Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce film bourré de références aux classiques des studios Disney est de toute beauté.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Paris Match
par Clémence Duranton
Un résultat visuel bluffant qui rend hommage aux grands classiques de Disney.
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilo
Avec Wish : Asha et la bonne étoile, le studio Disney revient enfin à ce qu’il sait produire de mieux : un émerveillement pour petits et grands.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
Si la comédie musicale Wish ressemble au traditionnel dessin animé Disney de Noël, le fond du film offre cependant quelques bonnes surprises.
L'Obs
par Azilis Briend
Le film est rempli d’émotion, de poésie et une certaine diversité de personnages. Mais il y a aussi des chansons (beaucoup trop) et des Easter eggs (références cachées) dont on se demande ce qu’ils apportent au film. Au fond, c’est aussi ça, la magie Disney.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
Mais ce fond traditionnel cache en fait une certaine forme de modernité. Car en établissant l’imaginaire de Rosas dans la réelle mer Méditerranée, en faisant de ce royaume un havre ouvert à tous les émigrants, et en montrant comment un dirigeant bienveillant sombre dans la dictature, Wish est l’un des Disney parlant le plus ouvertement de politique.
Le Figaro
par C.J.
En tout, plus d'une centaine de références parsèment le film. Mais ce sens de la mise en abyme amusante prend parfois le pas sur l'intrigue. Or la nostalgie ne suffit pas à faire un film.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
[Une] comédie d'aventures bondissante et joliment colorée.
Le Journal du Geek
par Julie Hay
Le dernier-né des studios navigue entre hommage et renouveau, sans jamais véritablement réussir à faire coexister ces deux idées. Wish : Asha et la bonne étoile tâtonne dans la combinaison des techniques de l’animation 2D et la 3D, et trouve son salut dans une histoire classique, mais convaincante.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Télé 2 semaines
par Yoann Jenan
Cette tendre réflexion autour de l'importance des vœux cache une ode à l'abnégation et à la persévérance.
Télé Loisirs
par Yoann Jenan
S'il manque de puissance par rapport aux classiques, le Disney du centenaire respecte les codes du genre et mise sur une héroïne forte et attachante.
Voici
par La Rédaction
Même si son récit patine un peu, Wish brille par son esthétique, à la croisée des animations classiques et modernes, mais aussi bardé de références aux anciens dessins animés des studios Disney.
CNews
par La rédaction
Trop classique, le scénario manque de profondeur et d’originalité, tout comme les chansons. [...] Quant à l’animation, elle peine à convaincre tant le résultat est inégal et trop souvent décevant.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Ecran Large
par Déborah Lechner
"Wish, Asha et la bonne étoile" rejoint directement le fond du panier des productions Disney, ce qui ne serait pas si grave s'il n'avait pas coûté aussi cher et n'était pas censé honorer les 100 ans du studio.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Une célébration qui a le goût d'une soupe à la grimace, tant la conception artistique du film est décevante.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Spectacle familial de cette fin d’année, le Disney du centenaire de la firme se révèle assez lisse et l’esthétique de son imaginaire nous laisse un peu sur notre faim.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Parisien
par Renaud Baronian
Le film, supposé célébrer les 100 ans du studio, amuse avec ses références aux grands classiques, mais se rate tant sur son scénario que sur son graphisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Philippe Guedj
Rien de laid ou de foncièrement raté, juste l'impression d'un résultat qui « fait le job », sans éclat. À l'heure où la concurrence rivalise d'innovations inouïes (on songe entre autres à Spider-Man : Into the Spider-Verse et sa suite chez Sony), Wish : Asha et la bonne étoile sent le renfermé.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Ouest France
par La Rédaction
Ce Disney manque d'originalité.
Première
par Manon Bellahcene
L’univers de Wish met indéniablement le pied à l’étrier aux plus petits, qui seront à toute évidence, curieux de savoir quel univers se cache derrière les singulières apparitions de Peter Pan ou de Bambi. Mais ce côté scolaire d’élèves très appliqués ne suffit pas à faire un grand et même un bon film.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Quelle déception, sur la forme et sur le fond, avec cet opus poussif, sans génie ni magie.
Télérama
par Cécile Mury
Les riches décors simili-médiévaux ne rendent pas les personnages 100 % numériques moins banals. Le récit, trop linéaire, manque de gags, de surprises, de magie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par J. Ma.
Voici beau temps que les « Disney de Noël », période qui demande un minimum de grâce, jalonnent une avancée, apparemment irrésistible, vers la bouillie esthétique. Les plus effroyables sont sans doute les films chantés qu’on soupçonne d’être subventionnés par les fabricants d’aspirine. Ce fut le cas, en 2021, d’Encanto, la fantastique famille Madrigal (...). Ça l’est de nouveau avec Wish-Asha, féerie woke qui, entre Orient et Occident, Moyen Age et Renaissance, se déroule nulle part.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Marius Chapuis
Fade et triste. [...] Le film entier évoque une créature de Frankenstein rafistolée à partir de chutes d’autres créations maison.
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
Ce film bourré de références aux classiques des studios Disney est de toute beauté.
Paris Match
Un résultat visuel bluffant qui rend hommage aux grands classiques de Disney.
aVoir-aLire.com
Avec Wish : Asha et la bonne étoile, le studio Disney revient enfin à ce qu’il sait produire de mieux : un émerveillement pour petits et grands.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Si la comédie musicale Wish ressemble au traditionnel dessin animé Disney de Noël, le fond du film offre cependant quelques bonnes surprises.
L'Obs
Le film est rempli d’émotion, de poésie et une certaine diversité de personnages. Mais il y a aussi des chansons (beaucoup trop) et des Easter eggs (références cachées) dont on se demande ce qu’ils apportent au film. Au fond, c’est aussi ça, la magie Disney.
Le Dauphiné Libéré
Mais ce fond traditionnel cache en fait une certaine forme de modernité. Car en établissant l’imaginaire de Rosas dans la réelle mer Méditerranée, en faisant de ce royaume un havre ouvert à tous les émigrants, et en montrant comment un dirigeant bienveillant sombre dans la dictature, Wish est l’un des Disney parlant le plus ouvertement de politique.
Le Figaro
En tout, plus d'une centaine de références parsèment le film. Mais ce sens de la mise en abyme amusante prend parfois le pas sur l'intrigue. Or la nostalgie ne suffit pas à faire un film.
Le Journal du Dimanche
[Une] comédie d'aventures bondissante et joliment colorée.
Le Journal du Geek
Le dernier-né des studios navigue entre hommage et renouveau, sans jamais véritablement réussir à faire coexister ces deux idées. Wish : Asha et la bonne étoile tâtonne dans la combinaison des techniques de l’animation 2D et la 3D, et trouve son salut dans une histoire classique, mais convaincante.
Télé 2 semaines
Cette tendre réflexion autour de l'importance des vœux cache une ode à l'abnégation et à la persévérance.
Télé Loisirs
S'il manque de puissance par rapport aux classiques, le Disney du centenaire respecte les codes du genre et mise sur une héroïne forte et attachante.
Voici
Même si son récit patine un peu, Wish brille par son esthétique, à la croisée des animations classiques et modernes, mais aussi bardé de références aux anciens dessins animés des studios Disney.
CNews
Trop classique, le scénario manque de profondeur et d’originalité, tout comme les chansons. [...] Quant à l’animation, elle peine à convaincre tant le résultat est inégal et trop souvent décevant.
Ecran Large
"Wish, Asha et la bonne étoile" rejoint directement le fond du panier des productions Disney, ce qui ne serait pas si grave s'il n'avait pas coûté aussi cher et n'était pas censé honorer les 100 ans du studio.
Franceinfo Culture
Une célébration qui a le goût d'une soupe à la grimace, tant la conception artistique du film est décevante.
La Voix du Nord
Spectacle familial de cette fin d’année, le Disney du centenaire de la firme se révèle assez lisse et l’esthétique de son imaginaire nous laisse un peu sur notre faim.
Le Parisien
Le film, supposé célébrer les 100 ans du studio, amuse avec ses références aux grands classiques, mais se rate tant sur son scénario que sur son graphisme.
Le Point
Rien de laid ou de foncièrement raté, juste l'impression d'un résultat qui « fait le job », sans éclat. À l'heure où la concurrence rivalise d'innovations inouïes (on songe entre autres à Spider-Man : Into the Spider-Verse et sa suite chez Sony), Wish : Asha et la bonne étoile sent le renfermé.
Ouest France
Ce Disney manque d'originalité.
Première
L’univers de Wish met indéniablement le pied à l’étrier aux plus petits, qui seront à toute évidence, curieux de savoir quel univers se cache derrière les singulières apparitions de Peter Pan ou de Bambi. Mais ce côté scolaire d’élèves très appliqués ne suffit pas à faire un grand et même un bon film.
Télé 7 Jours
Quelle déception, sur la forme et sur le fond, avec cet opus poussif, sans génie ni magie.
Télérama
Les riches décors simili-médiévaux ne rendent pas les personnages 100 % numériques moins banals. Le récit, trop linéaire, manque de gags, de surprises, de magie.
Le Monde
Voici beau temps que les « Disney de Noël », période qui demande un minimum de grâce, jalonnent une avancée, apparemment irrésistible, vers la bouillie esthétique. Les plus effroyables sont sans doute les films chantés qu’on soupçonne d’être subventionnés par les fabricants d’aspirine. Ce fut le cas, en 2021, d’Encanto, la fantastique famille Madrigal (...). Ça l’est de nouveau avec Wish-Asha, féerie woke qui, entre Orient et Occident, Moyen Age et Renaissance, se déroule nulle part.
Libération
Fade et triste. [...] Le film entier évoque une créature de Frankenstein rafistolée à partir de chutes d’autres créations maison.