Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
On aurait tort de reprocher au film son grand classicisme, de la mise en scène à la musique, en passant par la linéarité de son récit. Car c’est cette clarté et cette linéarité qui menent le film vers une forme d’illumination où la conciliation impossible peut aussi devenir source d’une émotion pure.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
La Place d’une autre ne séduit pas seulement par le jeu subtil de ses actrices : Lyna Khoudri, habile et vraie dans son interprétation, Sabine Azéma, d’une intelligence et d’une finesse incroyables.
Femme Actuelle
par La Rédaction
L'histoire interroge sur la notion de justice et d'injustice, sur les tours du destin dont le sens nous dépasse.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
C’est la représentation sensible et magnifiquement projetée de la différence de classe et l’émancipation de ce carcan, sous le signe de l’amitié.
Le Parisien
par La Rédaction
Romanesque, indécidable jusqu’à la dernière seconde, « La Place d’une autre », adapté d’un roman anglais, dégage jusqu’au bout un charme qui nous prend comme ces fresques sociales du XIXe siècle.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Keiko Masuda
Aurélia Georges adapte cette œuvre romanesque avec efficacité. Le film se regarde comme on lirait un livre, en créant une tension qui nous pousse à vouloir connaître la suite. Il met également à l’honneur les rôles féminins grâce à un casting de qualité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
La Place d’une autre est d’abord, d’évidence, un film qui décrit, dès ses premiers plans, un monde, une époque où les femmes, du peuple surtout, avaient la sale place. […] Sans effet de manche, sans chichi, la mise en scène d’ Aurélia Georges se contente de décrire des faits, une réalité sociale.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Thierry Chèze
Le duo Lyna Khoudri Sabine Azéma fait des merveilles.
Transfuge
par Frédéric Mercier
Un modèle d’intelligence en termes d’adaptation cinématographique.
Télé Loisirs
par Claire Picard
Ce suspense psychologique sur fond de lutte des classes, soutenu par une interprétation au cordeau, est captivant et bouleversant.
Télérama
par Jacques Mandelbaum
POUR : On n’oubliera pas de sitôt la séquence poignante où Nélie, acculée au fond d’un couloir, lève la main pour témoigner d’une brûlure sur sa paume, comme si elle prêtait serment devant un tribunal. L’image est magnifique parce qu’elle signe l’élévation et la dignité de cette femme blessée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Plus qu’un récit romanesque, La place d’un autre résonne comme un thriller social et psychologique au milieu d’un univers feutré bourgeois, en plein milieu de la grande guerre.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par François Forestier
Le thème de l’identité volée est prétexte à un mélo sympathique, mais sage, si sage…
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Malgré un classicisme un peu trop sage, le film d’Aurélia Georges tire son épingle du jeu grâce à la complicité perceptible qui unit les deux actrices principales.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Mathieu Macheret
Le souci de transparence et de linéarité est ici, au contraire, ce qui garantit la meilleure exposition du jeu complexe de dualités et d'identifications qui animent la scène.
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Aurélia Georges dirige Lyna Khoudri et Sabine Azéma dans un film ambitieux sur l'usurpation d'identité. Malgré ses maladresses, une fiction troublante.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Sandra Onana
On croit bâiller, et puis, la sécheresse de la mise en place, le tact avec lequel le drame psychologique s’immisce dans le sentimentalisme du mélo, l’indécision d’un basculement dans le thriller expriment finalement l’élégance plutôt adroite d’un film qui ne nous indiffère pas complètement.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Olivier De Bruyn
Hélas, malgré l’originalité du script et la conviction des comédiennes (Lyna Khoudri, Sabine Azéma et Maud Wyler), le film, trop sage et lisse, peine à incarner dans sa mise en scène l’ambiguïté de cette histoire dérangeante qui aurait mérité un traitement plus audacieux.
Première
par Thierry Chèze
Le classicisme assumé de la mise en scène paraît d’abord étouffer le romanesque d’un récit riche en tension et rebondissements. Mais ce parti pris finit par créer le parfait écrin pour densifier les échanges riches en non- dits entre Nélie et sa patronne et cette relation quasi-filiale qu’aucune des deux n’avait anticipée.
La critique complète est disponible sur le site Première
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Une réalisation au classicisme appuyé.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Télérama
par Frédéric Strauss
CONTRE : L’histoire est forte, ou pourrait l’être… Mais elle est si mal racontée. Tout en nous plongeant dans une intrigue tissée de mensonges et de dissimulations, la réalisatrice fait de son héroïne une oie blanche.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
On aurait tort de reprocher au film son grand classicisme, de la mise en scène à la musique, en passant par la linéarité de son récit. Car c’est cette clarté et cette linéarité qui menent le film vers une forme d’illumination où la conciliation impossible peut aussi devenir source d’une émotion pure.
Dernières Nouvelles d'Alsace
La Place d’une autre ne séduit pas seulement par le jeu subtil de ses actrices : Lyna Khoudri, habile et vraie dans son interprétation, Sabine Azéma, d’une intelligence et d’une finesse incroyables.
Femme Actuelle
L'histoire interroge sur la notion de justice et d'injustice, sur les tours du destin dont le sens nous dépasse.
Le Dauphiné Libéré
C’est la représentation sensible et magnifiquement projetée de la différence de classe et l’émancipation de ce carcan, sous le signe de l’amitié.
Le Parisien
Romanesque, indécidable jusqu’à la dernière seconde, « La Place d’une autre », adapté d’un roman anglais, dégage jusqu’au bout un charme qui nous prend comme ces fresques sociales du XIXe siècle.
Les Fiches du Cinéma
Aurélia Georges adapte cette œuvre romanesque avec efficacité. Le film se regarde comme on lirait un livre, en créant une tension qui nous pousse à vouloir connaître la suite. Il met également à l’honneur les rôles féminins grâce à un casting de qualité.
Les Inrockuptibles
La Place d’une autre est d’abord, d’évidence, un film qui décrit, dès ses premiers plans, un monde, une époque où les femmes, du peuple surtout, avaient la sale place. […] Sans effet de manche, sans chichi, la mise en scène d’ Aurélia Georges se contente de décrire des faits, une réalité sociale.
Ouest France
Le duo Lyna Khoudri Sabine Azéma fait des merveilles.
Transfuge
Un modèle d’intelligence en termes d’adaptation cinématographique.
Télé Loisirs
Ce suspense psychologique sur fond de lutte des classes, soutenu par une interprétation au cordeau, est captivant et bouleversant.
Télérama
POUR : On n’oubliera pas de sitôt la séquence poignante où Nélie, acculée au fond d’un couloir, lève la main pour témoigner d’une brûlure sur sa paume, comme si elle prêtait serment devant un tribunal. L’image est magnifique parce qu’elle signe l’élévation et la dignité de cette femme blessée.
aVoir-aLire.com
Plus qu’un récit romanesque, La place d’un autre résonne comme un thriller social et psychologique au milieu d’un univers feutré bourgeois, en plein milieu de la grande guerre.
L'Obs
Le thème de l’identité volée est prétexte à un mélo sympathique, mais sage, si sage…
Le Figaro
Malgré un classicisme un peu trop sage, le film d’Aurélia Georges tire son épingle du jeu grâce à la complicité perceptible qui unit les deux actrices principales.
Le Monde
Le souci de transparence et de linéarité est ici, au contraire, ce qui garantit la meilleure exposition du jeu complexe de dualités et d'identifications qui animent la scène.
Les Echos
Aurélia Georges dirige Lyna Khoudri et Sabine Azéma dans un film ambitieux sur l'usurpation d'identité. Malgré ses maladresses, une fiction troublante.
Libération
On croit bâiller, et puis, la sécheresse de la mise en place, le tact avec lequel le drame psychologique s’immisce dans le sentimentalisme du mélo, l’indécision d’un basculement dans le thriller expriment finalement l’élégance plutôt adroite d’un film qui ne nous indiffère pas complètement.
Positif
Hélas, malgré l’originalité du script et la conviction des comédiennes (Lyna Khoudri, Sabine Azéma et Maud Wyler), le film, trop sage et lisse, peine à incarner dans sa mise en scène l’ambiguïté de cette histoire dérangeante qui aurait mérité un traitement plus audacieux.
Première
Le classicisme assumé de la mise en scène paraît d’abord étouffer le romanesque d’un récit riche en tension et rebondissements. Mais ce parti pris finit par créer le parfait écrin pour densifier les échanges riches en non- dits entre Nélie et sa patronne et cette relation quasi-filiale qu’aucune des deux n’avait anticipée.
La Croix
Une réalisation au classicisme appuyé.
Télérama
CONTRE : L’histoire est forte, ou pourrait l’être… Mais elle est si mal racontée. Tout en nous plongeant dans une intrigue tissée de mensonges et de dissimulations, la réalisatrice fait de son héroïne une oie blanche.