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9 jours à Raqqa est un chant de douleur, porté par la musique d’Ibrahim Maalouf, composée pour le film, qui accompagne les images de la ville, comme une complainte. Mais le documentaire livre aussi un message d’espoir et d’optimisme [...].
Mais 9 jours à Raqqa vaut surtout par le témoignage de cette femme qui ne s’en laisse pas conter. Sa connaissance du terrain et des infrastructures impose le respect. Sa délicate intransigeance aussi. Avec elle s’incarnent l’espoir d’une démocratie égalitaire, paritaire, pluriethnique, multiconfessionnelle et la possibilité d’un autre monde.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Servi par la superbe musique d’Ibrahim Maalouf, le film de Xavier de Lauzanne - le premier volet d’une trilogie située après les guerres contre Daech -, est à la fois une formidable leçon humaine et un témoignage pour l’Histoire.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Rythmé par la musique d’Ibrahim Maalouf, ce récit édifiant, premier volet de la trilogie La Vie après Daech, mêle son témoignage aux images d’archives télévisées de l’époque de la guerre, pour remettre en perspective le combat de cette héroïne kurde, dont la sage parole mérite d’être entendue.
9 jours à Raqqa est le premier volet d’une trilogie du réalisateur Xavier de Lauzanne. Le pari osé de brosser le portrait express de la maire de la ville syrienne de Raqqa est une réussite.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Elle
Le portrait d'une femme au courage exemplaire.
Franceinfo Culture
9 jours à Raqqa est un chant de douleur, porté par la musique d’Ibrahim Maalouf, composée pour le film, qui accompagne les images de la ville, comme une complainte. Mais le documentaire livre aussi un message d’espoir et d’optimisme [...].
L'Humanité
Mais 9 jours à Raqqa vaut surtout par le témoignage de cette femme qui ne s’en laisse pas conter. Sa connaissance du terrain et des infrastructures impose le respect. Sa délicate intransigeance aussi. Avec elle s’incarnent l’espoir d’une démocratie égalitaire, paritaire, pluriethnique, multiconfessionnelle et la possibilité d’un autre monde.
Le Figaro
Servi par la superbe musique d’Ibrahim Maalouf, le film de Xavier de Lauzanne - le premier volet d’une trilogie située après les guerres contre Daech -, est à la fois une formidable leçon humaine et un témoignage pour l’Histoire.
Le Journal du Dimanche
Rythmé par la musique d’Ibrahim Maalouf, ce récit édifiant, premier volet de la trilogie La Vie après Daech, mêle son témoignage aux images d’archives télévisées de l’époque de la guerre, pour remettre en perspective le combat de cette héroïne kurde, dont la sage parole mérite d’être entendue.
Le Parisien
UIn documentaire passionnant.
Le Point
Un petit bijou sur la reconstruction d'une ville-cimetière après le passage de Daech où il faut panser les coeurs autant que les âmes.
Les Fiches du Cinéma
Entre romantisme et onirisme, un film magnifique sur le deuil et l’épanouissement de soi.
Paris Match
Un témoignage fort doublé d'une belle note d'espoir dans un monde de brutes.
Télérama
Un documentaire fort, sur une personnalité exceptionnelle.
L'Obs
A circonstances exceptionnelles, personne exceptionnelle. Leila Mustapha est une grande dame.
Le Monde
9 jours à Raqqa se veut un documentaire sobre, mêlant archives apocalyptiques et présent chargé d'espoirs incertains.
Première
Un documentaire puissamment féministe.
aVoir-aLire.com
9 jours à Raqqa est le premier volet d’une trilogie du réalisateur Xavier de Lauzanne. Le pari osé de brosser le portrait express de la maire de la ville syrienne de Raqqa est une réussite.
La Voix du Nord
On a l’impression, et le regret, de passer à côté de Leïla Mustapha et de la réalité de Raqqa. Neuf jours n’étaient peut-être pas suffisants.