Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
36 critiques presse
CinemaTeaser
par Renan Cros
Avec l'élégance qu'on lui connaît, Joachim Trier compose une étonnante comédie à la fois satirique, romantique et mélancolique. L'air de rien, un grand film.
L'Humanité
par Cyprien Caddeo
Drôle, bouleversant, glissant entre les registres avec une fluidité admirable : sous des faux airs de comédie romantique, le film dynamite joyeusement les injonctions à se mettre en couple, pour se faire le portrait d’une génération (les « millenials ») d’insatisfaits chroniques.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
LCI
par Jérôme Vermelin
C’est à la fois tendre, inventif et déchirant. Toujours délicat dans les mots comme dans les silences. Et porté par l’interprétation incandescente de la révélation Renate Reinsve, candidate toute désignée au palmarès.
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Joachim Trier signe une comédie romantique d’une étonnante modernité, à la fois bouleversante et en phase avec son temps.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Dans Julie (en 12 chapitres), présenté en compétition au dernier Festival de Cannes, Joachim Trier a gardé le meilleur de la Nouvelle Vague, cette fraîcheur, cette voix off, ces détails qui font mouche, cette façon de montrer une ville dans tous ses aspects.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Joachim Trier, qui excelle à analyser la psychologie humaine, signe un mélodrame bouleversant. Son film brille par la justesse et le réalisme des situations, par ses dialogues percutants et par le charme dévastateur de la merveilleuse Renate Reinsve, prix d'interprétation mérité à Cannes.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
Un magnifique portrait de femme, tendre et féroce.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
À la sortie du film, on a l’impression d’avoir assisté à l’intégrale d’une série, sensation renforcée par une mise en scène très catchy, trouée d’envolées lyriques assez sublimes.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marie Claire
par Emily Barnett
Avec son émouvant portrait d'une trentenaire d'aujourd'hui, le cinéaste Joachim Trier signe un film solaire et d'une grâce rare sur le passage du temps.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Il y a du Ingmar Bergman dans la description précise des relations humaines tout en gardant une légèreté et un humour ravageur (...).
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Une irrésistible comédie romantique. Et un bonbon doux-amer finement croqué qui distille l’air de rien une ironie féroce et une mélancolie dévastatrice.
Transfuge
par Frédéric Mercier
Le film de Joachim Trier est parvenu par la rigueur et la drôlerie de son écriture, la justesse de ses situations, la beauté de son 35 mm à nous séduire et finalement nous bouleverser.
Télérama
par Jacques Morice
Une comédie romantique et poétique, qui ne manque pas de mordant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Joachim offre à son héroïne un instant magique, suspension de ce temps qui défile et qu'elle voudrait arrêter, et à son actrice, un très beau rôle.
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce portrait d’une jeune Norvégienne actuelle joue avec le temps et les sentiments pour la cerner sans l’étouffer. En quatorze tranches de vie (en incluant le prologue et l’épilogue), le spectateur est entraîné dans la valse-hésitation d’une héroïne indécise que son mal-être rend parfois drôle, souvent touchante et toujours attachante.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Une mélopée au charme lancinant, avec en son centre, Renate Reinsve, actrice épatante.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Le montage, le rythme, la musique participent à donner à cette comédie, à l’allégresse douce-amère, progressivement gagnée par la mélancolie et le désenchantement, un style proche des films de Woody Allen, entre coup de foudre et trébuchements sentimentaux.
Ecran Large
par Simon Riaux
De chutes en renaissances, Julie échappe à son film comme au spectateur, grâce à son interprète, grâce au scénario d'Eskil Vogt et la mise en scène de Joachim Trier. Porté avec incandescence par Renate Reinsve, le film embrasse son époque et son public, pour souligner ses doutes, ses vertiges et ses aspirations avec un élan vital communicatif.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Une comédie dramatique pleine d'esprit.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Ce portrait finement écrit n'a rien d'élitiste, car Joachim Trier adhère à l’art de la comédie dramatique et romantique avec un humour qui mêle habilement comique de situation et dialogues ciselés.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Sophie Grassin
Les dialogues mordent. La mise en scène s’autorise des licences poétiques, comme celle d’arrêter le temps lors d’un de ces douze chapitres sauf pour Julie et son amoureux.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
rix d’interprétation féminine à Cannes, l’actrice norvégienne Renate Reinsve illumine cette chronique générationnelle d’une trentenaire qui se cherche, professionnellement comme en amour, et finit par trouver le chemin de sa propre liberté.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Avec une écriture maîtrisée, Joachim Trier chronique dans une forme en douze chapitres, plus un prologue et un épilogue, la vie, y compris intime, de cette jeune femme prête à tout, qui se cherche, se retrouve, se reperd, refusant de se plier à ce qu’on attend d’elle à son âge.
Le Monde
par Clarisse Fabre
Un portrait magnifique, d'une noirceur presque décalée.
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Entre comédie et drame, Joachim Trier dresse un portrait tendre et mélancolique d'une ville et d'une jeune femme des années 2020.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Joachim Trier étonne avec ce cinquième film qui revisite la comédie sentimentale par le prisme du désenchantement générationnel.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier De Bruyn
Malgré quelques afféteries, Julie (en douze chapitres) confirme le talent précieux de Joachim Trier et mérite deux fois plutôt qu’une d’être découvert.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Positif
par Louise Dumas
Julie (en 12 chapitres) est un grand film existentiel contemporain, qui réussit cependant à ne jamais se départir de sa légèreté.
Première
par Gael Golhen
Au fond, il y a du Amélie Poulain dans cette Julie, un peu d’Ally McBeal aussi, cette impertinence rieuse, ce second degré truqueur et cette poésie joyeuse de la mélancolie qui l’inscrivent à côté de ses deux aînées dans le panthéon des grandes héroïnes ciné-série.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Dix ans après « Oslo, 31 août », Joaquim Trier renoue avec sa veine la plus délicate.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé Loisirs
par Claire Picard
Drôle, mélancolique, inspirant.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Une variation délicate sur l’instabilité émotionnelle et affective d’une jeune-femme, Julie, en douze chapitres, un prologue et un épilogue, avec une comédienne, Renate Reinsve, qui irradie l’écran de sa fraîcheur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Septième Obsession
par Lucas Charrier
Il n’y a rien de banal ou de commun dans JULIE (EN 12 CHAPITRES), grand film sur ces clichés qui sont si vrais. Trier ne cache pas son ambition et l’ampleur à laquelle il s’essaie lui sied à merveille.
Cahiers du Cinéma
par Yal Sadat
Aucun éparpillement ici, donc aucune surprise : loin de voir sa personnalité complexe effeuillée d'un chapitre à l'autre, l'héroïne est réduite à une surface translucide, en charge de laisser voir les états intérieurs provoqués par une succession de cas de conscience (tous assez banals) apportés par la conjugalité moderne.
Critikat.com
par Hugo Mattias
C’est le visage de l’excellente Renate Reinsve que l’on retiendra du film de Joachim Trier, davantage que les douze chapitres très inégaux qui lui servent d’écrin.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
par Sandra Onana
A 47 ans, Joachim Trier nous regarde et semble dire qu’il nous a compris, mais paraît confit dans une nausée sardonique. Son film y perd en sympathie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
CinemaTeaser
Avec l'élégance qu'on lui connaît, Joachim Trier compose une étonnante comédie à la fois satirique, romantique et mélancolique. L'air de rien, un grand film.
L'Humanité
Drôle, bouleversant, glissant entre les registres avec une fluidité admirable : sous des faux airs de comédie romantique, le film dynamite joyeusement les injonctions à se mettre en couple, pour se faire le portrait d’une génération (les « millenials ») d’insatisfaits chroniques.
LCI
C’est à la fois tendre, inventif et déchirant. Toujours délicat dans les mots comme dans les silences. Et porté par l’interprétation incandescente de la révélation Renate Reinsve, candidate toute désignée au palmarès.
La Voix du Nord
Joachim Trier signe une comédie romantique d’une étonnante modernité, à la fois bouleversante et en phase avec son temps.
Le Figaro
Dans Julie (en 12 chapitres), présenté en compétition au dernier Festival de Cannes, Joachim Trier a gardé le meilleur de la Nouvelle Vague, cette fraîcheur, cette voix off, ces détails qui font mouche, cette façon de montrer une ville dans tous ses aspects.
Le Journal du Dimanche
Joachim Trier, qui excelle à analyser la psychologie humaine, signe un mélodrame bouleversant. Son film brille par la justesse et le réalisme des situations, par ses dialogues percutants et par le charme dévastateur de la merveilleuse Renate Reinsve, prix d'interprétation mérité à Cannes.
Le Parisien
Un magnifique portrait de femme, tendre et féroce.
Les Inrockuptibles
À la sortie du film, on a l’impression d’avoir assisté à l’intégrale d’une série, sensation renforcée par une mise en scène très catchy, trouée d’envolées lyriques assez sublimes.
Marie Claire
Avec son émouvant portrait d'une trentenaire d'aujourd'hui, le cinéaste Joachim Trier signe un film solaire et d'une grâce rare sur le passage du temps.
Ouest France
Il y a du Ingmar Bergman dans la description précise des relations humaines tout en gardant une légèreté et un humour ravageur (...).
Paris Match
Une irrésistible comédie romantique. Et un bonbon doux-amer finement croqué qui distille l’air de rien une ironie féroce et une mélancolie dévastatrice.
Transfuge
Le film de Joachim Trier est parvenu par la rigueur et la drôlerie de son écriture, la justesse de ses situations, la beauté de son 35 mm à nous séduire et finalement nous bouleverser.
Télérama
Une comédie romantique et poétique, qui ne manque pas de mordant.
Voici
Joachim offre à son héroïne un instant magique, suspension de ce temps qui défile et qu'elle voudrait arrêter, et à son actrice, un très beau rôle.
20 Minutes
Ce portrait d’une jeune Norvégienne actuelle joue avec le temps et les sentiments pour la cerner sans l’étouffer. En quatorze tranches de vie (en incluant le prologue et l’épilogue), le spectateur est entraîné dans la valse-hésitation d’une héroïne indécise que son mal-être rend parfois drôle, souvent touchante et toujours attachante.
Bande à part
Une mélopée au charme lancinant, avec en son centre, Renate Reinsve, actrice épatante.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le montage, le rythme, la musique participent à donner à cette comédie, à l’allégresse douce-amère, progressivement gagnée par la mélancolie et le désenchantement, un style proche des films de Woody Allen, entre coup de foudre et trébuchements sentimentaux.
Ecran Large
De chutes en renaissances, Julie échappe à son film comme au spectateur, grâce à son interprète, grâce au scénario d'Eskil Vogt et la mise en scène de Joachim Trier. Porté avec incandescence par Renate Reinsve, le film embrasse son époque et son public, pour souligner ses doutes, ses vertiges et ses aspirations avec un élan vital communicatif.
Elle
Une comédie dramatique pleine d'esprit.
Franceinfo Culture
Ce portrait finement écrit n'a rien d'élitiste, car Joachim Trier adhère à l’art de la comédie dramatique et romantique avec un humour qui mêle habilement comique de situation et dialogues ciselés.
L'Obs
Les dialogues mordent. La mise en scène s’autorise des licences poétiques, comme celle d’arrêter le temps lors d’un de ces douze chapitres sauf pour Julie et son amoureux.
La Croix
rix d’interprétation féminine à Cannes, l’actrice norvégienne Renate Reinsve illumine cette chronique générationnelle d’une trentenaire qui se cherche, professionnellement comme en amour, et finit par trouver le chemin de sa propre liberté.
Le Dauphiné Libéré
Avec une écriture maîtrisée, Joachim Trier chronique dans une forme en douze chapitres, plus un prologue et un épilogue, la vie, y compris intime, de cette jeune femme prête à tout, qui se cherche, se retrouve, se reperd, refusant de se plier à ce qu’on attend d’elle à son âge.
Le Monde
Un portrait magnifique, d'une noirceur presque décalée.
Les Echos
Entre comédie et drame, Joachim Trier dresse un portrait tendre et mélancolique d'une ville et d'une jeune femme des années 2020.
Les Fiches du Cinéma
Joachim Trier étonne avec ce cinquième film qui revisite la comédie sentimentale par le prisme du désenchantement générationnel.
Marianne
Malgré quelques afféteries, Julie (en douze chapitres) confirme le talent précieux de Joachim Trier et mérite deux fois plutôt qu’une d’être découvert.
Positif
Julie (en 12 chapitres) est un grand film existentiel contemporain, qui réussit cependant à ne jamais se départir de sa légèreté.
Première
Au fond, il y a du Amélie Poulain dans cette Julie, un peu d’Ally McBeal aussi, cette impertinence rieuse, ce second degré truqueur et cette poésie joyeuse de la mélancolie qui l’inscrivent à côté de ses deux aînées dans le panthéon des grandes héroïnes ciné-série.
Sud Ouest
Dix ans après « Oslo, 31 août », Joaquim Trier renoue avec sa veine la plus délicate.
Télé Loisirs
Drôle, mélancolique, inspirant.
aVoir-aLire.com
Une variation délicate sur l’instabilité émotionnelle et affective d’une jeune-femme, Julie, en douze chapitres, un prologue et un épilogue, avec une comédienne, Renate Reinsve, qui irradie l’écran de sa fraîcheur.
La Septième Obsession
Il n’y a rien de banal ou de commun dans JULIE (EN 12 CHAPITRES), grand film sur ces clichés qui sont si vrais. Trier ne cache pas son ambition et l’ampleur à laquelle il s’essaie lui sied à merveille.
Cahiers du Cinéma
Aucun éparpillement ici, donc aucune surprise : loin de voir sa personnalité complexe effeuillée d'un chapitre à l'autre, l'héroïne est réduite à une surface translucide, en charge de laisser voir les états intérieurs provoqués par une succession de cas de conscience (tous assez banals) apportés par la conjugalité moderne.
Critikat.com
C’est le visage de l’excellente Renate Reinsve que l’on retiendra du film de Joachim Trier, davantage que les douze chapitres très inégaux qui lui servent d’écrin.
Libération
A 47 ans, Joachim Trier nous regarde et semble dire qu’il nous a compris, mais paraît confit dans une nausée sardonique. Son film y perd en sympathie.