Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Positif
par Baptiste Roux
"Les Voleurs de chevaux", qui déporte la geste des westerns hollywoodiens dans les contreforts du Tian Shan, chaîne de montagnes du Kazakhstan, où l’éleveur implanté dans ces paysages à l’horizon infini succède au rancher du Missouri ou du Colorado, est une épure dont la durée minimale cristallise les enjeux de la filiation, de la collectivité et du retour providentiel, avec une mémorable intensité.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un joli film d’atmosphère dont le non-dit atténue le drame.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
La beauté des images, la force des visages, la qualité des acteurs (dont Samal Yeslyamova, prix d’interprétation à Cannes), tout est à l’unisson. C’est court, mais c’est un vrai bonheur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Télérama
par Samuel Douhaire
Un somptueux western dans les vastes steppes kazakhes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un film gracieux et délicat qui, à travers le prisme d’une famille ravagée par un accident, rend hommage à la tradition ancienne d’élevage de chevaux aux Kazakhstan.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Les Voleurs de chevaux confirme l’intérêt que suscite ces dernières année le cinéma kazakh.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Face à cette intrigue aussi simple que classique, un chouïa d'action et une tension très finement maîtrisée suffisent au duo de réalisateurs, un Kazakh et une Japonaise, pour nous embarquer.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Plans tableaux, nature comme asséchée à perte de vue... Tout ici accuse la rudesse et le dépouillement. Le paysage y semble un prolongement des mœurs, ou inversement.
Le Parisien
par Constance Jamet
Récit des liens indéfectibles qui unissent les fils à leurs pères, ce conte naïf et crépusculaire, niché dans de magnifiques paysages, dépeint l’âpreté de la vie des steppes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Un film trop sage, qui finit par anesthésier le spectateur, la faute à un récit indolent et à une mise en scène dont l’application fragile cache bien mal la facilité d’action.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Christophe Narbonne
La mise en scène est très soignée mais le scénario, un peu bâclé et prévisible. Dommage.
La critique complète est disponible sur le site Première
Positif
"Les Voleurs de chevaux", qui déporte la geste des westerns hollywoodiens dans les contreforts du Tian Shan, chaîne de montagnes du Kazakhstan, où l’éleveur implanté dans ces paysages à l’horizon infini succède au rancher du Missouri ou du Colorado, est une épure dont la durée minimale cristallise les enjeux de la filiation, de la collectivité et du retour providentiel, avec une mémorable intensité.
L'Humanité
Un joli film d’atmosphère dont le non-dit atténue le drame.
L'Obs
La beauté des images, la force des visages, la qualité des acteurs (dont Samal Yeslyamova, prix d’interprétation à Cannes), tout est à l’unisson. C’est court, mais c’est un vrai bonheur.
Télérama
Un somptueux western dans les vastes steppes kazakhes.
aVoir-aLire.com
Un film gracieux et délicat qui, à travers le prisme d’une famille ravagée par un accident, rend hommage à la tradition ancienne d’élevage de chevaux aux Kazakhstan.
Cahiers du Cinéma
Les Voleurs de chevaux confirme l’intérêt que suscite ces dernières année le cinéma kazakh.
Le Journal du Dimanche
Face à cette intrigue aussi simple que classique, un chouïa d'action et une tension très finement maîtrisée suffisent au duo de réalisateurs, un Kazakh et une Japonaise, pour nous embarquer.
Le Monde
Plans tableaux, nature comme asséchée à perte de vue... Tout ici accuse la rudesse et le dépouillement. Le paysage y semble un prolongement des mœurs, ou inversement.
Le Parisien
Récit des liens indéfectibles qui unissent les fils à leurs pères, ce conte naïf et crépusculaire, niché dans de magnifiques paysages, dépeint l’âpreté de la vie des steppes.
Les Fiches du Cinéma
Un film trop sage, qui finit par anesthésier le spectateur, la faute à un récit indolent et à une mise en scène dont l’application fragile cache bien mal la facilité d’action.
Première
La mise en scène est très soignée mais le scénario, un peu bâclé et prévisible. Dommage.