Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Ouest France
par Thierry Chèze
Elevé seul par sa mère Valéria, Rodrigo a développé avec elle une relation oedipienne fusionnelle. L'arrivée d'un homme dans la vie de Valéria va venir la persécuter. Le premier long métrage de Rodrigo Ruiz Patterson en raconte les dommages collatéraux. Il traduit à l'écran avec un art certain la montée de la tension (...).
Le Figaro
par B.P.
Un film freudien et pas drôle, rêche mais juste.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Ce beau premier long mexicain tisse un récit simple et limpide autour d’un adolescent faisant l’expérience de la dépossession maternelle, et transcende ses prémisses (Bildungsroman dans la morne périphérie du monde) par une humilité et une acuité inattendues.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Camille Nevers
L’originalité du film de Rodrigo Ruiz Patterson, c’est le paradoxe choisi de « non-identification » à son jeune personnage, et précisément de le laisser, taciturne, solitaire, illogique, à son bloc d’hostilité [...] et de faire de l’intrus, le petit-ami de la mère, l’être aimable, intéressant et attachant du récit.
La critique complète est disponible sur le site Libération
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Summer white raconte la fabrique du mal chez un adolescent dans le Mexique moderne. Un récit subtil et vertigineux, porté par des comédiens incroyables.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
par Hugo Jordan
Ruiz Patterson semble en partie s'inscrire dans la lignée d'un autre nom important du cinéma mexicain contemporain, Michel Franco, auteur notamment de Después de Lucia (2012). Il partage avec son aîné un regard distancié sur ses protagonistes, considérés comme des êtres guidés uniquement par leurs émotions, et dont il convient de faire ressortir les travers.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par François Forestier
La colère, l’espoir, l’incertitude, le besoin d’amour de Rodrigo sont palpables. C’est ce qui fait tout le prix du film : ce flux de sentiments contradictoires, chaotiques, violents. Incontestablement, le réalisateur sait insuffler de l’énergie à ses images. Attendons son deuxième film.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Un drame œdipien pertinent sur le passage de l'enfance à l'adolescence.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Thierry Chèze
Un premier long métrage d’une grande maîtrise.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Samuel Douhaire
Tout, ici, est raconté du point de vue de l’enfant (...). Son interprète, Adrian Rossi, est étonnant, et la mise en scène, souvent inspirée dans sa représentation des troubles de l’adolescence, malgré quelques lourdeurs — le motif trop répétitif du feu, notamment.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Étienne Cimetière-Cano
En dépit d'une première partie plus réussie sur la tendresse de la relation mère-fils, il ne reste de Summer White qu’un drame œdipien quelque peu consensuel et convenu, dont le plus dérangeant est peut-être la morale en forme d’impasse.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Jordane de Faÿ
Un film hautement métaphorique qui peine à décoller.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Rose Baldous
Focalisé tout entier sur le regard sombre de l’adolescent, Summer White néglige un peu trop son arrière-plan et manque ainsi de créer l’étincelle.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Monde
par Jean-François Rauger
Portrait psychologique ultra-scolaire d'un jeune emmerdeur possessif, Summer White déroule sa démonstration avec la grâce d'un éléphant dans un magasin de porcelaine.
Ouest France
Elevé seul par sa mère Valéria, Rodrigo a développé avec elle une relation oedipienne fusionnelle. L'arrivée d'un homme dans la vie de Valéria va venir la persécuter. Le premier long métrage de Rodrigo Ruiz Patterson en raconte les dommages collatéraux. Il traduit à l'écran avec un art certain la montée de la tension (...).
Le Figaro
Un film freudien et pas drôle, rêche mais juste.
Les Fiches du Cinéma
Ce beau premier long mexicain tisse un récit simple et limpide autour d’un adolescent faisant l’expérience de la dépossession maternelle, et transcende ses prémisses (Bildungsroman dans la morne périphérie du monde) par une humilité et une acuité inattendues.
Libération
L’originalité du film de Rodrigo Ruiz Patterson, c’est le paradoxe choisi de « non-identification » à son jeune personnage, et précisément de le laisser, taciturne, solitaire, illogique, à son bloc d’hostilité [...] et de faire de l’intrus, le petit-ami de la mère, l’être aimable, intéressant et attachant du récit.
aVoir-aLire.com
Summer white raconte la fabrique du mal chez un adolescent dans le Mexique moderne. Un récit subtil et vertigineux, porté par des comédiens incroyables.
Culturopoing.com
Ruiz Patterson semble en partie s'inscrire dans la lignée d'un autre nom important du cinéma mexicain contemporain, Michel Franco, auteur notamment de Después de Lucia (2012). Il partage avec son aîné un regard distancié sur ses protagonistes, considérés comme des êtres guidés uniquement par leurs émotions, et dont il convient de faire ressortir les travers.
L'Obs
La colère, l’espoir, l’incertitude, le besoin d’amour de Rodrigo sont palpables. C’est ce qui fait tout le prix du film : ce flux de sentiments contradictoires, chaotiques, violents. Incontestablement, le réalisateur sait insuffler de l’énergie à ses images. Attendons son deuxième film.
Le Journal du Dimanche
Un drame œdipien pertinent sur le passage de l'enfance à l'adolescence.
Première
Un premier long métrage d’une grande maîtrise.
Télérama
Tout, ici, est raconté du point de vue de l’enfant (...). Son interprète, Adrian Rossi, est étonnant, et la mise en scène, souvent inspirée dans sa représentation des troubles de l’adolescence, malgré quelques lourdeurs — le motif trop répétitif du feu, notamment.
Critikat.com
En dépit d'une première partie plus réussie sur la tendresse de la relation mère-fils, il ne reste de Summer White qu’un drame œdipien quelque peu consensuel et convenu, dont le plus dérangeant est peut-être la morale en forme d’impasse.
La Croix
Un film hautement métaphorique qui peine à décoller.
Les Inrockuptibles
Focalisé tout entier sur le regard sombre de l’adolescent, Summer White néglige un peu trop son arrière-plan et manque ainsi de créer l’étincelle.
Le Monde
Portrait psychologique ultra-scolaire d'un jeune emmerdeur possessif, Summer White déroule sa démonstration avec la grâce d'un éléphant dans un magasin de porcelaine.