Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Le Mauritanien Abderrahmane Sissako tourne avec une grâce infinie autour de l'histoire d'amour enchanteresse d'Aya, une Ivoirienne éprise de l'art subtil du thé.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Après « Timbuktu », le cinéaste mauritanien signe un film magnifiquement mélancolique, porté par une mise en scène envoûtante.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Une œuvre tout en sensualité sublime et sensibilité exquise.
Télé 2 semaines
par S.O.
Somptueuse, l'image joue des reflets pour créer une atmosphère onirique.
Télérama
par Cécile Mury
POUR : La force du cinéma d’Abderrahmane Sissako est, comme toujours, d’opposer la douceur et la subtilité des liens humains, la beauté chaleureuse et picturale des images à la laideur du monde.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Céline Rouden
Dans un récit onirique à l’esthétique soignée, qui n’est pas sans évoquer celle de Wong Kar-wai, Abderrahmane Sissako orchestre cette fusion artistique et cinématographique entre deux pays aux destins désormais intimement liés.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Malgré de très belles scènes gorgées de charme, Black Tea peine à concrétiser ses promesses à cause d’un style trop brouillon.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Tout est très délicat. Mais à vrai dire, à force de suggestions, de sous-entendus, nous ne sommes pas sûrs d’avoir bien saisi ce que le Mauritanien voulait nous dire. Cet aveu d’échec est un regret.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Yal Sadat
Jusqu’à un climax fataliste (sur)joué de façon toute vaudevillesque, Aya paraît se mouvoir banalement dans cette Chine-là comme dans un confortable bain de familiarité, tant Sissako fige la ville dans un cliché orientaliste à peu près aussi convenu que l’air de Nina Simone placé en ouverture.
Critikat.com
par Corentin Lê
Si le film se compose en grande partie de séquences programmatiques, consacrées à la peinture d’affects et de sentiments contrariés, il cultive malgré tout une certaine singularité dans ses scènes d’errances urbaines.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Ma. Mt.
On attendait plus du beau personnage d’Aya (Nina Mélo) que d’être ainsi ramené au rôle de « compagne » d’un homme blessé dont elle viendrait panser les plaies.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par La Rédaction
On a l'impression que Sissako se perd dans les effets esthétiques et abandonne en route ses personnages, mal définis et livrés à eux-mêmes avec des dialogues décalés, faussement poétiques, et des situations prévisibles.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Ouest France
par Thierry Cheze
Le résultat laisse donc sur sa faim, et dépit de la beauté de la mise en scène et de la justesse de la direction d'acteurs.
Première
par Thierry Chèze
Pourtant, à force de retenir l’émotion par peur du sentimentalisme, le cinéaste finit par créer une distance avec ses personnages et échoue à nous emporter au moment où il se résout enfin à lâcher les chevaux.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Julien Rousset
Abderrahmane Sissako décolle notre regard de ses habitudes mentales et géographiques. Mais ce film lent, silencieux, est pénalisé par un récit de trop basse intensité. Il nous sème en cours de route, malgré ses belles promesses.
Télérama
par Marie Sauvion
CONTRE : Alors qu’on brûle d’en savoir plus sur cette communauté d’immigrés et ses relations avec la population locale, le cinéaste s’enlise dans les histoires de famille du patron-sexy-mais-taiseux et attend la toute fin de sa luxueuse carte postale pour corser les enjeux. Dommage.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Brouillon et surtout trop maniéré, le nouveau film d’Abderrahmane Sissako laisse le spectateur sur sa faim.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Figaro
par Eric Neuhoff
On s'égare dans ces embardées imprévues au Cap Vert, se prend les pieds dans ces flashbacks et ces digressions. Le temps infuse goutte à goutte. Un rythme languissant baigne ce curieux mélange raté de In the Mood for Love et de Vénus beauté (Institut).
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
par Luc Chessel
Dix ans après «Timbuktu», le cinéaste raconte l’histoire d’amour, lisse à souhait et sans saveur, d’un vendeur de thés cantonais et d’une immigrée ivoirienne, dans une esthétique d’intelligence artificielle.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le Mauritanien Abderrahmane Sissako tourne avec une grâce infinie autour de l'histoire d'amour enchanteresse d'Aya, une Ivoirienne éprise de l'art subtil du thé.
L'Obs
Après « Timbuktu », le cinéaste mauritanien signe un film magnifiquement mélancolique, porté par une mise en scène envoûtante.
Le Dauphiné Libéré
Une œuvre tout en sensualité sublime et sensibilité exquise.
Télé 2 semaines
Somptueuse, l'image joue des reflets pour créer une atmosphère onirique.
Télérama
POUR : La force du cinéma d’Abderrahmane Sissako est, comme toujours, d’opposer la douceur et la subtilité des liens humains, la beauté chaleureuse et picturale des images à la laideur du monde.
La Croix
Dans un récit onirique à l’esthétique soignée, qui n’est pas sans évoquer celle de Wong Kar-wai, Abderrahmane Sissako orchestre cette fusion artistique et cinématographique entre deux pays aux destins désormais intimement liés.
Les Fiches du Cinéma
Malgré de très belles scènes gorgées de charme, Black Tea peine à concrétiser ses promesses à cause d’un style trop brouillon.
Les Inrockuptibles
Tout est très délicat. Mais à vrai dire, à force de suggestions, de sous-entendus, nous ne sommes pas sûrs d’avoir bien saisi ce que le Mauritanien voulait nous dire. Cet aveu d’échec est un regret.
Cahiers du Cinéma
Jusqu’à un climax fataliste (sur)joué de façon toute vaudevillesque, Aya paraît se mouvoir banalement dans cette Chine-là comme dans un confortable bain de familiarité, tant Sissako fige la ville dans un cliché orientaliste à peu près aussi convenu que l’air de Nina Simone placé en ouverture.
Critikat.com
Si le film se compose en grande partie de séquences programmatiques, consacrées à la peinture d’affects et de sentiments contrariés, il cultive malgré tout une certaine singularité dans ses scènes d’errances urbaines.
Le Monde
On attendait plus du beau personnage d’Aya (Nina Mélo) que d’être ainsi ramené au rôle de « compagne » d’un homme blessé dont elle viendrait panser les plaies.
Le Point
On a l'impression que Sissako se perd dans les effets esthétiques et abandonne en route ses personnages, mal définis et livrés à eux-mêmes avec des dialogues décalés, faussement poétiques, et des situations prévisibles.
Ouest France
Le résultat laisse donc sur sa faim, et dépit de la beauté de la mise en scène et de la justesse de la direction d'acteurs.
Première
Pourtant, à force de retenir l’émotion par peur du sentimentalisme, le cinéaste finit par créer une distance avec ses personnages et échoue à nous emporter au moment où il se résout enfin à lâcher les chevaux.
Sud Ouest
Abderrahmane Sissako décolle notre regard de ses habitudes mentales et géographiques. Mais ce film lent, silencieux, est pénalisé par un récit de trop basse intensité. Il nous sème en cours de route, malgré ses belles promesses.
Télérama
CONTRE : Alors qu’on brûle d’en savoir plus sur cette communauté d’immigrés et ses relations avec la population locale, le cinéaste s’enlise dans les histoires de famille du patron-sexy-mais-taiseux et attend la toute fin de sa luxueuse carte postale pour corser les enjeux. Dommage.
aVoir-aLire.com
Brouillon et surtout trop maniéré, le nouveau film d’Abderrahmane Sissako laisse le spectateur sur sa faim.
Le Figaro
On s'égare dans ces embardées imprévues au Cap Vert, se prend les pieds dans ces flashbacks et ces digressions. Le temps infuse goutte à goutte. Un rythme languissant baigne ce curieux mélange raté de In the Mood for Love et de Vénus beauté (Institut).
Libération
Dix ans après «Timbuktu», le cinéaste raconte l’histoire d’amour, lisse à souhait et sans saveur, d’un vendeur de thés cantonais et d’une immigrée ivoirienne, dans une esthétique d’intelligence artificielle.