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    Black Tea
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    62 critiques spectateurs

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    Vergnus
    Vergnus

    9 abonnés 117 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 mars 2024
    Un film d’un esthétisme fou, d’une grande élégance et d’une très grande sensualité avec un message sur la tolérance et l’écoute de l’autre
    Cordell
    Cordell

    6 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 6 mars 2024
    Film pourtant prometteur avec de beaux paysages mais l’histoire est confuse. Celle-ci avait pourtant bien commencé mais on s’y perd avec des personnages et des scènes qui n’apportent rien à la narration, des longueurs. Je n’ai pas bien compris quel était l’intention derrière ce film. La fin est d’autant plus frustrante et on reste sur notre faim, déjà que je l’était déjà avec le scénario confus. C’est dommage, j’avais de grands espoirs en voyant l’affiche.
    FaRem
    FaRem

    8 637 abonnés 9 523 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 juin 2024
    Après avoir dit non le jour de son mariage, Aya quitte la Côte d'Ivoire et commence une nouvelle vie en Chine où se côtoient la diaspora africaine et la population locale. Elle est comme un poisson dans l'eau et la vie là-bas semble être comme dans un rêve. Une vision idéalisée d'une fusion culturelle où tout est tellement parfait que cela fait kitsch et hypocrite. On ne croit pas à ces petits instants de vie ou à ces échanges. On se croirait dans des décors d'un soap-opera et le contenu est tout aussi lisse. Pourtant, ce n'est pas toujours la perception que j'ai eue puisque la première partie dégage beaucoup de délicatesse avec notamment cette tendre déclaration d'amour pour le thé qui rassemble les deux personnages, mais cela ne suffit plus au bout d'un moment et le calme ambiant laisse place à une histoire soporifique avec des dialogues gênants, des histoires à n'en plus finir et un nombre incalculable de scènes inutiles comme ce gars qui va acheter un millier de sous-vêtements... Il y a sûrement quelque chose si l'on creuse un peu, mais "Black Tea" est brouillon, sans saveur et ennuyeux.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 359 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 octobre 2024
    "Black Tea" est un film élégant autour d'une jeune Ivoirienne partie vivre en Chine et qui tombe amoureuse d'un fabricant de thé. Le film se déroule avec la délicatesse d'une infusion bien préparée, offrant des moments doux et plaisants à savourer. Cependant, tout comme une tasse de thé dont on apprécie la chaleur sur l'instant, le film laisse peu de traces une fois terminé. L'intrigue manque de substance et peine à captiver pleinement.
    Pierre L.
    Pierre L.

    32 abonnés 104 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 9 mars 2024
    Déçu.je me réjouissais de découvrir un tournage en Afrique d’un film qu on vendait surtout comme une histoire romantique.
    Déçu de la réalisation, déçu de scènes juxtaposées sans lien ni liaison, déçu du très lent scénario, atterré par une histoire simplementconfuse.pendant une heure j ai pensé que ce film non adapté à une culture européenne de cinéma.mais ensuite devant les longueurs,les scènes inutiles , les dialogues sans intérêt pour une intrigue qu on attendait toujours,j ai compris ce qu est une œuvre non aboutie . L’actrice principale est très belle certes.c.
    Arthur Brondy
    Arthur Brondy

    227 abonnés 974 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 mars 2024
    Aya refuse son mariage et choisit de quitter la Côte d’Ivoire pour la Chine. Elle y rencontre Cai, un chinois plus âgé et en tombe amoureuse. Ensemble, ils vont devoir affronter les préjugés de la famille de Cai et des habitants autour d’eux. Dommage que le scénario soit trop léger, l’ennui se ressent très vite malgré de belles images.
    Lafeemure
    Lafeemure

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 mars 2024
    Les films de Sissako et Tal me transforment en ce que j’ai toujours rêvé d’être : une voyageuse invisible dont seul le cœur est présent, sans le biais d’observation ethnographique.
    Le seul pré-requis pour embarquer est la contemplation ! Trop cool.

    Ce qui est frappant avec ce film-là, c’est que la dernière séquence est un cliffhanger parfaitement démoniaque qui recolore tout le film d’un puissant suspense rétroactif. Scénaristiquement, c’est génial.

    Contrairement à ce qu’on a lu, ce film n’est ni une romance ni un drame. C’est une étude anthropologique acerbe et sans complaisance, comme Timbuktu. Riche et puissante.

    C’est une expérience de compassion et de beauté qui révèle avec une infinie délicatesse, le ridicule et la violence des illusions humaines.

    Tout le film ne relate qu’une minute de réflexion, une minute d’hésitation. Il met en images la fulgurance du théâtre intérieur d’une personne qui se demande si finalement une forme de liberté est possible.
    Qui se demande si l’on peut cesser d’être prisonnier de sa naissance et de son instinct.
    En cela, on rejoint l’énergie de la gazelle qu’on voit dans la première séquence de Timbuktu.

    Vivement le prochain film de ces deux brillants cinéastes car le suspense apporté par la séquence de fin, même s’il est rétrospectif, n’en reste pas moins insoutenable.
    Pierre
    Pierre

    19 abonnés 176 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 mars 2024
    Un film pas ouf. La nouvelle vie d'une personne en Asie avec la ven te du thé. Je me suis ennuyé devant le film.
    Jipéhel
    Jipéhel

    30 abonnés 195 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 mars 2024
    On reste sur sa… soif

    Souvenez-vous, c’était il y a 10 ans, le mauritanien Abderrahmane Sissako raflait tout sur son passage – avec entre autres 7 César -, pour sa merveille intitulée Timbuktu. Entre les deux, rien ! Il revient avec cette romance dramatique de 110 minutes plus ennuyeuses que convaincantes. Aya, une jeune femme ivoirienne d’une trentaine d’années, dit non le jour de son mariage, à la stupeur générale. Émigrée en Chine, elle travaille dans une boutique d'export de thé avec Cai, un Chinois de 45 ans. Aya et Cai tombent amoureux mais leur histoire survivra-t-elle aux tumultes de leurs passés et aux préjugés ? Bien sûr, les intentions sont louables : choc des cultures, racisme latent, un raffinement de chaque instant, une douceur envahissante… mais quel ennui, avec une histoire hors-sol, un univers comme aseptisé, des personnages frappés par l’apathie – qui, ici, vient en buvant du thé et non pas en mangeant -, générale qui baigne tout ce film décevant.
    J’attendais sans doute trop du nouveau Sissako. 10 ans pour mûrir cette histoire, on était en droit de se dire, on court sinon au chef d’œuvre au moins au très bon film. Et puis, flop ! Même si, esthétiquement, ce film est une splendeur, la romance manque de chair, les sentiments, à force d’être feutrés- c’est une litote -, sont presque totalement gommés. La forme efface le fond, au point de le faire disparaître. Et quand il n’y a plus de fond… c’est le vide. Le cinéaste avoue une envie de raconter la possibilité d’un monde en mouvement vers une harmonie. On a l’harmonie, mais on se demande où est le mouvement. Onirisme, quand tu nous tiens.
    Rien n’y fait. Nina Melo, charmante, Han Chang, tout en charisme rentré, Wu Ke-Xi, Michael Chang et les autres semblent s’ennuyer ferme, en tout cas presque autant que le spectateur que je suis. De suggestions en malentendus et en ellipses, on n’est pas très sûr d’avoir compris quoi que ce soit à cette romance dans les théiers, fuligineuse à souhait et soutenue par des dialogues niais à force de se vouloir poétiques. De ce breuvage et de son cérémonial, on retient plus l’amertume que la douceur d’aimer. Cette nouvelle version de « Canton n’a que l’amour » ne fonctionne pas.
    Pierre Phdb
    Pierre Phdb

    14 abonnés 217 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 mars 2024
    Dommage.

    Un film avec une superbe image, mais presque la finalité de ce film. Du beau pour faire du beau dans une atmosphère suave avec un scénario quelque peu limité. Ceci compte tenu de la durée du film laisse l'ennui poindre son nez. Seule angle intéressant l'existence de communautés africaines en Chine.
    Christiane Mirabaud
    Christiane Mirabaud

    3 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 mars 2024
    Malheureusement Sissoko n'est pas Wong Kai War .. les robes en wax sont superbes ..pour le reste, d'un ennui vertigineux
    Coolcat
    Coolcat

    2 abonnés 25 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 mars 2024
    La bande annonce m'avait attirée, j'y allais en terrain conquis: rencontre entre l'Afrique et l'Asie, sensualité, mélange culturel autour de la passion du thé... miam miam. J'ai aimé: les belles robes d'Aya, (lol!) les passages sur le thé, les scènes dans les magasins, la galerie de personnages secondaires. Je n'ai pas aimé du tout spoiler: la scène d'introduction en Afrique, pas crédible, ni la fin en nombreux points d'interrogation: robes rouges identiques, déception(de quoi?) lettre sans contenu, retour sur la première scène
    ... Trop fouillis et surtout trop superficiel en général. Aya se débat pour qui? Son amoureux est piteux, inconsistant, sans remords et sans engagement. Le film, qui a de beaux côtés esthétiques, manque de discours et de profondeur. Un black tea trop léger à mon goût.
    Roseanne
    Roseanne

    16 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 mars 2024
    cela faisait longtemps que je ne m'étais pas ennuyée autant !!! Je n'ai absolument rien compris. aucune alchimie entre les acteurs.
    Dominique201475
    Dominique201475

    2 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 février 2024
    S'il n'atteint pas la qualité de TIMBUKTU, il s'agit tout de même d'un bon film, plein de bons moments, même si on se trouve un peu perdu, par phases. Peut-être trop de détails entre CHINE, COTE D'IVOIRE et CAP-VERT. C'est un peu trop, pour ce film assez émouvant.
    Measter Eazi
    Measter Eazi

    4 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 août 2024
    Mes oreilles en avaient entendu parler. Mon cœur s'impatientait de le découvrir, et ma curiosité a enfin pu voir le dernier film du réalisateur aux sept Césars.

    Techniquement, je n'ai pas grand-chose à en redire. Aymerick Pilarski est un génie de la direction photo. Sa technique donne à Black Tea l'aura d'un cinéma sud-coréen. Un véritable orgasme visuel.

    La minutie dans la composition des cadres
    L'emplacement ingénieux des lumières
    Les nuances de couleurs en parfaite osmose avec le rythme de la narration.

    .............📽.........🎥.............

    Cependant, l'intemporel Idrissa Ouedraogo dira une fois de plus : "...C'est pas l'outil qui fait le cinéma. Celui qui fait le cinéma c'est l'auteur..."

    Ni la beauté des images... Ni la beauté du son... Ni la beauté des transitions en surimpression... Ni la voix envoûtante de Fatoumata Diawara... Ni la beauté de Nina Mélo... ne peuvent sauver le film de ses carences scénaristiques. Y a de la beauté, énormément de beauté en images mais on se perd dans un capharnaüm narratif.

    Est-ce une romance interraciale ?
    Est-ce un drame social saupoudré de dénonciation socio-politico-culturelle ?
    Est-ce un film féministe mettant à nu les travers du patriarcat ?
    Est-ce un psychodrame à twist final ?
    Ou un mélange de tout ?

    Je ne saurais y répondre objectivement. Mais on y retrouve un peu de tous les genres susmentionnés, qui finalement nous engendre un film très mal hybridé.

    Où vas-tu ?
    Où nous emmènes-tu ?

    Les intentions sont incompréhensibles. Je ne les saisis pas. Les images contredisent parfois les intentions.

    ▪︎ LA VIE SUR TERRE est philosophique et très personnel mais il suit une ligne narrative "bohémienne" certes mais qui ne perd pas du tout le spectateur.
    ▪︎ BAMAKO est un film politique très intellectuel qui a les allures d'un bric-à-brac filmique et pourtant met en exergue tout le génie de l'auteur.
    ▪︎ TIMBUKTU est un film engagé, très poétique, très symbolique mais son propos est clair.

    Quant à Black Tea... What happened ?

    Qui suit-on ?
    Où va-t-on ?
    Que dit-on exactement ?

    C'est abscons.
    C'est touffu.
    C'est confus.

    Visuellement, le film est sans pareil en Afrique subsaharienne [Avis subjectif]. J'en ai rarement vu d'aussi beau. Toutefois, le scénario impose des ramifications qui ne servent pas du tout le récit et n'aident pas non plus à sa compréhension.

    On finit par se perdre dans la recherche effrénée d'une trame à suivre.

    De même, la narration visuelle nous impose une absence répétée de plans de situation. Ce qui provoque un pas très plaisant sentiment d'étouffement. Au 3/4 de la narration visuelle, l'on a cette fâcheuse impression que le film ne respire pas. Pour un film qui a des aspirations interculturelles cette esthétique narrative n'a pas aidé.

    Après, viennent les scènes dont on ne saisit pas l'enjeu dramatique. Puis, un florilège de thématiques superficiellement traitées. Le film verse dans la retenue. Il évoque puis se tait. Soulève puis dépose. Ouvre et referme aussitôt.

    Beaucoup de choses sont énoncées mais presque rien n'est assumé. Ni le propos, ni la romance interraciale, ni la mise en exergue de la negro.phobie des chinois conservateurs, ni l'interculturalité, ni la narration... un excès de pudeur qui a appesanti le film et l'a dépossédé de tension. D'où la lourdeur et le sentiment de lassitude.

    Bref, on en est réduit à vouloir comprendre les intentions du réalisateur plutôt qu'à suivre une histoire.

    Il n'empêche que les scènes de romance entre les protagonistes sont magnifiques. Le jeu du silence. les expressions du regard. La musique.
    L'ambiance. On en redemande et malheureusement on n'en a pas plus.

    La prod design est sensationnelle. La barre est haut placée. Petit bémol pour les effets spéciaux [les insectes].

    Le montage est magnifique. J'ai adoré la surimpression. Après, faut pas en abuser.

    Le dîner final entre le protagoniste et son ex-belle famille est très beau. C'est la seule scène qui m'a donné l'impression de porter le propos du film.

    ....................🎥........📽...........

    J'ai vu, ma curiosité a été comblée. C'était très beau à voir mais je n'ai hélas pas ressenti le cœur émotionnel du film.

    "...Sorry, but sometimes reality means ddesappointment..."
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