Les Choses qu’on dit, les choses qu’on fait : Critique presse
Les Choses qu’on dit, les choses qu’on fait
Note moyenne
4,3
32 titres de presse
Bande à part
Dernières Nouvelles d'Alsace
La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
Le Figaro
Le Point
Ouest France
Sud Ouest
Télé Loisirs
Télérama
aVoir-aLire.com
20 Minutes
Cahiers du Cinéma
Critikat.com
Culturopoing.com
Ecran Large
Elle
Femme Actuelle
L'Humanité
L'Obs
La Croix
La Septième Obsession
Le Journal du Dimanche
Le Monde
Les Echos
Les Inrockuptibles
Libération
Première
Télé 7 Jours
Voici
Les Fiches du Cinéma
Le Parisien
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
32 critiques presse
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Dans ce délectable chassé-croisé amoureux, le cinéaste Emmanuel Mouret fait de la parole le terrain du cinéma d’où naissent vertige et charme dans un même élan conjoint.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Emmanuel Mouret filme la valse-hésitation de sentiments, la ronde vertigineuse des amours, dans un marivaudage rohmérien, exquis et délicat.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Pour son dixième long-métrage, honoré d’un label Sélection officielle Cannes 2020, Mouret signe un film-gigogne d’une étonnante fluidité, à la fois ludique et bouleversant, qui s’interroge sur les règles régissant l’amour et le plaisir.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Avec raffinement, élégance et limpidité, la caméra d’Emmanuel Mouret magnifie les acteurs de ces jeux de l’amour exquis, Camélia Jordana, Niels Schneider et Vincent Macaigne, lumineux comme l’est ce si beau film.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
L’ensemble donne envie d’aborder des passant(e)s dans la rue, de relire ses classiques, de mettre Erik Satie sur la platine (cette phrase réussit la prouesse d’unir écriture inclusive et technologie démodée).
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Point
par Victoria Gairin
C'est l'un des plus beaux films de la rentrée.
Ouest France
par Thierry Chèze
Un film choral d'une subtilité renversante.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Un ballet amoureux étourdissant de drôlerie et de profondeur.
Télé Loisirs
par Claire Picard
Intelligence des dialogues, délicatesse de l'interprétation : une histoire follement romantique !
Télérama
par Jérémie Couston
Au fil d’un flirt sans issue, un homme et une femme relatent leurs amours contrariées. Le cinéaste joue à merveille de cette poésie du rendez-vous manqué. Sans jamais juger.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Une fresque sentimentale qui décline avec une grâce infinie l'amour dans tous ses états.
20 Minutes
par Caroline Vié
Les confidences de personnages au croisement de leurs vies sentimentales donnent toute sa puissance d’évocation au film "Les Choses qu’on dit, les choses qu’on fait". Camélia Jordana, Niels Schneider, Vincent Macaigne et Emilie Dequenne y sont épatants.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Alterité acceptée en amour, altération de soi dans le jeu d’acteur, ultime calcul dans lequel se laisser surprendre par la possibilité d’un abandon de soi : toute chose qu’une mise en scène digne de ce nom ne se lasse jamais de chercher elle-même.
Critikat.com
par Jean-Sébastien Massart
Depuis Un baiser s'il vous plaît, l'écriture comique de Mouret n'a jamais paru aussi déliée et fine, jamais aussi proche d'une forme de virtuosité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
Porté par une foi contagieuse en son art, un plaisir palpable d’écrire, de filmer, de diriger, "Les Choses qu’on dit, les choses qu’on fait" enchante sans retenue. Une nouvelle réussite majeure au sein d’une œuvre globale qui n’a de cesse de se densifier à mesure qu’elle s’étoffe.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Ceux qui hésitent face au titre, au pitch et au casting, devraient se laisser tenter. "Les choses qu'on dit, les choses qu'on fait" est une histoire d'amours douce, douloureuse, infiniment délicate et belle, comme une petite bulle de magie sentimentale.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Une délicieuse fantaisie.
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Un film un peu bavard, certes, mais pas en vain : dans ce dialogue de souvenirs, chacun attrapera au vol des petites phrases et des vérités qui feront sens dans sa propre histoire.
L'Humanité
par Sophie Joubert
Un film léger et cruel, porté par des acteurs épatants.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Le refrain n’est pas neuf, il sonne comme au premier jour et invite à repenser le couple, revivifié par des acteurs au diapason que l’on n’attendait pas là, dont Camélia Jordana, Vincent Macaigne et Emilie Dequenne en état de grâce.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Le cinéaste, qui a enfin connu un large succès avec « Mademoiselle de Joncquières », entrelace les récits amoureux avec un humour malicieux et une grâce infinie dans son meilleur film.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Maryline Alligier
Le cinéma d’Emmanuel Mouret est toujours fait de surprises, « diversité » pourrait être « sa devise ». Sa joie, associée à la mélancolie, interroge dans ce nouveau récit les contradictions auxquelles les amoureux s’arriment. Et à travers toutes ses lignes narratives, Les Choses qu’on dit, les choses qu’on fait, par des voies de perplexité et de désirs mêlés, offre le plus beau passage pour nous troubler.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Débarrassé de ses afféteries mais avec des dialogues toujours ciselés dans une belle langue, Mouret observe ses contemporains avec bienveillance et lucidité pour retranscrire la complexité du sentiment amoureux.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Mathieu Macheret
(...) un plaisir singulier s’empare du spectateur à voir les combinaisons sentimentales s’y nouer et dénouer jusqu’au vertige, comme se succèdent sur le papier les lignes d’une équation à de multiples inconnues – un plaisir théorique.
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Marivaudage enlevé et exquis, film d'amour(s) aussi courtois que coquin, « Les choses qu'on dit, les choses qu'on fait » est la plus belle réussite du réalisateur de « Mademoiselle de Joncquières ».
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Avec "Les choses qu’on dit, les choses qu’on fait", le cinéaste poursuit ses variations sur le sentiment amoureux et les tensions du désir. Avec une ampleur et une gravité nouvelles.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Laura Tuillier
Au gré d’ellipses et de flash-back, le cinéaste tisse un subtil récit littéraire autour des dynamiques du désir.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thierry Chèze
Les choses qu’on dit, les choses qu’on fait est un grand film sur les désirs inconciliables de nos vies, symbolisés par le fil rouge de son récit : peut-on désirer le cousin de son compagnon et rester quelqu’un de bien ?
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Magnifiquement interprété, un film déchirant, en état de grâce.
Voici
par La Rédaction
Des histoires qui s'imbriquent et se répondent et dont la délicatesse formelle n'empêche pas la violence.
Les Fiches du Cinéma
par Paul Fabreuil
Un Mouret plein à ras bord. Et donc un peu indigeste. Trop de péripéties, trop d’histoire(s) : on s’y perd plus d’une fois. Difficile de savourer les dialogues brillants mais sous contrainte d’un débit rapide. Et le jeu bridé des acteurs n’aide pas.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Le Parisien
par Renaud Baronian
L’interprétation remarquable des deux comédiennes, Emilie Dequenne et Camélia Jordana, ne sauve pas ce film de l’ennui, qui s’avère déconnecté de la réalité.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Bande à part
Dans ce délectable chassé-croisé amoureux, le cinéaste Emmanuel Mouret fait de la parole le terrain du cinéma d’où naissent vertige et charme dans un même élan conjoint.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Emmanuel Mouret filme la valse-hésitation de sentiments, la ronde vertigineuse des amours, dans un marivaudage rohmérien, exquis et délicat.
La Voix du Nord
Pour son dixième long-métrage, honoré d’un label Sélection officielle Cannes 2020, Mouret signe un film-gigogne d’une étonnante fluidité, à la fois ludique et bouleversant, qui s’interroge sur les règles régissant l’amour et le plaisir.
Le Dauphiné Libéré
Avec raffinement, élégance et limpidité, la caméra d’Emmanuel Mouret magnifie les acteurs de ces jeux de l’amour exquis, Camélia Jordana, Niels Schneider et Vincent Macaigne, lumineux comme l’est ce si beau film.
Le Figaro
L’ensemble donne envie d’aborder des passant(e)s dans la rue, de relire ses classiques, de mettre Erik Satie sur la platine (cette phrase réussit la prouesse d’unir écriture inclusive et technologie démodée).
Le Point
C'est l'un des plus beaux films de la rentrée.
Ouest France
Un film choral d'une subtilité renversante.
Sud Ouest
Un ballet amoureux étourdissant de drôlerie et de profondeur.
Télé Loisirs
Intelligence des dialogues, délicatesse de l'interprétation : une histoire follement romantique !
Télérama
Au fil d’un flirt sans issue, un homme et une femme relatent leurs amours contrariées. Le cinéaste joue à merveille de cette poésie du rendez-vous manqué. Sans jamais juger.
aVoir-aLire.com
Une fresque sentimentale qui décline avec une grâce infinie l'amour dans tous ses états.
20 Minutes
Les confidences de personnages au croisement de leurs vies sentimentales donnent toute sa puissance d’évocation au film "Les Choses qu’on dit, les choses qu’on fait". Camélia Jordana, Niels Schneider, Vincent Macaigne et Emilie Dequenne y sont épatants.
Cahiers du Cinéma
Alterité acceptée en amour, altération de soi dans le jeu d’acteur, ultime calcul dans lequel se laisser surprendre par la possibilité d’un abandon de soi : toute chose qu’une mise en scène digne de ce nom ne se lasse jamais de chercher elle-même.
Critikat.com
Depuis Un baiser s'il vous plaît, l'écriture comique de Mouret n'a jamais paru aussi déliée et fine, jamais aussi proche d'une forme de virtuosité.
Culturopoing.com
Porté par une foi contagieuse en son art, un plaisir palpable d’écrire, de filmer, de diriger, "Les Choses qu’on dit, les choses qu’on fait" enchante sans retenue. Une nouvelle réussite majeure au sein d’une œuvre globale qui n’a de cesse de se densifier à mesure qu’elle s’étoffe.
Ecran Large
Ceux qui hésitent face au titre, au pitch et au casting, devraient se laisser tenter. "Les choses qu'on dit, les choses qu'on fait" est une histoire d'amours douce, douloureuse, infiniment délicate et belle, comme une petite bulle de magie sentimentale.
Elle
Une délicieuse fantaisie.
Femme Actuelle
Un film un peu bavard, certes, mais pas en vain : dans ce dialogue de souvenirs, chacun attrapera au vol des petites phrases et des vérités qui feront sens dans sa propre histoire.
L'Humanité
Un film léger et cruel, porté par des acteurs épatants.
L'Obs
Le refrain n’est pas neuf, il sonne comme au premier jour et invite à repenser le couple, revivifié par des acteurs au diapason que l’on n’attendait pas là, dont Camélia Jordana, Vincent Macaigne et Emilie Dequenne en état de grâce.
La Croix
Le cinéaste, qui a enfin connu un large succès avec « Mademoiselle de Joncquières », entrelace les récits amoureux avec un humour malicieux et une grâce infinie dans son meilleur film.
La Septième Obsession
Le cinéma d’Emmanuel Mouret est toujours fait de surprises, « diversité » pourrait être « sa devise ». Sa joie, associée à la mélancolie, interroge dans ce nouveau récit les contradictions auxquelles les amoureux s’arriment. Et à travers toutes ses lignes narratives, Les Choses qu’on dit, les choses qu’on fait, par des voies de perplexité et de désirs mêlés, offre le plus beau passage pour nous troubler.
Le Journal du Dimanche
Débarrassé de ses afféteries mais avec des dialogues toujours ciselés dans une belle langue, Mouret observe ses contemporains avec bienveillance et lucidité pour retranscrire la complexité du sentiment amoureux.
Le Monde
(...) un plaisir singulier s’empare du spectateur à voir les combinaisons sentimentales s’y nouer et dénouer jusqu’au vertige, comme se succèdent sur le papier les lignes d’une équation à de multiples inconnues – un plaisir théorique.
Les Echos
Marivaudage enlevé et exquis, film d'amour(s) aussi courtois que coquin, « Les choses qu'on dit, les choses qu'on fait » est la plus belle réussite du réalisateur de « Mademoiselle de Joncquières ».
Les Inrockuptibles
Avec "Les choses qu’on dit, les choses qu’on fait", le cinéaste poursuit ses variations sur le sentiment amoureux et les tensions du désir. Avec une ampleur et une gravité nouvelles.
Libération
Au gré d’ellipses et de flash-back, le cinéaste tisse un subtil récit littéraire autour des dynamiques du désir.
Première
Les choses qu’on dit, les choses qu’on fait est un grand film sur les désirs inconciliables de nos vies, symbolisés par le fil rouge de son récit : peut-on désirer le cousin de son compagnon et rester quelqu’un de bien ?
Télé 7 Jours
Magnifiquement interprété, un film déchirant, en état de grâce.
Voici
Des histoires qui s'imbriquent et se répondent et dont la délicatesse formelle n'empêche pas la violence.
Les Fiches du Cinéma
Un Mouret plein à ras bord. Et donc un peu indigeste. Trop de péripéties, trop d’histoire(s) : on s’y perd plus d’une fois. Difficile de savourer les dialogues brillants mais sous contrainte d’un débit rapide. Et le jeu bridé des acteurs n’aide pas.
Le Parisien
L’interprétation remarquable des deux comédiennes, Emilie Dequenne et Camélia Jordana, ne sauve pas ce film de l’ennui, qui s’avère déconnecté de la réalité.