Mais quel dommage ! Les 45 minutes sont génialissimes, personnellement j ai eu vraiment peur alors que j ai regardé ce film en plein jour en faisant mon repassage :-D Et puis il y a une coupure de rythme, ça repart, mais très rapidement ça devient n'importe quoi... On comprend avant le déroulé ce qui se trame, ça en devient risible... La fin est grandguignolesque. Tellement déçue ça aurait pu être un petit chef d oeuvre
Complètement con. Très bonne 1ère partie avec Keith, beaucoup de tension qui s'installe. Et ensuite on a un film différent collé au 1er, avec un nouveau personnage principal dont on a rien à carrer puisque c'est un violeur. Et une femme monstre aux pouvoirs surnaturels. Bref ça dégage
Avec cette jeune fille qui arrive tard dans un air n b qu'elle a loué et qui s'aperçoit que le logement est déjà occupé, on commence ce film par un thriller. La réalisation et le scénario font que l'intrigue crée une certaine angoisse. Puis après, on tombe dans le film d'épouvante qui n'effraie peu tant les idées sont déjà vues et revues (comme les lampes torche qui fonctionnement mal) dans ce genre de film. Au final : c'est 3 étoiles
Vraiment pas mal. Cela faisait un bail qu'un film ne m'avait pas autant stressé. Le suspense est très palpable. La fin n'est pas forcément à la hauteur, cependant. Je trouve que c'est légèrement bâclé. Je déplore, également, le personnage loufoque dont les caractéristiques restent inexpliquées. Je trouve que cela enlève toute crédibilité à l'histoire. Malgré tout, une chouette découverte qui ne laisse pas indifférent.
Entre ceux qui croit avoir découvert la pépite du siècle et ceux qui crache leur fiel sur le film il faut sans doute raison garder. Déjà révoquons certaines critiques qui n'ont pas lieu d'être, ceux des forts en thèmes qui pose les mauvaises questions "pourquoi tel personnages fait ceci alors qu'il aurait fallu faire cela ?"... Et bien parce que dans ce cas le film n'aurai pas été le même ! En fait nous avons là une bonne série B avec des moments d'angoisse plutôt bien gérés, une actrice principale (Georgina Campbell) qui assure complétement. En revanche et même si ça n'a rien de fondamental on ne comprend pas certains arcs narratifs (La rencontre spoiler: de Tess avec... avec qui d'abord ?) et on se demande l'utilité des digressions MeToo qui n'apportent strictement rien au récit. Mais on ne s'ennuie pas, on n'est globalement pas déçu par la marchandise, c'est déjà énorme !
Un film d'épouvante/ thriller vraiment cool , qui change de l'ordinaire avec une bonne fin et surtout de bon acteur . Un 8 clos sans en être un . Agréablement surprise de ne pas en avoir entendu parler avant . Merci Netflix
Le film commençait plutôt bien, je m'attendais à une bonne histoire. La suite, une horreur c'est le cas de le dire. Encore une histoire de "monstre", comme du déjà vu. Complément débile, j'ai eu du mal à tenir jusqu'au bout. Je m'arrête là, rien à dire sur ce navet. Dommage, car les comédiens sont bons. Comme celui qui jouait dans "jeepers creepers", film d'ailleurs que j'ai trouvé très bon
J'ai complètement adoré ! ENFIN un vrai film d'horreur ! Y'en avait marre des conjuring, insidious et autre bouse pour adolescents, la c'est du vrai stress, on ne sais pas dans quoi on s'embarque, les acteurs très bons et les scènes très bien pensés !
Ce film a réussi une prouesse jamais égalée : être stéréotypé au maximum, sans même être cohérent. Le navet du siècle. Scénario plat, clichés, acteurs mauvais, monstre (si on peut appeler ça un monstre) infiniment ridicule.. Zéro sur tous les plans, mention spéciale à la scène de la descente dans la cave de la maison : le mec se vautre mais la fille, elle, réussira certainement mieux que lui en descendant bêtement.. Honte à la presse de surcoter une daube pareille
En multipliant les gros plans lents et inutiles, les travellings circulaires, les lignes de basses et les jump scares, Zach Cregger (issu de la télévision via The Withest Kids U’ Know et orphelin de son comparse Trevor Moore, décédé) plante le décor immédiatement, comme s’il réalisait un épisode de série horrifique d’une demi-heure.
Une demi-heure, c’est d’ailleurs le temps qu’il faut au film pour démarrer vraiment, une fois expédiée une situation initiale qui s’étire sans intérêt autre que la mise en perspective des rapports hommes-femmes. Et de fait, ce film ressemble à une adjonction de trois épisodes d’American Horror Story en moins drôles, ce qui est dommage si l’on tient compte de quelques éléments originaux, notamment la chute, hélas noyés dans une longue suite de clichés.
Quelle déception ! Des critiques élogieuses qui s'avèrent, après visionnage de ce film, complètement incompréhensible. Une oeuvre qui commence à installer une ambiance oppressante aidée par une musique angoissante. Après un début prometteur, on tombe sur une histoire à dormir debout, ridicule et exagérée. C'est vraiment dommage et je ne comprends vraiment pas les éloges que ce long-métrage reçoit. Barbare est barbant. Surestimé.
Quand Tess arrive à Détroit dans un Airbnb déjà occupé par un autre locataire du nom de Keith (erreur de la société de location), on a presque l'impression d'être sur un début de comédie romantique. Comme je savais dès le départ que c'était un film d'horreur, j'ai pensé au classique c'est à dire que Keith devait être un psychopathe mais la suite de l'intrigue m'a surprise. La menace se trouve en réalité spoiler: dans les sous-sol de la maison qui se trouve d'ailleurs dans un quartier délabré abandonné pour une bonne raison. Si vous aimez les films d'horreur, avec quelques scènes degueu, légèrement malsain, vous aimerez ce film. Je regrette quelques longueurs (on se fiche un peu des histoires personnelles des personnages) alors que le "prequel" qui mène à la situation qui nous intéresse est totalement avorté.
Comme le paradoxe est intrinsèque à toute entreprise humaine, c’est donc sur la plateforme du plus conformiste des grands studios qu’on retrouve deux des films d’épouvante U.S. les plus intéressants vus ces derniers temps : le grand Thriller parano qu’était ‘The empty man’ et ce ‘Barbare’, au déroulement sans doute plus classique, mais qui parvient à dérouter le spectateur en accumulant les ruptures de ton, les fausses pistes et les trames a priori totalement distinctes que le scénario parviendra pourtant à raccrocher efficacement les unes aux autres. ‘Barbare’ se pique même de dire quelque chose, pas plus bêtement qu’une production plus respectable, sur la désertification urbaine de Detroit, ceux qui en profitent et ceux qui en ont payé le prix fort, et sur les failles obscures d’une Amérique faussement glamour, avec un personnage (qui apparaîtra seulement vers la moitié du film) qui s’avère solidement caractérisé et qu’on trouvera tour à tour pathétique, sournois ou carrément écoeurant selon la situation: le côté horrifique de ‘Barbare’, qui comporte moins d’effets vulgaires que le commun des films de maison hantée, fraye d’ailleurs avec un côté satirique parfois féroce, pas si éloigné de celui des films de Jordan Peele par son premier degré de lecture très accessible et son second beaucoup plus subtil. Alors, c’est sûr, une fois le pot-aux-roses dévoilé, ‘Barbare’ s’applique scrupuleusement à assumer son petit numéro d’épouvante, sans trop se répéter car la créature est suffisamment rebutante pour se suffire à elle-même mais il préfère alors sacrifier l’unité de lieu - les soubassements d’un pavillon transformé en AirBnB - au profit de rebondissements déroutants, en tout cas très inhabituels dans un cinéma de genre qui préfère se reposer sur les schémas éprouvés. Aussi éloigné de l’Elevated-horror que des franchises en mode “Train Fantôme”, ‘Barbare’ prouve surtout qu’il existe encore de la place pour une troisième voie.
La chronologie du film est très bien pensée. Il est bien glauque mais je trouve que la tension baisse après les 3/4 du film. C'est un peu dommage. Mention spéciale à Justin Long que j'adore , ça m'a fait plaisir de le revoir dans ce genre de film (Depuis le premier Jeepers Creepers où je l'ai découvert ).