Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Jean-Pierre Jeunet amuse en livrant un vaudeville de science-fiction réjouissant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par La Rédaction
Cette comédie incroyablement inventive, visuellement, combine une loufoquerie morbide à la Tim Burton (ses créatures bizarroïdes et excentriques) et une fantaisie créatrice à la Jacques Tati (on pense à sa mythique villa Arpel, imaginée comme principal décor de Mon Oncle).
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Une comédie de science-fiction à huis clos peuplée d’humains enfermés et de robots facétieux. Réjouissant.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Jeunet reste l'un des réalisateurs les plus imaginatifs au monde et pour s’en convaincre, il n’y a qu’à voir BigBug, comédie dystopique à huis clos, enfermée dans un pavillon du futur aux couleurs expressionnistes, où robotique épatante et robots rutilants règnent en maîtres.
L'Ecran Fantastique
par Erwan Bargain
POUR - Une sympathique comédie de SF, au casting quatre étoiles et dont le seul objectif est de divertir le public.
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Le ton se veut léger, et les situations fantasques (parfois forcées) s’enchaînent. Un vaudeville dystopique, dont le charme émane aussi de son épatante galerie de droïdes.
Télérama
par Frédéric Strauss
Il y a de l’esprit dans BigBug, un drôle de mélange de bêtises et d’intelligence pas seulement artificielle.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Ecran Fantastique
par Yann Lebecque
CONTRE - Une triste histoire sans queue ni tête à la conclusion bien décevante, que ne soutient aucune analyse ou critique efficace des dérives de notre époque et semble hésiter entre la méfiance face à la technologie et l’émerveillement devant ses promesses jamais tenues.
Le Point
par Philippe Guedj
Le vrai bug du film, hélas, vient précisément du point névralgique de sa fable : ses humains et, pire encore, leurs interprètes. À la décharge des malheureux : ils ne sont pas vraiment aidés par le caractère programmatique d'un script à l'issue duquel pratiquement aucun d'entre eux n'aura évolué, ou si peu.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Ecran Large
par Simon Riaux
Après neuf années d'absence, Jean-Pierre Jeunet signe un retour décevant, où l'on peine à distinguer les ruines de son cinéma, pulvérisées par une direction artistique bancale, un scénario vieillot et des comédiens en péril. Ne reste qu'une comédie de boulevard réactionnaire et malade.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Cyprien Caddeo
Le film, toujours potache mais jamais drôle, est à l’avenant de son style « rétrofuturiste » : il imagine le futur avec cinquante ans de retard et n’a, malheureusement, rien à en dire qui n’ait pas été déjà dit ailleurs, mille fois et mille fois mieux.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Geek
par Allan Blanvillain
Bourré d'idées mal exploitées, BigBug n'est pas tant le retour au sommet de Jean-Pierre Jeunet qu'une preuve que le réalisateur a peut-être besoin d'être cadré. En voulant jouer sur la parodie, le film en devient presque la parodie de son auteur...
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Le Parisien
par Michel Valentin
Ne surnagent que des effets spéciaux bien maîtrisés, cela reste peu lorsqu’on dresse le bilan au moment du générique final, qui se termine après 110 très longues minutes. Quelle déception !
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Jeunet semble prendre sa petite démangeaison dickienne pour le summum de l’anticipation, mais il a quarante ans de retard.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Mad Movies
par François Cau
Un spectaculaire ratage.
Positif
par Baptiste Roux
La greffe entre vintage et technique [...] tourne à vide et en rond dans ce huis clos confondant effervescence et hystérie, sur fond d’insurrection androïde et de cohabitation forcée d’un groupe dans un espace clos.
20 Minutes
Jean-Pierre Jeunet amuse en livrant un vaudeville de science-fiction réjouissant.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Cette comédie incroyablement inventive, visuellement, combine une loufoquerie morbide à la Tim Burton (ses créatures bizarroïdes et excentriques) et une fantaisie créatrice à la Jacques Tati (on pense à sa mythique villa Arpel, imaginée comme principal décor de Mon Oncle).
La Voix du Nord
Une comédie de science-fiction à huis clos peuplée d’humains enfermés et de robots facétieux. Réjouissant.
Le Dauphiné Libéré
Jeunet reste l'un des réalisateurs les plus imaginatifs au monde et pour s’en convaincre, il n’y a qu’à voir BigBug, comédie dystopique à huis clos, enfermée dans un pavillon du futur aux couleurs expressionnistes, où robotique épatante et robots rutilants règnent en maîtres.
L'Ecran Fantastique
POUR - Une sympathique comédie de SF, au casting quatre étoiles et dont le seul objectif est de divertir le public.
Télé 7 Jours
Le ton se veut léger, et les situations fantasques (parfois forcées) s’enchaînent. Un vaudeville dystopique, dont le charme émane aussi de son épatante galerie de droïdes.
Télérama
Il y a de l’esprit dans BigBug, un drôle de mélange de bêtises et d’intelligence pas seulement artificielle.
L'Ecran Fantastique
CONTRE - Une triste histoire sans queue ni tête à la conclusion bien décevante, que ne soutient aucune analyse ou critique efficace des dérives de notre époque et semble hésiter entre la méfiance face à la technologie et l’émerveillement devant ses promesses jamais tenues.
Le Point
Le vrai bug du film, hélas, vient précisément du point névralgique de sa fable : ses humains et, pire encore, leurs interprètes. À la décharge des malheureux : ils ne sont pas vraiment aidés par le caractère programmatique d'un script à l'issue duquel pratiquement aucun d'entre eux n'aura évolué, ou si peu.
Ecran Large
Après neuf années d'absence, Jean-Pierre Jeunet signe un retour décevant, où l'on peine à distinguer les ruines de son cinéma, pulvérisées par une direction artistique bancale, un scénario vieillot et des comédiens en péril. Ne reste qu'une comédie de boulevard réactionnaire et malade.
L'Humanité
Le film, toujours potache mais jamais drôle, est à l’avenant de son style « rétrofuturiste » : il imagine le futur avec cinquante ans de retard et n’a, malheureusement, rien à en dire qui n’ait pas été déjà dit ailleurs, mille fois et mille fois mieux.
Le Journal du Geek
Bourré d'idées mal exploitées, BigBug n'est pas tant le retour au sommet de Jean-Pierre Jeunet qu'une preuve que le réalisateur a peut-être besoin d'être cadré. En voulant jouer sur la parodie, le film en devient presque la parodie de son auteur...
Le Parisien
Ne surnagent que des effets spéciaux bien maîtrisés, cela reste peu lorsqu’on dresse le bilan au moment du générique final, qui se termine après 110 très longues minutes. Quelle déception !
Les Inrockuptibles
Jeunet semble prendre sa petite démangeaison dickienne pour le summum de l’anticipation, mais il a quarante ans de retard.
Mad Movies
Un spectaculaire ratage.
Positif
La greffe entre vintage et technique [...] tourne à vide et en rond dans ce huis clos confondant effervescence et hystérie, sur fond d’insurrection androïde et de cohabitation forcée d’un groupe dans un espace clos.