Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
30 critiques presse
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Dans cette comédie drôlissime et lucide, Bruno Podalydès transforme une start-up hyperconnectée en petit théâtre de l’absurde, et raconte, en un savant dosage de dénonciation inquiète et de poésie réparatrice, les aberrations du monde du travail aujourd’hui.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Un film poétique et insolent incarné par Sandrine Kiberlain et Denis Podalydès en grande forme.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Positif
par Louise Dumas
Avec "Les 2 Alfred", Bruno Podalydès consolide un style et une œuvre épris de fantaisie et de sens du rythme, de dialogues savoureux et de gags potaches. C’est aussi une comédie sentimentale pleine de talent.
Télérama
par Marie Sauvion
Les frères Podalydès dynamitent l’esprit start-up à coup d’humour féroce.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un petit bijou de drôlerie, de tendresse et d'inventivité.
20 Minutes
par Caroline Vié
Denis et Bruno Podayldès sont irrésistibles de fantaisie dans « Les 2 Alfred ».
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Elle
par La Rédaction
Avec des gags sur la dictature des objets connectés, un tendre duo de losers et une Sandrine Kiberlain impec en fausse chipie, une satire pépère mais réconfortante sur la start-up nation, qui réussit à poétiser le co-working, les débriefs et même les drones.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Il y a là des idées drôles, sur un fond de poésie douce-amère... Un cocktail intéressant.
L'Humanité
par Sophie Joubert
Bruno Podalydès réalise une comédie tendre et libertaire sur le monde du travail et la parentalité.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Management d’entreprise à la fois régressif et hypercompétitif, sabir franglais faussement cool, gadgets asservissants : les symptômes de la modernité en prennent pour leur grade, sans aucun poujadisme, dans cette uber-comédie rêveuse. L’image est un peu ingrate, jamais le film (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Une comédie tendre et jubilatoire à laquelle Bruno Podalydès apporte toute la richesse de son univers poétique.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Claire Micallef
Avec "Les 2 Alfred", Podalydès quitte les rivages paisibles du film buissonnier pour l'hirsutisme futuriste de notre monde ubérisé qu'il sabote à sa manière, gentiment mais sûrement, avec la fantaisie douce et la poésie bricoleuse qui rendent son cinéma irrésistible et nous invite parfois à l'indulgence vis-à-vis de certaines facilités ronronnantes.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Avec Les 2 Alfred, les frères Podalydès s’en donnent à cœur joie, retrouvent l’alacrité de Versailles Rive gauche, enchaînent les gags et les quiproquos.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Bruno Podalydès continue de tricoter un cinéma tout en légèreté et en décalage pour épingler, avec humour et force gadgets, les excès de notre vie ultra connectée qui minimise l’humain et encourage à se comporter comme des machines.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Catherine Balle
Avec ce long métrage hilarant sur un quinqua plongé dans un monde du travail ubérisé et ultra-connecté dont il ne comprend plus les règles, Bruno Podalydès filme à nouveau son frère Denis, à qui il donne la réplique… et qui a collaboré aux dialogues.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Denis Podalydès torpille la société des start-ups et de l’ubérisation contrainte avec des missiles de tendresse et d’humour. En ces temps incertains, ce film gonflé d’humanité fait un bien fou. Le billet d’entrée devrait être remboursé par la Sécu.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Bruno Podalydès dépeint dans son dernier film un monde loufoque et glaçant ultraconnecté, où il ne fait pas bon d’enfanter. Les tribulations de son héros déphasé – interprété par Denis Podalydès – illustrent l’ubérisation galopante de nos existences.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
Quand on pense avoir oublié la saveur de ce qu’est une bonne comédie française, un film de Bruno Podalydès est ainsi là pour nous le rappeler.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Dans Les deux Alfred, sa nouvelle comédie insolente, Bruno Podalydès observe dans le blanc des yeux les pratiques en cours chez les fanatiques de la « start-up Nation », cloue au pilori avec le sourire certains travers de notre époque et dirige des acteurs ravis de l’aubaine.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Première
par Thomas Baurez
Une formidable comédie pleine de trouvailles qui pose un regard aussi lucide qu’amusé sur les dérives d’un monde ultra-connecté.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Frédéric Mercier
Les 2 Alfred surprendra sans doute les amateurs de longue date de Podalydès : jadis plus discursif, plus labyrinthique, il n’avait jamais été aussi efficace que dans ce film épuré, tout en ligne droite et où les gags s’enchaînent sans temps mort.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Voilà un petit bijou plein de tendresse et de fantaisie, porté par Sandrine Kiberlain, irrésistible en manageuse foldingue et constamment en ébullition.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Dans son nouveau film, Bruno Podalydès parvient à proposer une critique savoureuse et drôle de notre société moderne connectée, sans jamais tomber dans la vulgarité et le sarcasme.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Un conte social grinçant et lucide.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
On pense à Jacques Tati. Séquence de «conf call» d’anthologie. Amusant sans être vitriolé. On aurait juste aimé un scénario qui nous embarque davantage.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Bruno Podalydès imagine notre futur proche, dans une comédie plus inquiète qu’il n’y paraît.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Un regard tendre qui ne permet pas de porter l'estocade jusqu'au bout et finit par arrondir les angles dans un dernier tiers sans doute trop réconciliateur. Mais produire de la tendresse est aussi au programme d'un film qui, ce faisant, dépouille la société ubérisée de sa principale capacité de nuisance : son vilain esprit de sérieux.
Critikat.com
par Thomas Grignon
Le goût de la fantaisie et des chemins de traverse, pourtant la marque de fabrique des « 2 Poda », fait ici cruellement défaut.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Ce qui faisait un bon sujet ne rebondit pas, malgré un rythme allègre.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Ce nouveau Bruno Podalydès a son habituelle musique de poésie humaine. Mais cette dimension sympathique n'empêche pas que, cette fois, c'est un peu mou.
Bande à part
Dans cette comédie drôlissime et lucide, Bruno Podalydès transforme une start-up hyperconnectée en petit théâtre de l’absurde, et raconte, en un savant dosage de dénonciation inquiète et de poésie réparatrice, les aberrations du monde du travail aujourd’hui.
Les Echos
Un film poétique et insolent incarné par Sandrine Kiberlain et Denis Podalydès en grande forme.
Positif
Avec "Les 2 Alfred", Bruno Podalydès consolide un style et une œuvre épris de fantaisie et de sens du rythme, de dialogues savoureux et de gags potaches. C’est aussi une comédie sentimentale pleine de talent.
Télérama
Les frères Podalydès dynamitent l’esprit start-up à coup d’humour féroce.
Voici
Un petit bijou de drôlerie, de tendresse et d'inventivité.
20 Minutes
Denis et Bruno Podayldès sont irrésistibles de fantaisie dans « Les 2 Alfred ».
Elle
Avec des gags sur la dictature des objets connectés, un tendre duo de losers et une Sandrine Kiberlain impec en fausse chipie, une satire pépère mais réconfortante sur la start-up nation, qui réussit à poétiser le co-working, les débriefs et même les drones.
Femme Actuelle
Il y a là des idées drôles, sur un fond de poésie douce-amère... Un cocktail intéressant.
L'Humanité
Bruno Podalydès réalise une comédie tendre et libertaire sur le monde du travail et la parentalité.
L'Obs
Management d’entreprise à la fois régressif et hypercompétitif, sabir franglais faussement cool, gadgets asservissants : les symptômes de la modernité en prennent pour leur grade, sans aucun poujadisme, dans cette uber-comédie rêveuse. L’image est un peu ingrate, jamais le film (...).
La Croix
Une comédie tendre et jubilatoire à laquelle Bruno Podalydès apporte toute la richesse de son univers poétique.
La Septième Obsession
Avec "Les 2 Alfred", Podalydès quitte les rivages paisibles du film buissonnier pour l'hirsutisme futuriste de notre monde ubérisé qu'il sabote à sa manière, gentiment mais sûrement, avec la fantaisie douce et la poésie bricoleuse qui rendent son cinéma irrésistible et nous invite parfois à l'indulgence vis-à-vis de certaines facilités ronronnantes.
Le Figaro
Avec Les 2 Alfred, les frères Podalydès s’en donnent à cœur joie, retrouvent l’alacrité de Versailles Rive gauche, enchaînent les gags et les quiproquos.
Le Journal du Dimanche
Bruno Podalydès continue de tricoter un cinéma tout en légèreté et en décalage pour épingler, avec humour et force gadgets, les excès de notre vie ultra connectée qui minimise l’humain et encourage à se comporter comme des machines.
Le Parisien
Avec ce long métrage hilarant sur un quinqua plongé dans un monde du travail ubérisé et ultra-connecté dont il ne comprend plus les règles, Bruno Podalydès filme à nouveau son frère Denis, à qui il donne la réplique… et qui a collaboré aux dialogues.
Les Fiches du Cinéma
Denis Podalydès torpille la société des start-ups et de l’ubérisation contrainte avec des missiles de tendresse et d’humour. En ces temps incertains, ce film gonflé d’humanité fait un bien fou. Le billet d’entrée devrait être remboursé par la Sécu.
Les Inrockuptibles
Bruno Podalydès dépeint dans son dernier film un monde loufoque et glaçant ultraconnecté, où il ne fait pas bon d’enfanter. Les tribulations de son héros déphasé – interprété par Denis Podalydès – illustrent l’ubérisation galopante de nos existences.
Libération
Quand on pense avoir oublié la saveur de ce qu’est une bonne comédie française, un film de Bruno Podalydès est ainsi là pour nous le rappeler.
Marianne
Dans Les deux Alfred, sa nouvelle comédie insolente, Bruno Podalydès observe dans le blanc des yeux les pratiques en cours chez les fanatiques de la « start-up Nation », cloue au pilori avec le sourire certains travers de notre époque et dirige des acteurs ravis de l’aubaine.
Première
Une formidable comédie pleine de trouvailles qui pose un regard aussi lucide qu’amusé sur les dérives d’un monde ultra-connecté.
Transfuge
Les 2 Alfred surprendra sans doute les amateurs de longue date de Podalydès : jadis plus discursif, plus labyrinthique, il n’avait jamais été aussi efficace que dans ce film épuré, tout en ligne droite et où les gags s’enchaînent sans temps mort.
Télé 7 Jours
Voilà un petit bijou plein de tendresse et de fantaisie, porté par Sandrine Kiberlain, irrésistible en manageuse foldingue et constamment en ébullition.
aVoir-aLire.com
Dans son nouveau film, Bruno Podalydès parvient à proposer une critique savoureuse et drôle de notre société moderne connectée, sans jamais tomber dans la vulgarité et le sarcasme.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un conte social grinçant et lucide.
La Voix du Nord
On pense à Jacques Tati. Séquence de «conf call» d’anthologie. Amusant sans être vitriolé. On aurait juste aimé un scénario qui nous embarque davantage.
Le Dauphiné Libéré
Bruno Podalydès imagine notre futur proche, dans une comédie plus inquiète qu’il n’y paraît.
Le Monde
Un regard tendre qui ne permet pas de porter l'estocade jusqu'au bout et finit par arrondir les angles dans un dernier tiers sans doute trop réconciliateur. Mais produire de la tendresse est aussi au programme d'un film qui, ce faisant, dépouille la société ubérisée de sa principale capacité de nuisance : son vilain esprit de sérieux.
Critikat.com
Le goût de la fantaisie et des chemins de traverse, pourtant la marque de fabrique des « 2 Poda », fait ici cruellement défaut.
Franceinfo Culture
Ce qui faisait un bon sujet ne rebondit pas, malgré un rythme allègre.
Ouest France
Ce nouveau Bruno Podalydès a son habituelle musique de poésie humaine. Mais cette dimension sympathique n'empêche pas que, cette fois, c'est un peu mou.