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    Les Choses qu’on dit, les choses qu’on fait
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    Aluban
    Aluban

    10 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 septembre 2020
    Deux personnages qui se racontent leurs aventures sentimentales, où des hommes cherchent l'amour auprès de femmes qui toutes semblent ne jamais vouloir aller plus loin que le premier soir.
    Je ne suis pas resté jusqu'à la fin...
    Coach Jordano
    Coach Jordano

    20 abonnés 215 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 septembre 2020
    Très peu d'intérêt malheureusement... l'idée de départ est dotée d'un gros potentielle seulement c'est très mal joué et finalement on ne retient rien de ce film si ce n'est la performance pitoyable de Jordana..
    Juio81
    Juio81

    8 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 septembre 2020
    Ce genre de film un peu pompeux sur des banalités ne peut fonctionner qu'avec de bons acteurs.et là grosse erreur de casting avec camélia Jordana qui s est récemment improvisée comédienne mais n a pas compris que c est un vrai métier et que ce n est pas un jeu.elle n est absolument pas crédible.dommage
    Caine78
    Caine78

    6 796 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 septembre 2020
    Pour moi, découvrir un nouveau film d'Emmanuel Mouret est toujours un moment particulier. Il est peut-être mon réalisateur français préféré actuellement, même si j'ai été moins séduit par ces derniers titres, « Mademoiselle de Joncquières » restant toutefois une belle adaptation du « Jacques le Fataliste » de Diderot. Alors forcément, quand je le vois revenir à ses premiers amours à travers ce chassé-croisé sentimental semblant rappeler le merveilleux « Un baiser, s'il vous plaît », je suis irrémédiablement attiré, me demandant comment celui-ci va pouvoir se réinventer pour nous séduire. Et c'est vraiment sur la durée que j'ai été capable d'admirer son travail, à quel point le réalisateur est pratiquement le seul en France à être capable de nous offrir de si beaux moments de cinéma. Mouret se lance ainsi dans un récit beaucoup plus complexe qu'il n'y paraît, se plaisant à voyager entre présent et passé, parfois proche, parfois plus éloigné, dont la cohérence et l'harmonie devient évidente au fil des minutes, Tout finit par se rejoindre, avec une grâce rare et surtout de très nombreuses questions abordées, toujours avec une douceur, une délicatesse, une sensibilité sans égal. Le cinéaste n'a pas toutes les réponses : il en a même assez peu. Par contre, la façon dont il aborde le sentiment amoureux, la frustration, la déception, la douleur, l'espoir (et le désespoir), l'attente, le temps qui passe, le fait qu'une histoire fonctionne ou pas selon l'instant, le contexte, est magnifique. On sent que chaque instant, chaque dialogue est mûrement pensé, réfléchi, cherchant toujours à exprimer quelque chose nous touchant au plus profond de nous-mêmes. Il s'adresse aussi bien à notre intelligence qu'à notre cœur, notre vécu comme à ce qu'on aimerait avoir vécu, car même (surtout) lorsqu'il finit mal, connaître l'amour, le vrai, n'a aucun équivalent. Le cinéaste ne cherche pas à être réaliste : plusieurs moments ne le sont pas. Mais qu'importe : ce qui l'intéresse, c'est la vérité, une vérité humaine à laquelle il touche constamment et, à travers elle, l'universalité. On ne peut qu'admirer ce talent à mêler différentes histoires sans jamais se répéter, à présenter nombre de situations se faisant écho tout en gardant chacune leur propre identité, leur éclairage sur une relation dans un contexte précis. Aucun jugement, aucune morale : juste des personnages écrits chacun avec énormément de soin, que l'on aimerait connaître, dont certains proprement bouleversants : je pense à celui de Louise, que Mouret a eu l'excellente idée de faire incarner par Émilie Dequenne qui, malgré des consignes de jeu manifestement particulières (j'y reviendrais), est déchirante de spoiler: sacrifice et de bonté
    , la plus belle scène d'une œuvre n'en manquant pourtant pas. Après, s'il faut avoir une ou deux réserves, il y a donc l'interprétation, le réalisateur ayant visiblement demandé à ces acteurs une approche très sobre, très posée, probablement pour ne pas tomber dans le pathos ou le larmoyant. Je peux comprendre, mais je trouve que cela retire surtout un peu d'émotion, et si les femmes ne s'en tirent pas trop mal (Dequenne, évidemment, sans oublier Jenna Thiam (quelle femme)), je suis moins convaincu côté masculin (passe encore Guillaume Gouix, plus de mal avec Vincent Macaigne et surtout Niels Schneider, me confirmant que même dans un film adoré, cet acteur reste un mystère pour moi).Il faut également accepter une façon de parler n'existant pas en France voire dans le monde, où l'on prononce la négation, fait toutes les liaisons, ne dit jamais le moindre gros mot. Mais c'est toujours le cas chez ce réalisateur, ajoutant même à son charme me concernant, que je vois souvent comme le dernier vrai romantique du septième art, un galant homme qui se serait trompé de siècle et serait devenu un grand écrivain au temps de l'amour courtois... Je n'aurais pas forcément gardé la dernière scène : je trouvais l'impact de la précédente plus forte, même si je comprends très bien son intention. Qu'importe, ou presque : des histoires d'amour comme celle-ci, hors des modes, presque hors du temps sont une chance, mieux : un espoir. Celui de voir Emmanuel Mouret continuer à nous offrir de si belles émotions, imaginer des protagonistes que l'on oubliera jamais. Un mot, un seul : merci.
    Thaut08
    Thaut08

    3 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 septembre 2020
    Un bon moment passé à rire... De nombreuses scènes cliché reprises de films romantiques comme hot shot ou y'a t il un flic pour sauver le président... Pour ceux qui ont vraiment apprécié la profondeur abyssale des dialogues creux et sans échos, je conseille le doutage des inconnus... C'est tout aussi boulversif
    Matthieu C
    Matthieu C

    18 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 septembre 2020
    Pas le plus drôle des Mouret mais peut être le plus élégant et surtout c'est toujours aussi bien écrit.
    Jean C.
    Jean C.

    7 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 17 septembre 2020
    Trop long ennuyeux embrouillé!des dialogues pompeux rendus inaudibles sous des flots de musique classique On recherche vainement le charme et la drolerie des films précédents de ce réalisateur qui ne parvient pas à nous intéresser à ses personnages peu enthousiasmants!on a l impression de perdre son temps!
    lucile75
    lucile75

    11 abonnés 107 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 octobre 2020
    Les critiques dithyrambiques m'ont poussées à aller voir ce film. Malheureusement ce que je pressentais étais là: des dialogues ultra écrits et donc pas naturels du tout, et des personnages surjoués façon théâtre. Bref, je n'y ai pas cru du tout. Dommage car l'histoire était sympa.
    Tumtumtree
    Tumtumtree

    172 abonnés 534 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 septembre 2020
    Après trente minutes à me demander comment j'allais subir 2h de ces superficiels marivaudages de bobos, me voici progressivement conquis par un scénario à tiroirs plutôt bien conçu et une Camélia Jordana vraiment émouvante. Le caractère très poseurs des premières scènes et l'un des personnages féminins en surjeu permanent m'ont fait franchement peur. Niels Schneider enfermé dans la maladresse d'un personnage construit comme l'antithèse du monstre d'Un amour impossible ne me convainquait pas du tout. Mais la simplicité de Vincent Macaigne, l'élégance d’Émilie Dequenne, et quelques dialogues bien sentis m'ont fait tourner casaque. La fragilité sensible de Camélia Jordana m'a ensuite totalement emporté. C'est inégal, parfois maladroit, ponctuellement pénible (tant cet univers de richards aux mobiliers et dress-code parfaits est éloigné du monde réel), mais les sentiments l'emportent finalement... Je vous souhaite la même révélation !
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 19 septembre 2020
    ennuyeux, compliqué, prétentieux, dans ce film les hommes n'ont aucun charisme....on s'endort...à leurs côtés et on se demande comment ces dames font face à des hommes aussi insipides.
    Georges P
    Georges P

    2 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 septembre 2020
    Marivaudage peu inspiré, dialogues faux, poncifs à la chaîne, réalisation sans grâce, acteurs à la peine. Quelle déception !
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 16 septembre 2020
    J'étais super emballée par les premiers films d'Emmanuel Mouret. Il y avait de la fantaisie, de l'humour, de l'esprit... Un côté burlesque... C'était léger mais intelligent, subtil...Depuis quelques films, je n'y trouve plus mon compte. Je suis restée jusqu'à la fin mais je suis restée sur ma faim...
    traversay1
    traversay1

    3 644 abonnés 4 876 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 septembre 2020
    Depuis ses débuts, Emmanuel Mouret n'a de cesse d'explorer le sentiment amoureux et les fluctuations du désir, dans des récits qui ne cessent de gagner en épaisseur au fil du temps, à mesure que le cinéaste grandit, pour aujourd'hui figurer parmi les plus talentueux du cinéma français. Après son brillantissime Madame de Joncquières, Mouret revient à l'époque contemporaine avec Les choses qu'on dit, les choses qu'on fait, avec une virtuosité narrative alliée à une qualité de dialogues, qui est depuis toujours sa marque de fabrique (mais sans le côté précieux qui gâchait un peu ses premiers longs-métrages). L'action passe par les sentiments, à travers l'enchâssement vertigineux d'histoires sophistiquées, contées avec une élégance et une fluidité uniques. C'est un cinéma de mots et de maux de cœur, des intrigues en apparence légères mais en définitive cruelles puisqu'il y a des tromperies, des frustrations et des séparations, bref tout ce qui agite et construit (ou détruit) la vie d'êtres humains en état de marche amoureuse. Le cinéaste n'est en aucun cas un moralisateur et se garde de bien de juger ses personnages, pointant simplement leurs contradictions et leurs atermoiements et évidemment leurs pulsions. Outre l'ingéniosité de la mécanique de son scénario, le film est aussi un terrain de jeu idéal pour des acteurs dirigés avec finesse, pouvant exprimer une sensibilité que l'on n'avait pas nécessairement aperçu dans leurs rôles précédents, pour Emilie Dequenne, Vincent Macaigne, Camélia Jordana ou Niels Schneider, par exemple. Sans oublier Jenna Thiam dont la fraîcheur s'épanouit de manière étourdissante. Eux et quelques autres semblent évoluer dans le même tempo musical (à noter la belle B.O classique), à l'unisson, aussi soudés qu'une troupe de théâtre, pour composer une symphonie passionnée au service d'un film qui risque fort de devenir un futur classique du cinéma français de la première moitié du XXIe siècle. Pas moins.
    cc baxter
    cc baxter

    2 abonnés 25 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 septembre 2020
    Un très beau film sur l'amour, subtil et touchant, porté par un casting formidable.
    Camilla Jordana et Emilie Dequenne sont absolument formidables et très étonnantes.
    Le film, plutôt léger au début, devient plus grave et très émouvant dans sa dernière partie.
    On sent qu'après le déjà très réussi "mademoiselle de joncquieres", que le cinéma d'Emmanuel Mouret s'enrichît et s'épanouit pour notre plus grand plaisir.
    DCofthe56
    DCofthe56

    4 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 27 septembre 2020
    Influencé par les critiques presse, j’attendais de ce film un dépaysement intellectuel. Ce film déroule un tel flot de clichés que j'ai véritablement pouffé de rire (jaune) à chaque scène. Tout est cliché, poussif, caricatural, une suite de déjà vus : la réalisation, les décors, les costumes, le jeu surjoué des acteurs/-rices, les choix de musique (du Satie pour appuyer un sentiment de trouble… quelle originalité), le scénario, les chorégraphies. Il se hausse parfois du niveau d’un téléfilm ; sans le décor français et la musique classique, en raison de la platitude des dialogues, ce film serait un navet américain. Tout est joli et faussement délicat car les personnages évoluent dans un cadre de vie et un environnement socio-culturel de bourgeoisie intellectuelle. Je n'ai rien contre le marivaudage, mais ce film ressemble plus au sketch des Inconnus ('"tu ne peux pas comprendre") qu'à une pièce de Marivaux. Les dialogues sont plats comme une limande, superficiels: descriptifs, certes parfois des sentiments, sans analyse, ni poésie. Avant de quitter la salle avant le fin du film (j'espérais un rebondissement original), je regardais le décor au lieu d'écouter et regarder les personnages... C'est dire à quel point je m'ennuyais. Superficiel et superfétatoire. Je m'interroge par conséquent : le réalisateur est -il un jeune naïf cultivé décrivant son milieu ou bien un cynique requin aux dents longues en recherche d'un filon ?
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