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Votre avis sur The Seventh Day ?
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videoman29
Depuis le succès planétaire de « L'exorciste », les films qui traitent de la possession se sont enchaînés à l'infini, avec plus ou moins de succès (et là, je suis gentil !). L'idée de base étant toujours la même, il est en effet difficile d’innover vraiment... et chaque petite parcelle du scénario d'origine a été disséquée, puis recyclée par une multitude de cinéastes plus ou moins talentueux. « The seventh day » ne fait pas exception et son histoire s'enlise très vite dans le déjà vu, déjà fait, déjà proposé en mieux par de meilleurs professionnels. Même le twist final, qui se veut pourtant ingénieux, tombe totalement à plat et on le voit venir à des kilomètres, avec ses gros sabots. Bref, les inconditionnels de « diableries capillotractées » apprécieront peut-être (ce n'est même pas sûr), les autres s'ennuieront très vite tant le résultat est poussif. Tout juste moyen !
Film sur la possession démoniaque et l'exorcisme , un scénario très simple mais très bien construit sans temps mort , Guy pearce démontre encore une fois son talent d'acteur, le film accroche le spectateur à son fauteuil et nous embarque dans le combat entre le bien et le mal ..
RedArrow
Qu'est-ce que peut aujourd'hui proposer d'inédit un film traitant de l'exorcisme ? "The Seventh Day" va tenter de se frotter à cette épineuse question qui a entraîné, à quelques exceptions près, la plupart de ses collègues contemporains dans l'enfer d'une formule horrifique ne sachant plus comment se renouveler au milieu des crucifix, des flacons d'eau bénite et des grosses voix injurieuses démoniaques...
Un prêtre exorciste dont l'expérience provient d'une première intervention traumatisante, un autre bien plus jeune et naïf à former à cette dangereuse pratique, un premier gros cas pour le duo faisant évidemment intervenir un enfant ayant commis des actes atroces... Le moins que l'on puisse dire, c'est que, niveau inventivité dans le film d'exorcisme, les débuts du nouveau long-métrage de Justin P. Lange ("The Dark") renvoient directement à l'image d'une boule de paille poussée par le vent dans le désert. Certes, "The Seventh Day" n'est pas pour autant le représentant du genre le plus désagréable à suivre pour l'heure, quelques séquences font illusion (celle sous le pont) et le prêtre mentor interprété par Guy Pearce en mode néo-Constantine nous guide avec une certaine malice dans cette réalité infestée de démons, mais l'offre paraît si classique sur absolument tout ce qu'elle recouvre que l'on en vient très vite à se demander si le film ne va avoir ne serait-ce qu'une once de direction originale à proposer au sein de son récit.
Il y en a heureusement une mais celle-ci a beau partir d'une belle intention, le film bride hélas tout son potentiel autour de ses maladresses les plus majeures. D'une part, cette idée devient de plus en plus prévisible vu l'insistance grossière faite sur un aspect très fourbe des démons -autant dire que la révélation finale qui en découlera n'engendrera aucune effet de surprise- et, d'autre part, "The Seventh Day" ne semble pas vraiment savoir comment construire le chemin pour nous y amener sans l'aide de trous d'air scénaristiques qui confinent certaines situations dans l'excès ou le ridicule (tout le n'importe quoi du gros passage en prison notamment). Vraiment dommage car le message véhiculée par cette piste spoiler: où l'Église est finalement vue comme sa pire ennemie était plutôt gonflée, on y décelait clairement une volonté de malmener l'institution éternellement figée sur ses certitudes et toujours prompte à occulter ses propres maux internes (une scène y renvoie d'ailleurs très directement).
L'ambition était bien là, même osée, mais "The Seventh Day" n'aura jamais pu l'affirmer de façon convaincante au sein d'un film totalement anecdotique et, pour tout dire, vraiment mal élaboré dès le départ pour lui rendre pleinement justice. Au septième jour, les démons auraient également mieux fait de se reposer pour nous éviter ça...
Un prêtre exorciste dont l'expérience provient d'une première intervention traumatisante, un autre bien plus jeune et naïf à former à cette dangereuse pratique, un premier gros cas pour le duo faisant évidemment intervenir un enfant ayant commis des actes atroces... Le moins que l'on puisse dire, c'est que, niveau inventivité dans le film d'exorcisme, les débuts du nouveau long-métrage de Justin P. Lange ("The Dark") renvoient directement à l'image d'une boule de paille poussée par le vent dans le désert. Certes, "The Seventh Day" n'est pas pour autant le représentant du genre le plus désagréable à suivre pour l'heure, quelques séquences font illusion (celle sous le pont) et le prêtre mentor interprété par Guy Pearce en mode néo-Constantine nous guide avec une certaine malice dans cette réalité infestée de démons, mais l'offre paraît si classique sur absolument tout ce qu'elle recouvre que l'on en vient très vite à se demander si le film ne va avoir ne serait-ce qu'une once de direction originale à proposer au sein de son récit.
Il y en a heureusement une mais celle-ci a beau partir d'une belle intention, le film bride hélas tout son potentiel autour de ses maladresses les plus majeures. D'une part, cette idée devient de plus en plus prévisible vu l'insistance grossière faite sur un aspect très fourbe des démons -autant dire que la révélation finale qui en découlera n'engendrera aucune effet de surprise- et, d'autre part, "The Seventh Day" ne semble pas vraiment savoir comment construire le chemin pour nous y amener sans l'aide de trous d'air scénaristiques qui confinent certaines situations dans l'excès ou le ridicule (tout le n'importe quoi du gros passage en prison notamment). Vraiment dommage car le message véhiculée par cette piste spoiler: où l'Église est finalement vue comme sa pire ennemie était plutôt gonflée, on y décelait clairement une volonté de malmener l'institution éternellement figée sur ses certitudes et toujours prompte à occulter ses propres maux internes (une scène y renvoie d'ailleurs très directement).
L'ambition était bien là, même osée, mais "The Seventh Day" n'aura jamais pu l'affirmer de façon convaincante au sein d'un film totalement anecdotique et, pour tout dire, vraiment mal élaboré dès le départ pour lui rendre pleinement justice. Au septième jour, les démons auraient également mieux fait de se reposer pour nous éviter ça...
Ça faisait longtemps que je n'avais pas vu un navet pareil. Le scénario est téléphoné dès les 10 premières minutes et tous les évènements qui s'enchaînent veulent donner l'impression au spectateur qu'il est perdu... Sauf qu'on sait où vous voulez en venir depuis la 10eme minute, les gars ! C'est mal joué (ou plutôt très mal doublé en français) et tout est... Naze.
Un petit film simple et sans temps morts sur la possession et les exorcismes, le combat du bien contre le mal... Rien de bien nouveau mais des acteurs convaincants et des effets spéciaux attrayants. L'intrigue est cousue de fil blanc mais on la suit jusqu'au bout. Distrayant en somme !
Un film d exorcisme, version basique du vieil exorciste qui passe le relais au jeune ... pour la trame. On suit le parcours de cette initiation, de ce parcours, mais la sauce ne prend pas c est lent, pas très impressionnant, l intrigue ne s enrichit pas vraiment. C est ennuyeux de d ennuyer dans un film qui devrait générer un minimum d émotions, les quelques effets spéciaux n y font rien, le jeu des acteurs est assez pauvre et le séminariste étudiant exorciste n est pas très crédible. Les quelques événements sans queue ni tête dans le film nous perdent dans les abîmes, déjà que ce genre est souvent difficile à traiter donc avec un résultat de film gore et debile ... soit ici un film simplement en fin de compte sans intérêt. Réussir à garder son attention jusqu'à là fin fut un relatif supplice.... bof bof quoi ... je vais faire un exorcisme de ce film ? non je pense que c est inutile il va finir dans les ténèbres de l oublie ça suffira.
Dans The Seventh Day il y a un démon qui non seulement résiste complètement à tous les symboles et textes sacrés de la Bible mais qui peut aussi les utiliser et pratiquer des exorcismes et qui parfois donne des conseils aux nouveaux prêtres sur la façon de le suspecter et de le repérer car c'est intelligent l'au-delà dans ce film. Le concept de ce scénario ridiculement mal écrit aurait pu être écrit d'une manière crédible pour le spectateur et meilleure par n'importe qui ayant au moins une once de cerveau mais si seulement cela avait été le seul problème de cette histoire. Pauvre Guy Pearce ils ont massacré un grand acteur avec un personnage et des répliques aussi mauvaise pourquoi c'est insupportable. S'il est massacré on pourrait au moins s'attendre à un protagoniste décent mais on a juste un beau gars sans aucune compétence d'acteur avec exactement le même visage pendant 1,5 heures. Et enfin s'il vous plaît retirez ce film de la section des films d'horreur. Ce n'est pas parce qu'il s'agit d'exorcisme que c'est un film d'horreur si le réalisateur n'a aucune idée de ce qu'est l'horreur en tant que genre et ne veut pas ou ne sait probablement pas comment en utiliser les éléments dans son film...
FaRem
Il y avait les duos composés d'un bon et d'un méchant flic et il y a désormais la même chose avec les prêtres. Dans "The Seventh Day", Daniel est un prêtre comme on l'imagine à savoir bien propre sur lui tandis que Peter, son nouveau mentor, est plus borderline. Alors que tout les oppose, les deux vont devoir faire équipe pour résoudre une affaire médiatisée impliquant un enfant qui a assassiné toute sa famille. Parmi tous les genres et sous-genres du registre de l'épouvante, on ne peut pas faire plus cliché que les films d'exorcisme et ce film le prouve une fois de plus. Si le film réussit l'exploit de ne jamais être ennuyeux, il n'y a pas grand-chose à se mettre sous la dent. L'affaire à mener est plate et les deux ou trois scènes d'exorcisme ne procurent pas grand-chose. Malgré une tentative de revirement tardif, le réalisateur ne parvient pas à proposer quelque chose d'original. Au final, ça se laisse regarder, mais sans plus.
Assez fan des films de possession et d'exorcisme, je suis le bon client de ce genre d'histoire, les sagas de James Wan ne sont pas étrangères à cet engouement. Ici, dès le départ, on est plongé dans ce monde surnaturel, épris de cri, de douleurs et de frayeurs.
Guy Pearce tient son rôle avec force et conviction, le reste n'est qu'une nouvelle plongé dans le prêchi-prêcha des religions et du combat entre le mal et le bien.
Le twist parce qu'il en faut un, n'est pas si mal, et le film tient à peu prêt ses promesses.
Cela manque de profondeur, d'une ambiance plus anxiogène pour réellement créer un climax du tonnerre, qui nous scotcherait à notre siège.
En résumé, il y a certaines bonnes scènes, d'autres moins fortes, plus bavardes, le film se prend au sérieux et s'en sort sans être un chef d'œuvre du genre.
Guy Pearce tient son rôle avec force et conviction, le reste n'est qu'une nouvelle plongé dans le prêchi-prêcha des religions et du combat entre le mal et le bien.
Le twist parce qu'il en faut un, n'est pas si mal, et le film tient à peu prêt ses promesses.
Cela manque de profondeur, d'une ambiance plus anxiogène pour réellement créer un climax du tonnerre, qui nous scotcherait à notre siège.
En résumé, il y a certaines bonnes scènes, d'autres moins fortes, plus bavardes, le film se prend au sérieux et s'en sort sans être un chef d'œuvre du genre.
Un film sur des exorcismes pourquoi pas même si depuis l Exorciste c est compliqué de convaincre avec de la nouveauté. Ici il semblerait que le réalisateur hésite sur l histoire qu il veut nous raconter. Pas de rythme pas de vrai scénario du coup on s ennuie.
Franchement nettement meilleur à quoi je m'attendais par rapport à cette note incompréhensible ... Faites vous votre propre avis car ce film d'exorcisme n'a rien à voir avec les film habituel est ma clairement convaincu...
Difficile d'innover dans le domaine de l'exorcisme. La preuve en est, un film plat sans rythme et sans surprise.
Le film m'a fait pensé au film la 9eme porte. Très bon film d'horreur on est plongé dedans. On a vraiment froid dans le dos à chaque fois qu'il s'agit de possessions d'enfants. On a envie de savoir la suite du film c'est dommage. On reste dans une incertitude. À voir.
Film banal... J'en attendais plus, mais bon, on va dire que les 30 premières minutes sont plutôt sympa et l'histoire est sympa. Malheureusement, après, on tombe dans le cliché du mauvais film d'horreur américain. Le jeu d'acteur n'est pas extra malgré la présence de guy pearce. Enfin bon, pas terrible dans l'ensemble.
Ça se laisse regarder, rien d'extraordinaire # une possession, un prêtre et quelques frayeurs. Un scénario qui aurait dû être un peu plus travaillé pour rendre l'histoire plus digérable.#
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