitres, comme touchèe par la grâce, et il est difficile de s'en remettre la projection finie! En rèsulte un portrait de femme très rèussi et un prix d'interprètation fèminine amplement mèritè! Le tout est soulignè par une bande son en osmose avec cette trentenaire en quête de libertè...
    Jorik V
    Jorik V

    1 271 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 janvier 2022
    S’il y a bien une chose que l’on ne reprochera pas à ce « Julie (en 12 chapitres) » c’est bien sa modernité. Une modernité de ton, une modernité de sujet, une modernité de mise en scène et une modernité de traitement. Un film parfaitement dans l’air du temps en somme et une œuvre qui nous parle de la vie avec un grand V. En effet, toute personne (homme ou femme) se retrouvera un petit peu dans les pérégrinations, les choix et les envies de l’héroïne, celle-ci étant l’exemple parfait d’une jeune femme de notre époque. Et dans l’ensemble, c’est ce côté très contemporain qui est l’atout majeur du long-métrage. Cependant, il se heurte à un problème inhérent à sa construction et à son montage, en l’occurrence le fait de découper le film en chapitres comme son titre l’indique. Un peu comme dans la plupart des films à sketches où la qualité de chaque segment est variable, celle des chapitres du film est loin d’être équivalente. Et si certains d’entre eux nous emportent sans problème, d’autres se révèlent plus mitigés voire clairement ennuyants.



    Et on peut noter que la qualité des différents segments baisse au fur et à mesure que le film avance. Comme celui-ci fait plus de deux heures, le dernier tiers nous apparaît quelque peu longuet et plus fastidieux, la légèreté payante des débuts faisant place à une mélancolie voire un aspect tragique moins emballant. En effet, sur ces versants, Joachim Trier se révèle moins pertinent, partant vers plus de psychologie (lourde) et de drame (peu émouvant). Il en résulte de ce « Julie (en 12 chapitres) » un constat nuancé et en dents de scie. En revanche, sur un palmarès cannois quelque peu discutable et étrange l’an passé, on ne peut que louer et acclamer le Prix d’interprétation féminine reçu par Renate Reinsve. C’est pleinement mérité pour ce qui s’apparente clairement à la révélation d’une comédienne. Elle illumine le film à chacune de ses bobines grâce à son naturel désarmant affiché dans chacune des situations où elle apparaît. Au point même de faire de l’ombre à ses partenaires. Le film porte le nom de son personnage et c’est une évidence comme on en voit peu!



    Très inspiré par la Nouvelle Vague, Trier nous gratifie d’une mise en scène parfaitement limpide qui semble réinventer ce courant. A la fois frivole et appliquée, sobre et sophistiquée, posée et aérienne, sa réalisation impressionne comme lors de cette séquence inoubliable où Julie vit la rencontre avec son amant alors que tout autour d’elle est arrêté. Un coup de foudre n’aura que très rarement mieux été mis en images. Mémorable. Mais il se loupe aussi parfois, comme lors de la séquence avec les champignons hallucinogènes. Les traits d’humour sont rares ou légers mais ils fonctionnent et le cinéaste n’a pas son pareil pour croquer les banalités de la vie à l’image en leur donnant un potentiel cinématographique certain. A la fois comédie, drame, chronique et film d’amour, son œuvre est riche et épingle nos sociétés et leurs vices avec beaucoup d’acuité et de pertinence. « Julie (en 12 chapitres) » aurait pu être le film d’une génération si Trier avait un peu coupé dans le gras (notamment dans la dernière partie) et s’était empêché ce découpage inutile qui sape la fluidité de l’ensemble. Un beau film imparfait qui pourrait marquer son époque s’il avait été plus simple et moins avide de la reconnaissance critique.



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    Cinemadourg
    Cinemadourg

    767 abonnés 1 519 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 octobre 2021
    S'il n'y avait qu'une seule chose à retenir de ce film norvégien, c'est la présence lumineuse de l'actrice Renate Reinsve, véritable atout coeur de ce drame, clôturant à cette occasion la trilogie d'Oslo de Joachim Trier : "Nouvelle Donne" (2006) puis "Oslo, 31 Août" (2011).
    Nous allons ici suivre Julie (jeune trentenaire) dans ses hésitations amoureuses et professionnelles, et tout cela en 12 chapitres (avec prologue et épilogue), à la façon d'un roman bien organisé.
    Tel le vol un peu fou d'un papillon tout juste né, Julie tâtonne dans ses choix de couple et dans ses choix de métiers.
    Cette jeune femme semble pourtant tout avoir pour elle : intelligente, brillante dans ses études, ravissante, curieuse, surprenante, audacieuse, sensible...
    C'est surtout une passionnée, amoureuse de la vie au sens large, et c'est bien ce qui l'empêche de véritablement construire quelque chose de stable.
    Le destin va se charger de la faire mûrir et de lui donner enfin quelques certitudes...
    Pas trop de longueurs, mais pas véritablement d'émotions fortes non plus : c'est tout de même une belle bouffée de fraîcheur venue de Norvège !
    Charmant !
    Site CINEMADOURG.free.fr
    Cinephille
    Cinephille

    156 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 octobre 2021
    Finalement pas si emballée que ça par cette Julie notamment par l’omniprésence de Renate Reinsve qui semble faire une bande demo de toutes les mimiques et émotions possibles. Anders Danielsen Lie m’a paru nettement meilleur dans une plus grande sobriété. Les chapitres sont eux aussi inégaux et la fin assez décevante. En conclusion c’est un film plaisant avec de beaux passages mais pas le chef d’œuvre vanté par beaucoup.
    Audrey L
    Audrey L

    636 abonnés 2 580 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 novembre 2021
    Julie (en 12 chapitres) est un honnête film norvégien découpé en douze chapitres (pas de surprise), un prologue et épilogue sur la vie de Julie (toujours pas de surprise), une jeune femme qui doute d'à peu près tout, comme tout être humain, somme toute. Faire médecine ou suivre son envie d'être photographe ? Rester avec un homme plus âgé (et souffrir du décalage de l'horloge biologique) ou partir avec un autre plus jeune, mais qui nous comprend peut-être moins bien ? Et surtout : être mère de suite, plus tard, ou pas du tout ? Toutes ces questions font évidemment de nombreux échos dans nos petites têtes de spectateurs (surtout spectatrices du même âge), et l'actrice principale Renate Reinsve nous y aide vraiment : on s'identifie immédiatement à son personnage, joué avec finesse et envie. Le Prix d'interprétation féminine de Cannes est mérité (même si, subjectivement, on l'aurait plutôt donné à une certaine Agathe... Mais on comprend quand même tout à fait le choix de Renate, très crédible et sensible en Julie). Seulement, là où Julie (en 12 chapitres) pêche davantage est dans son rythme très inégal. On s'est ennuyé dans l'introduction et dans les premiers chapitres, on a admiré l'audace des séquences "de cinéma" au milieu du film (le magnifique rêve de Julie qui "met toute une ville sur pause" avec un simple interrupteur, l'étrange trip sous champignons qui fera au moins plaisir aux profs d'analyse filmique), et en repassant dans un final très drama et bavard, on a replongé dans une dernière impression moins enthousiaste que la plupart des critiques presse (les échos aux festivals qu'on a arpenté étaient dithyrambiques). Il n'en reste pas moins que le film norvégien de Joachim Trier s'offre tout entier à la spectatrice (ou au spectateur) qui a les mêmes questions que Julie (vraiment, désarmante Renate Reinsve) sur sa propre vie et comment la gérer, se retrouvant un peu comme devant un meuble à monter (suédois, cette fois-ci) sans mode d'emploi. On essaie, on doute, on se trompe, mais on finit toujours par apprendre à s'en sortir, et c'est bien ça, Ikea et la vie.
    Cinememories
    Cinememories

    482 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 novembre 2021
    C’est à Oslo que tout a commencé, c’est à Oslo que tout continue. Joachim Trier, qu’on le connaisse assez pour sa sensibilité ou qu’on le découvre avec cette pépite automnale, nous livre la pleine puissance d’une comédie romantique, portée par les amours et les maladresses d’une femme libre. Mais ce ne sera pas apporté dans le même bouquet de conventions, où les étapes des héros s’avèrent souvent aussi prévisibles que redondant. Avec un peu de pertinence et une âme sulfureuse à l’écriture, nous arrivons à nous projeter dans ce quotidien ou ce segment de vie, qui propulse l’héroïne dans une quête de soi, une quête de sentiments.

    Julie est prodigieuse et prometteuse dans tout ce qu’elle touche. Mais c’est au détour de cette ascension, convenue par le mode de vie qu’elle entretient, qu’elle change de carrière, comme elle changerait de partenaire amoureux. Sur le ton d’un humour sincère et finement écrit dans les dialogues, Renate Reinsve incarne magnifiquement toute la mélancolie qui s’empare du personnage. Le véritable pilier du récit, c’est bien elle, à l’aise dans ce registre tantôt exaltant, tantôt étouffant. Le temps devient alors un enjeu qui se décline sous diverses formes, pas uniquement pour elle, mais également pour son entourage, d’abord plus âgé et ensuite plus impulsif. De la même la manière, le récit oscille entre la passion de Julie et sa réflexion d’ordre existentielle. Le réalisateur norvégien choisit donc de l’assortir à deux hommes, dont le portrait reflète évidemment les limites de ses angoisses et les limites de ses émois.

    Le chapitrage accentue alors les moments forts d’une Julie, qui gagne à se construire une conscience, avant même de penser à brosser son identité. Elle se réinvente à chacune de ses apparitions et revendique cette flamme qui lui échappe, qui l’effraie, mais qui la fascine. En se collant à elle, elle se brûle, mais ne sombre pas dans une fièvre malsaine, où les remords des héros traditionnels auraient joué la carte de la nostalgie miraculeuse. En ponctuant l’intrigue dans l’air du temps et en admettant un décalage entre sa raison et les gestes qu’on feint de réprimer, Julie erre dans un tunnel, qu’elle traverse avec comme seul guide son indépendance. Ce serait une erreur de lui laisser la solitude gagner un cœur plein de promesses et d’extases, tandis qu’Aksel (Anders Danielsen Lie) illustre son ego dans des planches et qu'Eivind (Herbert Nordrum) perd toute notion hallucinatoire. Ce sont des paramètres qui sont servis par une mise en scène audacieuse et éclairés par le ciel d’une ville, qui assiste aux méandres de la vie. L’un comme l’autre finit par explorer les failles de Julie.

    De « Oslo, 31 août » à « Thelma », Trier a su élargir son éventail de nuances et « Julie (en 12 chapitres) » (Verdens verste menneske) en serait l’exemple le plus illustratif. Cela ne reste pas moins saisissant et parsemé d’une volonté de réinterpréter le bouleversement de soi, qui ne se substitue jamais aux étincelles d’espoirs, qui déchirent le cœur de Julie. On rit, on pleure, on fatigue, mais mon avance, parfois en courant, souvent en hésitant, mais une chose est sûre, c’est que le monde ne s’effondre pas autour d’elle, il ne fait que rester en suspension, jusqu’à ce qu’elle souffle un peu pour elle-même.
    Ufuk K
    Ufuk K

    518 abonnés 1 473 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 octobre 2021
    " Julie (en 12 chapitres)" présenté cette année au festival de Cannes est un drame romantique qui finit par émouvoir . En effet même si une ambiance détendue est abordé une longue partie du film , le portrait de cette trentenaire norvégienne brillamment interprété par Renate Reinsve ( prix d'interprétation cette année au festival de Cannes) au fil du temps bouleverse par sa sincérité, simplicité et sa mélancolie représentant bien la femme moderne de notre époque occidentale .
    cinono1
    cinono1

    301 abonnés 2 055 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 mai 2022
    Le film repose beaucoup sur son actrice qui est plus mignonne que bonne comédienne. Ses tribulations n'ont rien d'original, disserter sur les fellations ou les demi érections n'amène pas de profondeur. Le principal reproche qu'on peut faire au film, c'est que tout le monde y parle de la même manière, quel que soit les situations, tout le monde a la même sensibilité. Le film est au fond programmatique et ne dépasse pas son sujet, celui d'une fille à un carrefour de sa vie. Heureusement, il y a de belles idées de mise en scène, une très belle photo lumineuse, et on profite à plein des décors norvégiens. Mais son côté artificiel est rédhibitoire.
    tupper
    tupper

    132 abonnés 1 378 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 octobre 2021
    Sous ses abords de simple comédie romantique ce film se révèle d’une grande profondeur et d’une grande justesse sur les divers thèmes qu’il aborde : la difficulté à trouver un sens à sa vie, la peur de la mort et de la trace que l’on laisse, la pérennité de l’amour,… Passionnant et beau. La réalisation subliment la ville d’Oslo et les propos d’interprètes qui collent à merveilles à leur rôles.
    ANDRÉ T.
    ANDRÉ T.

    80 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 octobre 2021
    Difficile de bien parler du film: L’histoire d’une jeune femme qui se sous-estime et qui a du mal à choisir son chemin;
    professionnellement comme dans sa vie sentimentale.
    Ce pourrait être ennuyeux mais on est de plus en plus embarqué dans son histoire….Sans doute grâce à la comédienne….
    ….mais plus encore par la finesse psychologique du réalisateur qui dissèque les personnages.
    Dans une atmosphère de légèreté, on suit en priorité la trajectoire d’une jeune femme libérée
    puis l’histoire s’assombrit et on continue à suivre l’évolution de Julie, entre légèreté, poésie, vie concrète et pragmatisme.
    Un grand film intimiste
    NotThatYouThink
    NotThatYouThink

    40 abonnés 268 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 mars 2022
    J'ai été touché par la sincérité de Julie (Renate Reinsve) très naturelle, libre dans sa manière d'être, de penser et de s'exprimer, une singularité mise à l'epreuve par la complexité de la vie et de ses émotions. Son personnage est d'une sensualité incroyable, qui perce l'écran. Pour le scénario, il nous amène sur des scènes pleines de sincérité, parfois de poésie spoiler: (La soirée tape l'incruste avec la rencontre de Eivind, le monde figé pour le retrouver, la poignante rupture entre Aksel et Julie, l'éco-relation de Eivind et Sunniva, l'excellente scène loufoque suite à la prise des champis qui met en exergue tous les doutes de Julie)
    .
    Sur le dernier tier, le film prend une autre tournure et ralenti aussi bien que la vitesse de défilement des chapitres s’accélère, c'est là que le titre original en norvégien ou anglais prend tous son sens "La Pire Fille du Monde" (au lieu du banal titre français "Julie en 12 Chapitres"), mais me laisse un goût amer. L'histoire change de ton, elle n'est plus centrée sur l'instant présent, mais dans le passé des choix réalisés, des équations mal posées. Cela peut être en soi une belle conclusion, mais je m'attendais à une chute plus explosive et rythmée comme sur la première partie du film. spoiler: Au final, les deux derniers chapitres sont maladroits et forcent le pathos. Julie perd toute sa vitalité, ses doutes reviennent. Elle choisi de rester libre, indépendante, mais laisse l'impression d'un retour à la case départ, elle abandonne cette lumière qui la rendait rayonnante de vie.
    Stéphane R
    Stéphane R

    24 abonnés 348 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 mai 2022
    Le charisme et le charme de l'actrice emportent tout dans ce film bien ancré da.s cette génération des trentenaires. Très allenien, dans son aspect dialogué, léger et inventif, c'est une nouvelle très belle chronique de Joachim Trier.
    Boby 53
    Boby 53

    16 abonnés 191 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 mars 2023
    Film charmant, à tout les sens du terme, mais le titre original "la pire fille de..." est plus proche de la réalité que le titre français. Une belle séquence " rencontre de un Oslo figé" au sens litéral. Quelques longueurs et une fin curieuse et boiteuse. Et puis ayant vu "Titane" je continue à penser que son interprète méritait bien plus le prix d'interprétation féminine que la "Julie" en question, qui se révèle être assez immature et correspondant bien au titre original...
    Willard_S
    Willard_S

    25 abonnés 52 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 octobre 2021
    Un sujet qui aurait pu faire craindre un film banal mais c'est tout le contraire, l'approche est très originale. 12 chapitres, 12 tranches de vie d'un personnage très attachant magnifiquement interprété par Reinate Rensve qui n'a pas volé son prix à Cannes, le tout servi par une excellente bande son. Merci Julie
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