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    Black Tea
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    62 critiques spectateurs

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    Fenêtre sur salle
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    67 abonnés 211 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 mars 2024
    Black Tea est malheureusement bien loin d'atteindre les mêmes sommets que la dernière oeuvre du réalisateur, Timbuktu, vainqueur de 7 César en 2015, dont celui du Meilleur Film.

    Malgré la beauté de la mise en scène et l'interprétation délicate des différents personnages, le film laisse sur sa faim et l'on passe trop de temps à se demander où l'histoire veut nous amener et ce qu'elle cherche réellement à nous raconter.

    Tout est filmé avec une délicatesse et une grâce infinies qui ne sont pas sans rappeler le cinéma de Wong Kar Waï. Mais en s'intéressant essentiellement à cette histoire d'amour naissante, Abderrahmane Sissako s'éloigne du sujet, assez original et qui aurait pourtant mérité d'occuper une place bien plus importante dans le récit, à savoir l'immigration africaine en Chine. Il est vraiment dommage qu'il se contente d'effleurer les questions d'intégration et de racisme et qu'il aille même jusqu'à proposer une vision un peu trop figée et carte postale de la vie de cette communauté.

    Le film rentre toutefois dans cette catégorie assez spéciale de films devant lesquels je me suis ennuyé parfois et desquels je n'ai pas forcément tout compris mais qui m'ont tout de même fait passer un agréable moment, me laissant porter par ces belles images et ce rythme lancinant.

    Ma page ciné instagram : fenetre_sur_salle
    Adelme d'Otrante
    Adelme d'Otrante

    175 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 mars 2024
    Jeu du chat et de la souris entre une jeune ivoirienne émigrée à Chenzhou et un exportateur de thé. Le film a la très bonne idée d’aborder les liens qui se tissent entre l’Afrique et la Chine, ses échanges commerciaux et la diaspora africaine qui y prospère. Même si elle n’est pas toujours bien accueillie. L’image est superbe, nimbée de reflets permanents dans lesquelles l’héroïne apparaît en apesanteur. Mais le résultat est décevant, ennuyeux et manque de saveur, le comble pour un thé.
    Muriel F.
    Muriel F.

    53 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 février 2024
    "Black tea" laissait entrevoir de douces perspectives et ce film de Abderrahmane Sissako a en quelque sorte tenu ses promesses. Nina Melo dans le rôle d'Aya est douce, lumineuse, passionnée de thés et des êtres mais qui sait aussi faire preuve d'indépendance. Han Chang (Cai) est un personnage complexe qui ne se donne pas aussi facilement face à leur amour naissant. Cultures et passés ressurgissent pour peut être laisser place à un possible futur. Le rythme assez lent nous propose des images très colorées et magnifiques dans une sorte de temps presque suspendu où les espoirs sont tapis. A voir !
    Jylg
    Jylg

    43 abonnés 363 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 mars 2024
    Nina Melo, actrice peu connue et pas assez reconnue ébloui cette histoire compliquée mais très jolie. Atour d’elle gravite de très bons comédiens dans des paysages sublimes. Même si c’est lent, ça reste très sensuel.
    Fangzi Bai
    Fangzi Bai

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 mars 2024
    Je suis sortie du cinéma super énervée, ce film est incroyablement ennuyeux.
    L'histoire est nulle en revanche belle musique, très mauvaise lumière.
    fleur
    fleur

    2 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 mars 2024
    Déçu. Je ne suis pas arrivée à faire le lien. Est il divorcé ? À te il revu sa fille ?....
    Par contre très bien joué
    2021clear
    2021clear

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 mars 2024
    une histoire captivante avec une grande sensibilité et une finesse remarquable sur les complexités des relations humaines et notamment le poids des traditions.
    OpenEyes
    OpenEyes

    3 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 mars 2024
    C'est rare que je parte au milieu d'un film mais c'est d'une lenteur difficilement supportable. Et pourtant je suis un immense fan d'Ozu :)
    Mais pourquoi se déplacer à Taïwan alors que cela ressemble à du studio ? De petites scènettes juxtaposées sans saveur, jeu plat avec des acteurs qui semblent perdus dans un scénario indigent et une déconnection totale à l'ambiance chinoise; mais qu'est-ce qu'a été faire Sissoko dans une telle galère ? Profondeur sonore inexistante et lumière publicitaire, on est loin de l'excellent Timbuktu.
    Quelle déception !!!
    ducber
    ducber

    3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 mars 2024
    Pour une soirée sympa, très belle, douce... de magnifiques images, une belle musique, la Kora qui vous berce dans un rythme tout africain, un charme indéniable des acteurs et le premier film qui mêle l'Afrique à la Chine... un très beau moment de cinéma.
    Eva Karoo
    Eva Karoo

    1 abonné 15 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 mars 2024
    J'aurais voulu adorer ce film ! Les deux protagonistes principaux sont très bien interprétés ; les images sont souvent sublimes... mais je suis restée en dehors .Le montage est confus et l'émotion seulement intermittente, l'ennui m'a parfois gagné.
    Yves G.
    Yves G.

    1 457 abonnés 3 487 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 mars 2024
    Pour avoir été trompée la veille de son mariage, Aya (Nina Mélo, l’infirmière de Nina, la série de France 2) dit non à son promis et quitte l’Afrique pour l’Asie. Elle part refaire sa vie en Chine dont elle apprend vite la langue. Elle travaille dans la boutique de M. Cai (Han Chang) qui y vend le thé qu’il cultive sur sa plantation. Entre la jeune femme en rupture de ban et l’homme mûr qui porte depuis son expatriation au Cap-Vert un secret trop lourd pour lui se noue un lien mêlé de respect et d’affection.

    Il aura fallu attendre près de dix ans pour que le réalisateur mauritanien Abderrahmane Sissako tourne son nouveau film. Le succès étonnant de "Timbuktu", César 2015 du meilleur film, nommé aux Oscars, aurait dû lui ouvrir bien des portes. L’a-t-il au contraire inhibé ?

    Abderrahmane Sissako choisit de situer l’intrigue de Black Tea à Canton (même s’il a tourné à Taïwan). Le lieu est fascinant qui voit se rencontrer deux univers qu’on n’associe pas spontanément, la Chine et l’Afrique, alors qu’on sait, sans remonter à l’expédition de l’amiral Zheng He sur les côtes africaines au début du XVème siècle, l’importance que la Chine occupe désormais en Afrique, au point d’y concurrencer les vieilles puissances coloniales (voir sur ce point le chapitre 5.2.1.2. de "La France en Afrique"). C’est à ma connaissance la première fois que le cinéma en fait son argument principal.

    C’eût pu être un documentaire sur « Chocolate City », le quartier africain de Canton où les commerçants africains viennent faire leur marché, qu’il s’agisse de thé, de niqabs ou de lingerie coquine, et où les Chinois achètent des produits importés, s’initient au twerk et se font tresser les cheveux. C’est hélas une fiction un peu trop artificielle, aux éclairages millimétrés qui tombent sur la tête des protagonistes, une sorte de Wong Kar-wai afro-asiatique.

    Aya, qui change de coiffure et de tenue à chaque scène comme si elle participait à un défilé de mode, parle le cantonais avec une aisance admirable. Mais ses expressions se réduisent au seul sourire pâmé que lui arrache la dégustation d’une tasse de thé. On se croirait dans une pub pour Dammann Frères.

    L’intrigue, digne d’un mauvais roman-photo, au lieu de se focaliser sur Aya, s’éparpille. Elle fait la part belle à l’autre protagoniste, M. Cai, avec lequel on s’embarque pour un flashback et/ou un rêve éveillé à Mindelo, dans le nord de l’archipel du Cap-Vert. Une scène le confronte à ses beaux-parents qui accumulent les clichés racistes sur les Africains, au grand dam du fils de M. Cai et de M. Cai lui-même. Ces réactions là auraient mérité de plus amples développements : comment les Africains sont-ils accueillis en Chine ? y sont-ils victimes de racisme ? Mais, là encore, un documentaire eût mieux convenu que cette fade bluette interraciale.
    DaeHanMinGuk
    DaeHanMinGuk

    181 abonnés 2 268 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 août 2024
    On nous refait le coup de « In The Mood for Love » (2000) mais n'est pas Wong Kar-Wai qui veut. Pourtant, j'avais bien aimé le précédent film du réalisateur Abderrahmane Sissako, « Timbuktu » en 2014. Mais ici, l'histoire manque de fond et on se lasse vite de ces petits gestes au ralenti. spoiler: Pourtant, il y a quelques tentatives dans les dialogues pour dénoncer les préjugés des chinois sur les africains mais qui ne vont pas assez loin et on a de la peine pour l'héroïne recluse dans sa chambre.
    remyll
    remyll

    188 abonnés 433 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mars 2024
    経済のグローバリゼーションとその結果としての感情のグローバリゼーションは、通常、逆説的に、ほとんど常に現代映画において、トランスヒューマニズムの軸としてヨーロッパ-アメリカまたはアジア-ヨーロッパまたはアジア-アメリカ, しかし、非常にまれにアフリカ - アジア。しかし、ここで監督は、今日、そして今、かなりの数年間、アフリカとアジアの人々の間の関係が明らかに実現し、それから非常に自然に加速したことを示しています。
    実際、新しいシルクロードの開発以来、また、中国と国境を接する重要な国々、特に強力な台湾島のかなり驚異的な発展と並行しています(情報については、映画 台湾の大手企業が共同生産している)アフリカゾーン全体とアジア領土の間の移動の流れは、明らかに巨大で表現力豊かで、実際には自然なものになっている。このように、多くのアフリカ人は現在、中国語だけでなく、他のいくつかの複雑なアジアの言語でも非常によく話します。彼らは自分たちの気持ちや情熱をアジアの新しい友人と簡単に交換し、共有します。
    この映画は、この真新しい時代の特に印象的な表現であり、非常に遠い文化がスムーズではなく、障害物なしではなく、融合することに成功する強力な感傷的な物語があります, しかし、祖先の伝統が衝突し、時にはお互いを吸収することによって終わる場所。シナリオは、優れた通訳者と非常に成功した写真で本当に面白いです。
    Supfan
    Supfan

    39 abonnés 127 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 mars 2024
    Très jolie romance filmée avec élégance et tendresse. L'ambiance du film nous fait voyager et les personnages attachants sont emprunts d'une fine légèreté . Agréable voyage cinématographique
    David SEVERAC
    David SEVERAC

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 mars 2024
    Un pur chef d’œuvre qui restera longtemps, très longtemps gravé dans ma mémoire. C’est un film d’une rare intensité.
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