Derniers Avis : A Perfect Enemy - Page 2

Un film ennuyant est un scénario minable. Les acteurs sont a peu près convaincants. Mais il est préférable de ne pas le regarder afin de ne pas perdre 2h de sa vie.

Franchement nul, le scénario est sans surprise, le jeu d'acteur banal et je ne parle même pas des incohérences.
A éviter...

Un vrai bon thriller. Un suspens incroyable. Les 2 principaux acteurs nous tiennent en haleine de façon surprenante. Une histoire intense, pleine de doutes. J'ai adoré, j'ai hâte de lire le livre !

A Perfect Enemy est la définition parfaite du thriller psychologique, qui commence plutôt tranquillement, mais qui emporte vite le spectateur dans une intrigue particulièrement étrange, complexe et perturbante.

Mis à part la scène d'introduction, la majorité du film se déroule dans un lieu public (un salon d'aéroport), mais à la manière d'un huis clos, on ressent donc toute l'oppression ressentie par le personnage campé par Tomasz Kot (Jeremiasz) comme s'il était seul avec Athena Strates (Texel), comme si les deux personnages étaient dans une bulle...

La mise en scène est simple, mais elle est réussie, pensée pour plonger le spectateur dans cette ambiance si particulière. Dès que Jeremiasz et Texel sont à l'aéroport, j'ai été captivé par cette joute verbale entre les deux personnages et n'ai pas vu les 1h30 de film passer.

La prestation des acteurs est convaincante : J'ai eu un peu de mal à accrocher aux personnages au début, mais c'est plus lié à leurs caractères respectifs, avec un Jeremiasz assez froid et distant, et une Texel un peu (beaucoup) "fofolle".

A Perfect Enemy se finit cependant un peu en eau de boudin selon moi, ou du moins, un peu trop facilement, ce qui est assez décevant vu comme le film tente de tenir en haleine le spectateur pendant quasiment toute sa durée... Comme un soufflé qui retombe à la dernière minute.

Malgré cette déception finale, le long-métrage de Kike Maillo vaut clairement le coup d'être vu, notamment si vous appréciez ce genre d'ambiance particulière et perturbante !

“A Perfect Enemy” est un thriller franco-germano-espagnol adapté du roman “Cosmétique de l'ennemi” d'Amélie Nothomb. Alors qu’un architecte rate son vol à l’aéroport de Paris, une étrange fille se présente à lui et commence à lui dire des secrets de sa propre vie. Alors qu’il cherche à la fuir, cette dernière lui colle à la peau comme un aimant et se révèle être de plus en plus inquiétante. “A perfect enemy” est un face-à-face énigmatique et prenant qui prend son temps à créer l'inattendu des révélations. Si les dialogues sont fournis, quelques incohérences scénaristiques et la mise en scène aseptisée viennent perturber le bon traitement de cette adaptation.
D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com

Ce film est adapté du roman d'Amélie Nothomb "Cosmétique de l'ennemi" (2001).
Un architecte d'une quarantaine d'années est interpellé par une mystérieuse jeune femme sur la route de l'aéroport. Il rate son avion et attend le suivant dans un salon VIP de l'aéroport de Paris.
Cette étrange jeune femme vient lui parler de façon plutôt insistante !
Ce thriller psychologique, se résumant finalement à une sorte de joute verbale entre deux individus, place peu à peu ses pions pour nous emporter petit à petit vers un dénouement glaçant et vraiment surprenant !
La réalisation est précise et soignée, les deux comédiens sont également très convaincants, le spectateur est lentement plongé dans un sorte de jeu toxique du chat et de la souris entre ces deux personnages.
Une très bonne surprise cinéma avec une tension narrative d'excellent niveau.

Très bonne surprise !
Je trouve que ce film est une adaptation assez fidèle et réussie du livre "Cosmétique de l'ennemi" d'Amélie Nothomb (2001). Il y a plusieurs bonnes idées pour ce portage sur le grand écran, notamment que le personnage "Texel Textor" soit devenu une belle jeune femme (pas désagréable à regarder!). J'ai bien aimé aussi l'utilisation à un moment de la musique "Variations Goldberg" de Jean-Sebastien Bach, qui a été utilisée dans le film "Stupeur et Tremblements" d’Alain Corneau (2003), lui aussi adapté du roman du même nom d’Amélie Nothomb.
Surtout, la prestation de l'actrice principale, Athena Strates, est remarquable.
Mais qui est donc cette jeune femme, Texel Textor ?
Même en connaissant l'intrigue et le dénouement du livre, j'ai été captivé par ce personnage mystérieux.
Le film est très bien mis en scène, et crée une ambiance très particulière, un long cheminement vers la folie...
A voir !

Adapté du roman d'Amélie Nothomb "Cosmétique de l'ennemi" (2001), nous allons suivre quelques heures de la vie d'un grand architecte d'une quarantaine d'années venant de rater son avion et attendant le suivant dans un salon VIP de l'aéroport de Paris.
Une étrange jeune femme, avec qui il vient déjà de partager un taxi, vient lui parler de façon plutôt... insistante !
Ce thriller psychologique, se résumant finalement à une sorte de joute verbale entre deux individus, place peu à peu ses pions pour nous emporter petit à petit vers un dénouement glaçant et vraiment surprenant !
La réalisation est précise et soignée, les deux comédiens sont également très convaincants, le spectateur est lentement plongé dans un sorte de jeu toxique du chat et de la souris entre ces deux personnages : mais qui est le chat et qui est la souris ??
Une très bonne surprise cinéma avec une tension narrative d'excellent niveau !
Site CINEMADOURG.free.fr

Certaines scène pas très réaliste comme le spoiler: coup de couteau qui a tué Isabelle, je doute qu'un coup de couteaux dans l'abdomen puisse tuer quelqu'un en quelque secondes
. De manière plus générale c'était pas mauvais mais a vouloir trop en faire on se perd et ça donne un effet un peu cheap.

Un thriller original basé sur un scénario inhabituel et trouble ou on ne sait plus qui est victime ou assassin. Le déroulement finit par être confus et la fin decevante

Paris est déjà démontrée comme ville de noirceur, ce qui instaure une ambiance qui dès le départ me prit aux tripes. L'histoire commence plutôt comme un thriller assez simpliste mais mystérieux et bien ficelé. Le scénario est très bien manié, chaque mot, chaque phrase ; tout est mené à la perfection. Texel est un personnage qui dès le départ est très mystérieuse mais que j'adore. Jeremiasz est un personnage très subtil et travaillé dès le début du métrage alors qu'ont ne parle presque pas du tout de lui. Tomasz Kot fait passer la froideur (pas si froide que ça) de la personnalité de Jeremiasz. Athena Strates m'a vraiment touché par son talent. Le film est anxiogène et il y a du mystère, et la révélation finale m'a vraiment fait quelque chose, un espèce de mal que je ressentais. Les effets spéciaux sont déjà magnifiques et ils ne sont que très peu utilisés. Les musiques accompagnent joliment le film. La photographie est assez naturelle et singulière et même si c'est assez dérangeant au début après on s'y habitue et l'ont aime bien. Un peu déçu de la fin même si ça ne rend pas le film moins bon.

Suis pas très fan de Nothomb à la base, mais j'ai adoré le film !! C'est mon copain qui m'a dit que c'était tiré d'un bouquin... Ca me donne presque envie de le lire !!! en tout cas, c'était top, haletant, tout ce que j'aime !!!

Le film a voir pendant ces vacances !! Thriller haletant, acteurs au top. Superbe adaptation du livre d'Amélie Nothomb de la part de Kike Maillo.

Spécialiste des films de genre, le réalisateur espagnol Kike Maillo vient se ranger, sans avoir à en rougir, dans la lignée d’Alfred Hitchcock et de David Lynch avec "A perfect enemy," un thriller psychologique adapté du roman « Cosmétique de l’ennemi », d’Amélie Nothomb. La production internationale ainsi que la distribution, tout aussi internationale, ne nuisent pas à l’homogénéité de l’ensemble, au contraire, peut-on presque affirmer !

Un célèbre architecte est interpellé par une mystérieuse jeune femme dans un aéroport parisien. Elle est si envahissante qu’elle lui fait rater son vol. Il va réaliser, au fil des heures, que leur rencontre n’est pas due au hasard…

Ce film international est une réalisation de l’Espagnol Kike Maillo remarqué pour son premier film Eva qui avait brillé dans plusieurs festivals en 2012 comme les Goya et Fantastic'Arts - Festival du Film Fantastique de Gérardmer. Cette fois-ci, il adapte le roman “Cosmétique de L'Ennemi” de l’écrivaine Belge Amélie Nothomb. Le réalisateur a écrit le scénario avec ceux de ses deux longs-métrages, Cristina Clemente (Eva) et Fernando Navarro (Toro).

Un beau potentiel pour ce thriller que j’ai trouvé bien.

J’aime ce voile tout autour du scénario qui est fait pendant une bonne partie du film. A Perfect Enemy ne va pas dévoiler directement ses cartes car justement l’intérêt réside en comprendre la trame. Un aspect intrigant va donc se faire autour de Jeremiasz et de cette mystérieuse Texel. Au fur et à mesure de l’avancée, des indices sont laissés afin que ceux attentifs puissent cerner l’intrigue.

Les sont indices peut-être un peu trop évidents par moments. En effet, si vous êtes un peu habitué à ce genre de film, vous allez découvrir le pot aux roses facilement. C’est vraiment dommage car la révélation finale aurait pu être puissante si elle n’avait pas été deveniez avant. Après, il est vrai que ceux n’étant pas friand de genre de construction vont se laisser porter et le twist va être fort. Sur l’explication finale se serait attendu à mieux. Ce n’est pas tout à fait clean.

Cela n’empêche toutes fois pas d’avoir une ambiance excellente qui se crée. On est comme dans une bulle. Une sensation que j’adore. La mise en scène est travaillée afin justement d’aider à s’immerger dans le récit. Les petits détails vont être bien pensés. Je pense notamment à la maquette de l’aéroport qui va nous guider. Certains passages vont être géniaux et m’ont presque fait frissonner.

C’est en grande partie due à la prestation de grande classe d’Athéna Strates qui avait déjà fait une apparition dans L'Art du mensonge l’an dernier. Elle apporte une telle force à son personnage. Ses prises de paroles m’ont envoutées. Par contre, Tomasz Kot, vue dans Cold War, ne m’a pas épaté. Il lui manque quelque chose afin de donner de la poigne à son personnage de Jeremiasz. La star polonaise laisse sa partenaire prendre toute la place ce qui déséquilibre un peu l’ensemble. À noter les apparitions en rôle secondaire de l’Espagnole Marta Nieto, connu via Madre, et le Français Dominique Pinon.