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    BigBug
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    290 critiques spectateurs

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    traversay1
    traversay1

    3 602 abonnés 4 870 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 février 2022
    Une pièce de boulevard satirique et futuriste, il fallait oser, et mise en images par Jean-Pierre Jeunet, cela pouvait et devait avoir de la gueule. L'aspect visuel de BigBug, que l'on aime ou pas les couleurs saturées, capte l'attention mais c'est à peu près la seule chose qui vaille la peine dans cette comédie confinée qui manque d'air, plombée par un scénario poussif et théâtral, comme du Caillavet High Tech, mais jamais drôle et même parfois pitoyable dans des dialogues hors d'âge où les grivoiseries abondent et consternent. Des robots et des hommes, le sujet est dans l'air du temps depuis un bail et propice à une multitude d'intrigues, dans les domaine de la littérature (jusqu'à Ishiguro) et du cinéma. Mais Jeunet réduit ce thème techno à un huis-clos sans âme où sa créativité tourne à vide pendant près de deux heures. Où est donc passée la poésie des premiers films de Jeunet (avec puis sans Caro) et ce coté foutraque qui ruisselait de tendresse pas niaise ? Qu'il se mette à explorer une veine caustique, plus ou moins dans les pas de Tim Burton, pourquoi pas, mais à condition d'y mettre de la finesse et de l'humour, des caractéristiques malheureusement absentes de BigBug. Devant l'inanité des textes qu'ils ont à défendre, les acteurs n'ont d'autre choix que d'en faire des mégatonnes et seules Elsa Zylberstein et Claude Perron s'en tirent à peu près sans dommage. Et le meilleur interprète du lot, sans conteste, c'est bien évidemment André Dussolier, absent physiquement, mais dont l'organe vocal reste du nanan pour les oreilles.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 23 octobre 2022
    Cette satyre de Jean-Pierre Jeunet est malheureusement à côté de tout. Alors que le clin d’œil à l’univers absurde et techno-burlesque de Tati est évident, « Big Bug » se révèle d’un creux et d’un superficiel qui irritent. Le jeu d’acteur est bancal et la forme plus que passée. C’est bien dommage.
    Fanny B
    Fanny B

    20 abonnés 28 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 février 2022
    Nul l'accent marseillais hyper mal joué ....................... ............. Dommage les effets spéciaux bien mais d'un ennuie terrible... Un bon nanard
    ambredelile
    ambredelile

    1 abonné 7 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 février 2022
    un chef d'oeuvre. très esthétique, avec un rai scénario, drole et vraiment très bien pensé et réalisé. un film unique entre un film à suspens en huit clos, une comédie et un film de science fiction
    John Chaos
    John Chaos

    3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 février 2022
    Un univers unique que les fans de Jean-Pierre Jeunet apprécieront. Un bon moment de cinéma ou le moindre détail a son importance.
    Black Dragon
    Black Dragon

    2 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 février 2022
    D'une nullité absolue, mal joué on y croit pas une seconde, on s'ennuie ferme vraiment ... Donc bref a fuir !!!!
    Cinememories
    Cinememories

    484 abonnés 1 466 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 février 2022
    Après quelques années d’errance maintenant, en jonglant entre plusieurs producteurs, l’un des artificiers tricolores succombe à l’appel du géant du streaming au N rouge. Faute de moyens, faute de compromis, Jean-Pierre Jeunet assure sa bonne foi quant à son nouvel imaginaire, cette fois-ci teinté de pixels et autres outils technologiques. Il en a fait du chemin depuis son « Delicatessen », mais ce ne sera pas vers un jardin d’enfants qu’il oriente son propos, à l’aube d’une robotisation sociétal, tout ce qu’il y a de plus rationnel et pourtant pas aussi évident à développer. Le casting extravagant promettait un mélange hilarant et en même temps bancal, dès qu’il s’agira de court-circuiter un discours satirique, meublé d’un décor numérique aussi kitsch que ses personnages. C’est toute la problématique de cette nouvelle aventure, dont le titre annonce à son insu, le mal qui sévie dans chaque plan à venir…

    Ce client de la nouvelle ère technologique, il a fini par l’épouser, jusqu’à en fait son sujet et son support idéal, en tout cas sur le papier. Hélas, ce monde désenchanté qu’il nous introduit, étale maladroitement et surtout grossièrement ce que l’héritage du numérique provoque chez ceux qui sont faits de chair. Pas de passe-droit pour celui qui ambitionne d’investir cette étude de l’addiction et la dépendance à la technologie, dès lorsqu’il façonne chaque argument dans un enrobage sucré et caricatural à l’excès. Ce huis-clos ludique de personnages, qui sont un pu à la découverte de leur premier émoi, car ils semblent bien avoir cédé à une part d’humanité, tandis que d’autres tentent de préserver la culture, que ce soit du premier support numérique que des ouvrages littéraires. L’intention est palpable, mais jamais il ne convertira ses chances de provoquer la sensation escomptée. Au lieu de cela, c’est une opération ultra prévisible et contradictoire, dont la pertinence s’effrite aussi vite que son atroce tempo comique.

    Il est navrant de constater que Jeunet trébuche face à autant de désillusions, jusqu’à affubler son récit minimaliste d’un humour aussi gras, et assez peu inventif, que la mentalité des occupants de cette maison de banlieue. Il faudra se réconforter avec l’esthétique de certaines figures, par mi les têtes pensantes de ce logement high-tech (Monique et Einstein), mais la place des machines conscientes auprès des humains alimente rarement les interactions avec empathie, la dynamique absurde de groupe ayant déjà pris le dessus. Ce qui aurait pu ne pas tourner au gag de répétition, sans la niaiserie qui en résulte à la force d’un cinéaste qui prend alors plus de distance avec sa vision futuriste vintage, n’est en fait qu’une pure illustration d’une humanité, soumis comme des animaux, pour le divertissement de machines qui en aurait gros sur la patate. Ce qui relève de « l’erreur est humaine » semble se propager au-delà de cette tambouille numérique et, a fortiori, caustique, où les pulsions et les émotions ne sont plus que des citations.

    En somme, « Bigbug » patine et glisse sur ses propres bases narratives et sa recherche de sublimation vient davantage entacher le décor qu’il a mis en place. En quelques minutes, nous sommes bien passés de la curiosité à de l’effroi, jusqu’à ce que notre intérêt vienne se joindre au microcosme, imposé par la défaillance technique, pour l’écarteler un peu plus. Et ce coup d’avance considérable du spectateur, qui sera déjà bien refroidi, avant même que le scénario ne se mette au diapason, témoigne d’un détachement de la part d’un cinéaste, qui a choisi de régresser au lieu de tirer sa troupe vers le haut et vers un sentiment d’espoir ou de désespoir assumé. Il y aura donc peu de chose à retenir de cet épisode de confinement sous vide. Espérons seulement qu’il marquera un tremplin nécessaire pour celui qui a souvent bien interprété l’équilibre entre le fantasme du réel et la nostalgie.
    Luiz
    Luiz

    9 abonnés 123 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 février 2022
    Film comique français et agréable à regarder qui a le mérite de se passer dans un futur "proche et probable" ce qui demande de l'imagination. L'hétérogénéité des personnages est un des leviers employés pour inviter au rire!!
    Gregg S.
    Gregg S.

    22 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 mars 2022
    Laborieux du début à la fin, le film accumule tous les défauts de ce qui fait un mauvais film français (au point qu'on en est gêné pour les acteurs). Mais le véritable problème de Big Bug, c'est qu'il dure 1h50 de trop !
    le critiqueur critiqueur
    le critiqueur critiqueur

    5 abonnés 66 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 février 2022
    C'est du Jeunet tout craché,c'est nul con comme la lune mal réalisé ridicule,comme exactement tout ce qu'il a fait c'est du Amélie Poulain 2.0 n'importe quelle autre pays aurait réussi ce film et nous ici ont détruit avec des acteurs degeulasse qui jouent nuls a chié des briques rondes,la Elisabeth est moche et pitoyable tout est surjoué j'ai us un mal incroyable à finir ce film où tout est movais de la musique des effets FX des comédiens de l'écriture de l'humour tout est raté,y'a même pas un point positif sauf quand le film ce terminé c'est horrible
    Spider cineman
    Spider cineman

    154 abonnés 2 045 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 février 2022
    Le démarrage du film est prometteur ; le casting impressionnant, l ambiance rétro-futuriste, les trouvailles technologiques, l'univers un peu dingue et original... néanmoins le film se noie dans un scénario entendu et une intrigue qui s épuise ... voire qui ennuie progressivement le spectateur... dommage.
    Tabayo Bro
    Tabayo Bro

    2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 février 2022
    Mon dieu mais ce que c'est nul.... Un vrai navet avec en plus des acteurs qui jouent mal !
    Maryse LE ROY
    Maryse LE ROY

    1 critique Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 février 2022
    Je m'attendais à un super film. Il est insupportable. Le jeu d'acteur insupportable. L' accent marseillais insupportable. Quelle déception ! Je n'ai pas pu le regarder jusqu'au bout. Une belle daube.
    Delacroix
    Delacroix

    3 abonnés 18 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 février 2022
    Enfin un Jeunet à découvrir. On l' attendait depuis des années. Un huitclos complêtetement loufoque dans un appart à la déco géniale. La photographie et les robots sont suberbes, leurs sons auraient pu être un peu plus innovant.
    Elsa en fait un peu trop. Un film à méditer pour notre futur quand l' AI aura accès à nos clims , portes et comptes en banques.
    Nicolas S.
    Nicolas S.

    95 abonnés 1 549 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 février 2022
    On reconnaît ici la patte de Jean-Pierre Jeunet : ces plans très rapprochés et en contre-plongée sur le visage des personnages, la photographie, la légère excentricité des personnages et l'observation des interactions humaines.

    Il y ajoute un questionnement sur l'humanité. C'est quoi être humain ? Et sur le progrès et le développement des intelligences artificielles.

    Mais ces questionnements découlent d'une histoire qui est divertissante avant tout.

    Je reconnais que l'explication donnée à la présence de tous ces individus sous le même toit au même instant est peu crédible. Pas mal de choses relèvent des ficelles scénaristiques. C'est exact.

    Cependant, si l'on est prêt à passer ces facilités au film, on se retrouve avec une histoire relativement originale, qui pourrait presque constituer une pièce de théâtre, mais avec les outils technologiques et artistiques qu'offre le cinéma moderne.

    Pour moi, "BigBug", malgré son rythme parfois un peu lent, est un vent de fraîcheur. Il se permet d'aborder des thèmes relativement angoissants avec un sens de l'humour qui fait mouche.

    J'ai ri de bon coeur aux péripéties dignes d'un théâtre de boulevard ou aux petits détails comme l'accent marseillais de l'ex-mari. Et les acteurs se sont prêtés au jeu, en particulier Elsa Zylberstein.

    Tout n'est pas parfait, bien sûr, mais pour un film français diffusé sur Netflix, je trouve ce long-métrage particulièrement agréable.
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