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Hemvy
2 abonnés
47 critiques
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1,0
Publiée le 3 mai 2024
Complètement con. Très bonne 1ère partie avec Keith, beaucoup de tension qui s'installe. Et ensuite on a un film différent collé au 1er, avec un nouveau personnage principal dont on a rien à carrer puisque c'est un violeur. Et une femme monstre aux pouvoirs surnaturels. Bref ça dégage
Une bonne surprise pour ce film dont la première partie manie avec beaucoup d'esprit l'angoisse et l'incompréhension. J'apprécie tout particulièrement la manière dont la réalisation nous plonge tout doucement dans une horreur inattendue et surprenante. Dommage pour la seconde partie du film qui pourrait presque être coupée pour nous laisser avec un court métrage plus que réussi !
Ne perdez pas votre temps à regarder ce navet !!!! Je me suis forcé à attendre la fin pour des rebondissements mais rien ne va dans ce film sérieux ! Tout est gros et c'est du vu et revu, rien d'innovant
Vous pouvez directement sauter après 1h et vous n aurez rien perdu : on ne voit que de gens dans un appartement... Et le mieux est de directement aller à la fin tellement le reste ne vaut pas le coup.
Nullissime...le film commence plutôt bien. les acteurs sont bons et jusqu'au milieu du film cela tiens la route puis on tombe dans l'invraisemblance la plus totale. Des choix de l'héroïne qui n'ont ni queue ni tête, spoiler: au "monstre" ridicule " une femme a la force de Hulk issue de viols par un psychopathe violeur terré sous une maison dans des kilomètres de galeries qu'on se demande bien comment il a creusé tout ca et comment tout cela n'a pas été découvert durant tout ce temps . Bref ca n'a pas de sens ni de plausibilité, scenario écrit avec les pieds. Grosse déception et encore une fois filouter par les critiques positives.
Nul Du grand n importe quoi... Des navets j en ai vu, mais là ça dépasse tout ce que j ai pu voir jusqu'à maintenant Passez votre chemin. Vous gagnerez du temps...
"Barbarian" montre un bon condensé de tout ce qu'il ne faut pas faire si l'on veut rester en vie. Un bon moment pour rappeler qu'il faut aussi toujours écouter la petite voix dans sa tête. D'ailleurs, Zach Cregger a écrit le scénario après avoir lu "The Gift of Fear" de Gavin de Becker, qui encourage les femmes à faire confiance à leur intuition. C'est tout ce que Tess ne fait pas lorsqu'elle arrive devant son airbnb pour s'apercevoir qu'il y a déjà une personne à l'intérieur. Alors qu'elle n'a pas le choix, elle décide d'accepter son invitation en attendant de trouver mieux sauf que son séjour va virer au cauchemar. Ce qui est bien, c'est que l'on ne sait pas si Keith a une idée derrière la tête ou si les deux sont dans la même galère. Zach Cregger, qui a commencé par écrire un court-métrage d'une trentaine de minutes, nous propose une première partie absolument géniale. C'est intense, angoissant, glauque, intrigant. Comme Tess, on ne comprend pas ce qui arrive. Ce qui suit, et je ne vais pas donner de détails, est plus inégal, mais pas moins bien pour autant. C'est juste différent. Les moments stressants sont toujours là, mais c'est aussi amusant et jouissif. Quand on repense à la discussion entre Tess et Keith à propos de si les rôles avaient été inversés et que l'on voit spoiler: la réaction d'AJ quand il découvre cette pièce bien glauque, ça en dit long . "Barbarian" n'est pas qu'un divertissement horrifique parfaitement mené, c'est aussi un film à message que ce soit sur spoiler: le quotidien des femmes, sur le harcèlement dans le milieu du cinéma ou encore sur ces villes abandonnées avec ces gens livrés à eux-mêmes dont personne ne s'occupe pas même la police. "Barbarian" est finalement un très bon film qui est à la fois surprenant et très divertissant.
Voilà le genre de film à ne pas voir avant de dormir. Il y a longtemps que je n’avais pas flippé comme ça devant un film d’horreur. Tout est parfaitement réglé. D’entrée c’est intrigant et l’angoisse monte crescendo jusqu’à nous couper le souffle. Un sentiment que je n’avais pas ressenti depuis le terriblement effrayant The Descent. Juste un petit bémol la fin est peut être un peu trop grand guignol. Mais tout le reste est bien fait, de la mise en scène au scénario en passant la direction artistique. Et en plus c’est très bien interprété. Un petit coup de jeune sur le genre, et sans doute le meilleur film horrifique de l’année. Bref, une belle frousse.
Le film se découpe en deux parties. La première est absolument parfaite à tous niveaux. La mise en situation de la protagoniste, sa rencontre fortuite, le malaise qui s’installe jusqu’à un final prenant jusqu’aux tripes. Puis la lumière s’éteint et on passe à la seconde partie qui finit par rejoindre la première, mais qui reste assez bancale dans son ensemble. Tout est expliqué de A à Z mais c’est limite rocambolesque. Y’avait tellement mieux à faire. Je mets 4 étoiles car ce film aurait pu être parfait s’il était resté du niveau de la première partie jusqu’à la fin. Quel dommage.
Alors là c’est une bonne surprise. Je n’attendais pas grand chose d’un film d’horreur qui débarque directement sur Disney + et pourtant Barbare s’avère être un film de genre très atypique qui multiplie les genres justement. Film de pure tension dans sa première partie qui avec des tout petits détails et deux acteurs très convaincants arrive à créer une vraie angoisse sans faire d’esbroufe. Il tourne au film de monstre un peu plus graphique dans sa seconde partie. Il multiplie aussi les sous texte sur les relations homme femme, l’individualisme, les apparences, l’emprise et j’en passe le tout avec une ville de Détroit qui tombe en ruine en arrière plan. La présence de Justin Long et les ruptures de tons m’ont beaucoup fait penser au premier Jeepers Creepers et pour de bonnes raisons. Un film qui mérite d’être connu et qu’on s’y attarde.
Rien de tel qu'une réservation Airbnb pour débuter un film d'horreur. Surtout quand votre maison de location se situe au milieu d'un quartier sinistré et abrite déjà un particulier. Si ces deux lignes de résumé vous semblent alléchantes, ne cherchez pas à en apprendre plus. Ça vaut mieux pour vous et pour Barbare. Zach Cregger a porté ce projet à bout de bras sans rencontrer le moindre enthousiasme de la part des financiers, jusqu'à ce que le précieux soit soutenu par BoulderLight Pictures et Vertigo Entertainment à hauteur de 4.5 millions de dollars pour un tournage en Bulgarie. Il y a fort à parier que les réfractaires parmi lesquels A24 (soutien principal des auteurs en mal de mécènes) regrettent cette fin de non-recevoir, le long-métrage aurait pu ajouter un peu de pimpant à leur rayon épouvante.
Deuxième essai pour Cregger, mais le cinéaste se sent apparemment plus à l'aise ici que dans la veine comique (Miss Mars, 2009). La comédie est affaire de timing, l'effroi relève de l'ambiance. Avec ses mouvements de caméra réglés au millimètre, son montage au cordeau, ses effets de transitions fluides ou le changement de focale, le metteur en scène donne le la avec assurance. Aucune envie de réciter la petite musique du film d'horreur barbant, la menace n'est pas sacrifiée au profit de jump-scares prévisibles. Barbare s'amuse même à en distordre certains clichés, par exemple au détour d'un dialogue questionnant nos perceptions selon les genres. Nullement gratuit, l'échange prendra une autre dimension durant les grands embranchements narratifs. Avec plus ou moins de réussite.
On ne reprochera pas à Cregger de tenter. Son film prend régulièrement son spectateur au dépourvu pour l'inciter à rester bien alerte. Ça ne se passera pas comme prévu ? On le croit pendant un temps. Sauf qu'à force de ruer dans les brancards, les initiatives deviennent répétitives voire hasardeuses. Le sujet (passionnant) fournit encore quelques idées/images fortes, mais la dernière partie un peu décousue et facile dans son épilogue fait perdre des points à l'équipe. Pas trop, tout de même. Et surtout pas au casting, de la superbe Georgina Campbell au génialement ambigu Bill Skarsgård. Eut égard à sa genèse et à la plateforme où il atterrit (en France, du moins), il faut admettre que c'est déjà une jolie petite surprise.
Un début très prometteur, un retournement de situation fascinant, le tout dans une atmosphère crédible et pleine de suspense avec des sons et des musiques anxiogènes,des flash-backs bien amenés..tous les ingrédients étaient là pour faire un très bon film d'horreur, le tout sans censure. Mais comme la plupart dans le genre, c'est le dernier tiers qui fausse la note. Un final ridicule, qui décrédibilise les bases pourtant solides instaurées depuis une bonne heure..
Bref, Barbare avait tout d'un bon menu, une bonne entrée en matière, un plat digeste et généreux mais qui se finit par un dessert avec les poils pubiens du chef; pas sûr d'en redemander, et au final, on ne retiendra que ça.
Les problèmes les plus fréquents avec une location Airbnb sont moins de place que vendue ou une vue sur mer étriquée mais jamais on se retrouve avec d'autres locataires dans la maison ou pire encore avec une créature horrifique dans la cave. Il y a beaucoup de banlieues américaines qui à cause de catastrophes naturelles ou de récessions économiques se sont vidées de leurs habitants en laissant la place aux fantômes d'un avant bienheureux qui n'existe plus. Ce film à l'intelligence d'aborder la peur par ce biais, par contre dans son déploiement et son efficacité je l'ai trouvé quelconque, bien loin des critiques dithyrambiques qui m'ont donné envie de le voir.
3/5. Pas mal. Se laisse regarder. Une location RBNB qui ne se déroule pas comme prévu. Film en deux parties sur une durée de temps de 15 jours. Des incohérences majeures qui expliquent ma note. Certaines réactions de personnages secondaires sont totalement contraire à la logique .. donc peu crédible par moment. L’ambiance générale est tout de même oppressante. Au fur et à mesure , nous comprenons l’histoire de la maison sans pour autant nous montrer visuellement l’horreur de son passé . Le deviner suffit amplement. Ça se regarde .