Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
L'Obs
par François Forestier
Le plus étonnant, c’est le rythme. Tout est doux, soyeux, sous-tendu par une fureur latente. La lumière du désert nappe ces rues de terre battue, ces visages inquiets, ces gestes venus du fond des âges. Naissance d’un grand cinéma, porté par un feu qui couve au cœur de l’Afrique mère.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Libération
par Luc Chessel
Ce qui apparaît et frappe progressivement dans le Père de Nafi, le premier film du réalisateur sénégalais Mamadou Dia, outre son attention plastique, qui ne trompe pas, aux petites choses environnantes, c’est une certaine subtilité dans la présentation des conflits, dans les positions des personnages.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Yannick Lemarié
Un vrai grand film par un réalisateur assurément prometteur.
Cahiers du Cinéma
par Elisabeth Lequeret
La belle idée du film est de filmer la progression des deux [catastrophes] sans les opposer. Plutôt que de filer une métaphore un tantinet simpliste (métastases du cancer/de l’islam rigoriste), Mamadou Dia filme un encerclement.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Entre désir d’émancipation et enjeux de pouvoir, une tragédie au message brûlant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La Rédaction
Une réflexion passionnante sur la montée de l'obscurantisme.
Télérama
par Guillemette Odicino
Peu à peu, le film doux et volontiers burlesque devient un western implacable, un thriller de la résistance politique et sexuelle, autour d’une Juliette, d’un Roméo et d’un imam qui démissionne de tout sauf de son amour paternel… Un bel éclat de cinéma contre l’obscurantisme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
A l’heure où le Mali ou d’autres pays d’Afrique succombent aux ravages du fondamentalisme religieux, Le père de Nafi résonne comme un appel à la paix et à la liberté.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Fils d’imam, le réalisateur sénégalais Mamadou Dia livre un film éclairant sur les mécanismes du basculement d’une petite ville vers l’islamisme.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
De très belles images au fil de situations dont on ne comprend pas toujours tous les aboutissants. Le résultat, émaillé de fulgurances, nous propose un voyage aussi inattendu qu’actuel au sein de la culture peule.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Prenant soin de ne jamais porter de jugement, le réalisateur demeure collé à l'intimité de ses personnages.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Un premier film clair et affirmé, beau portrait d’une culture sénégalaise qui se fissure (...) un très beau premier long-métrage, clair et net, rapide comme un croquis, avec une image somptueuse.
Première
par Thierry Chèze
Ce premier long raconte la montée en puissance de l’obscurantisme avec une finesse impressionnante, via un drame shakespearien où règne une bienveillance calme, une fois en un avenir radieux malgré les nuages noirs qui s’accumulent. Et la brutalité de ce qui s’y produit n’en est que plus saisissante.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
Le plus étonnant, c’est le rythme. Tout est doux, soyeux, sous-tendu par une fureur latente. La lumière du désert nappe ces rues de terre battue, ces visages inquiets, ces gestes venus du fond des âges. Naissance d’un grand cinéma, porté par un feu qui couve au cœur de l’Afrique mère.
Libération
Ce qui apparaît et frappe progressivement dans le Père de Nafi, le premier film du réalisateur sénégalais Mamadou Dia, outre son attention plastique, qui ne trompe pas, aux petites choses environnantes, c’est une certaine subtilité dans la présentation des conflits, dans les positions des personnages.
Positif
Un vrai grand film par un réalisateur assurément prometteur.
Cahiers du Cinéma
La belle idée du film est de filmer la progression des deux [catastrophes] sans les opposer. Plutôt que de filer une métaphore un tantinet simpliste (métastases du cancer/de l’islam rigoriste), Mamadou Dia filme un encerclement.
Les Fiches du Cinéma
Entre désir d’émancipation et enjeux de pouvoir, une tragédie au message brûlant.
Ouest France
Une réflexion passionnante sur la montée de l'obscurantisme.
Télérama
Peu à peu, le film doux et volontiers burlesque devient un western implacable, un thriller de la résistance politique et sexuelle, autour d’une Juliette, d’un Roméo et d’un imam qui démissionne de tout sauf de son amour paternel… Un bel éclat de cinéma contre l’obscurantisme.
aVoir-aLire.com
A l’heure où le Mali ou d’autres pays d’Afrique succombent aux ravages du fondamentalisme religieux, Le père de Nafi résonne comme un appel à la paix et à la liberté.
La Croix
Fils d’imam, le réalisateur sénégalais Mamadou Dia livre un film éclairant sur les mécanismes du basculement d’une petite ville vers l’islamisme.
Le Journal du Dimanche
De très belles images au fil de situations dont on ne comprend pas toujours tous les aboutissants. Le résultat, émaillé de fulgurances, nous propose un voyage aussi inattendu qu’actuel au sein de la culture peule.
Le Monde
Prenant soin de ne jamais porter de jugement, le réalisateur demeure collé à l'intimité de ses personnages.
Les Inrockuptibles
Un premier film clair et affirmé, beau portrait d’une culture sénégalaise qui se fissure (...) un très beau premier long-métrage, clair et net, rapide comme un croquis, avec une image somptueuse.
Première
Ce premier long raconte la montée en puissance de l’obscurantisme avec une finesse impressionnante, via un drame shakespearien où règne une bienveillance calme, une fois en un avenir radieux malgré les nuages noirs qui s’accumulent. Et la brutalité de ce qui s’y produit n’en est que plus saisissante.