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Philippe g.
18 abonnés
96 critiques
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3,0
Publiée le 9 novembre 2023
L'homme à la moumoute revient en force avec une comédie amusante, mais pas éblouissante. Il y a de bonnes idées, mais beaucoup de scories aussi. Un film du dimanche soir.
Le film est un peu long à démarrer et on a un peu de mal à croire à ce cliché qui nous est servi de l'acteur sur la pente de l'oubli, en mal de renouveau, quoi que... avec Nicolas Cage on peut s'attendre à tout. La seconde partie du film est plus trépidante, et elle est annoncée par la scène d'ouverture qui permet de raccrocher les wagons de l'intrigue. C'est au moins aussi distrayant qu'un James Bond, un peu exubérant aussi, même s'il ne s'agit pas ici de sauver le monde, on bascule avec plaisir dans un thriller politique sur fond de réconciliation familiale et d'amitié virile comme on en voit rarement au cinéma. Pas un chef d'œuvre mais un bon film agréable et distrayant.
Sympa ce film 😉👌 un bon film, sympa ça change de ce que l'on peut voir habituellement. Si vous aimez Nicolas Cage c'est un bon film bon forcément il " gueule " une fois où deux mais sinon ce serait pas un " Cage ". 😉
Au départ, c'est surprenant. Cela devient vite assez drôle quand Cage parodie Cage. Ce qui fait la grande force de ce petit film original, c'est le duo épatant formé par Nicolas Cage et Pedro Pascal (qui a le même prénom que dans Narcos, est-ce une coïncidence !). On ne s'ennuie pas à suivre leurs aventures parodiques émaillées de références cinématographiques. Il faudrait le revoir plusieurs fois pour s'amuser à découvrir, façon jeu de piste, tous les clins d'oeil. Et surtout, et c'est là que c'est malin, cela donne envie de revoir les films de Nick Cage (Paddington 2 compris !). Un très joli moment de cinéma.
Ce film est un navet. C'est la première fois en 20 ans de cinéma que je sors avant la fin. Film lent, pas drôle et scénario bidon. Bref à oublier rapidement.
Une comédie totalement hilarante, avec un Nicolas Cage au mieux de sa forme. Vraiment très drôle, avec en plus de l'action alors qu'on ne s'y attendrait pas. De l'auto dérision intelligente.
Nicolas Cage n’est plus que l’ombre de lui-même. Devenu hasbeen et endetté, il attend inlassablement le prochain grand rôle qui pourra le remettre sur le devant de la scène et relancer ainsi sa carrière. Il accepte à contre cœur (mais contre rémunération) de se rendre à l’anniversaire d’un richissime mexicain dans le but d’éponger une partie de sa dette. Sauf qu’il ne savait pas à quel point Javi est un fan de la première heure et qu’à l’occasion de son déplacement à Majorque, Nick allait entrer en contact avec la CIA…
L’idée en soi était intéressante, réaliser une comédie « méta » sur l’icône que représente Nicolas Cage dans la pop culture d’aujourd’hui, en jouant de lui et de son image. Cela aurait pu être amusant, mais à bien y réfléchir, la réponse est non. Car trop souvent, le film ne fait que se reposer sur ses acquis, des blagues de situations (certes drôles, comme celle de la fuite sous LSD) mais dont les rires se font attendre entre chaque scène. Oscillant entre le buddy-movie, la comédie ou encore le film d’espionnage, on est loin de l’effet escompté malgré quelques bonnes idées disséminées ici et là et une excellente utilisation du lifting numérique opéré sur Cage pour le rajeunir du temps de Sailor et Lula (1990).
110min de fan-service particulièrement attendu, où s’enchaîne les références et autres extraits des œuvres dans lesquelles Cage à jouer par le passé (Leaving Las Vegas - 1995, Rock - 1996, Les Ailes de l'enfer - 1997, Volte/Face - 1997 ou encore 60 secondes chrono - 2000), ajouté à cela, quelques pétages de câble digne de l’acteur (déjà maintes fois vu et revu, mais dont on ne boude pas le plaisir de les revoir ici), le tout, entrecoupé par une histoire capillotractée de milliardaire scénariste, de mafia et de CIA (pas crédible vu leur niveau d’incompétence).
Dans le même style, on avait déjà eu Grosse Fatigue (1994) de et avec Michel Blanc, Dans la peau de John Malkovich (1999) de Spike Jonze ou encore JCVD (2008) de Mabrouk el Mechri avec Jean-Claude Van Damme. Un talent en or massif (2022) vient s’ajouter à la liste mais s’oubliera aussi vite tant ce dernier n’aura pas su capitaliser sur sa star avec un script qui en vaille la peine.
Une comédie ultra-référencée et bourrée ras-la-gueule d'easter eggs pour les fans de la première heure, autant vous dire que si vous ne suivez pas Cage depuis le début de sa prolifique carrière, vous risquez fort d’être laissé sur le bas-côté.
Incontournable dans les années 90, Nicolas Cage a commencé à connaître des ennuis capillaires et cinématographiques dans les années 2000, alternant films moyens, parfois distrayants et direct to DVD lamentables et arborant des coupes de cheveux improbables. Les années 2010 ont amplifié le phénomène et le bon Nick ne faisait presque que cachetonner malgré la lueur d'espoir que fut Joe. Avec cette nouvelle décennie, les problèmes capillaires semblent réglés et voilà que le neveu de Francis sort deux projets prometteurs coup dur coup. Je n'ai pas encore vu Pig, mais j'ai hâte... Concentrons-nous donc sur un talent en or massif. Le projet peut sembler complètement mégalomane mais il est en fait bourré d'autodérision et de second degré. Nick joue de son image à l'extrême et c'est souvent très drôle. Ajoutez à cela des scènes d'action bien fichues et vous obtenez un film qui, sans être un chef d'œuvre, vous fait passer un superbe moment.
Nicolas Cage ne se prend pas au sérieux, mais il essaye de se donner un image quand même. Un scénario faussement original, quelques passages rigolos sans plus, rien de transcendant ici.
On y retrouve l'irrévérence et l'autodérision de Grosse Fatigue (1994) mêlées à un hommage sincère pour un acteur plus vraiment bankable façon JCVD (2008). Le plus... bah c'est que c'est Nicolas Cage qui, comme notre belge préféré, le mérite tout autant surtout quand c'est bien fait... Ça brosse pas mal de sa carrière et de ses désillusions après ses galères de dettes. Ça évoque le côté personnel, la vie de famille mariée à tout Hollywood, le regard de Cage plus jeune en début de carrière, le regard des fans et ça joue avec les genres cinématographiques avec une grande légèreté. Ce n'est jamais sérieux, jamais poussé à l'extrême, mais au côté de Pedro Pascal et de Nick, le moment est agréable.
En 2022, Tom Gormican signe une fiction parodique remplie de malice. En interprétant son propre rôle, avec une forme d’autodérision, Nicolas Cage tient le haut de l’affiche. Comportant plusieurs références à sa filmographie mais aussi des clins d’œil à sa vie personnelle (trou d’air artistique, starification, etc.), l’intrigue possède un rythme soutenu propre à satisfaire les amateurs de film d’action. Néanmoins, malgré quelques réflexions sensées sur la relation père/fille, l’histoire ne présente aucune profondeur. Bref, une mise en abyme parfois drôle mais dotée d’un fil conducteur sans épaisseur.
Exceptionnel, Nicholas Cage dans toute sa splendeur. Il nous offre une palette d’émotions incroyables. Aucune longueur dans ce film. La salle était hilare par moment !