Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Transfuge
par Jean-Noël Orengo
Dans "Pornomelancolia" [...], ce sont certes des plans fixes sur Lalo, son héros, spécialement son visage, toute une série de plans fixes que l’on retrouve beaucoup chez Apichatpong Weerasethakul et Tsaï Ming-liang, mais c’est bien plus que cela. Il s’agit d’abord d’une prodigieuse juxtaposition d’images appartenant à des modes différents de capture.
L'Humanité
par Pablo Patarin
Dans cet enchevêtrement de discours, Abramovich ne juge pas et donne simplement à voir, ou à entendre, l’envers du décor et ces êtres devenus objets de désir. Le tout, proposé sur fond de discours révolutionnaire détourné, provoque un subtil mélange de ridicule et d’empathie.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Ni pochade ni satire grossière, ce premier film du très prometteur Manuel Abramovich est une réflexion subtile (superbe mise en scène, sensuelle et mélancolique) sur l’image que nous renvoyons de nous-mêmes à travers nos identités sociale et genrée.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Au-delà de l’itinéraire particulier d’un travail sexuel, c’est la propension de chacun·e à se penser et s’exposer comme un produit que le film observe avec une belle acuité.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Camille Nevers
Fidèle aux promesses de son titre, le film de Manuel Abramovich plonge avec grâce dans la routine de Lalo, solitaire prolétaire du sexe, le temps d’un tournage.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Louis Guichard
Dans cet indémêlable mélange de documentaire et de fiction, la sensualité, bannie par le commerce au profit de l’efficacité, revient incidemment. L’humour aussi : le réalisateur du biopic porno cite Cet obscur objet du désir, de Luis Buñuel, en guise d’indication de jeu à ses interprètes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Alors que le thème de la solitude à l’ère numérique devient un poncif, Manuel Abramovich lui donne une texture particulière en préférant à un récit démonstratif une chronique de la mélancolie qui se nourrit de l’insignifiance du quotidien.
Le Monde
par J.-F. R.
Le quatrième long-métrage de l’Argentin Manuel Abramovich est une réflexion avisée sur le sexe comme spectacle et réalité. C’est son propre rôle qu’interprète l’acteur principal.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Entre le journal intime et le documentaire, ce premier film fait d’abord preuve de singularité, avant d’être rattrapé par la vacuité qu’il dénonce.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Damien Leblanc
Montrant notamment le tournage d’un porno centré sur le révolutionnaire Zapata, Pornomelancolia rappelle que toutes les causes politiques finissent récupérées par l’industrie. Et c’est au moyen d’un élégant style visuel et d’une énergie musicale communicative que Manuel Abramovich réussit à exprimer ce spleen contemporain.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Pornomelancolia en dépit du titre est une plongée quasi anthropologique dans l’univers pornographique masculin où, derrière la marchandisation des corps, se cachent des êtres en quête de bonheur. Une œuvre originale et sensible.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Jean-Sébastien Massart
Pornomelancolia perd en route ce qu’il pouvait contenir de meilleur : une forme de décontraction liée au sexe, presque de gaieté surgissant par éclats, dans un sourire en marge du « travail acharné » de Lalo, et loin de toute mélancolie programmée.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Transfuge
Dans "Pornomelancolia" [...], ce sont certes des plans fixes sur Lalo, son héros, spécialement son visage, toute une série de plans fixes que l’on retrouve beaucoup chez Apichatpong Weerasethakul et Tsaï Ming-liang, mais c’est bien plus que cela. Il s’agit d’abord d’une prodigieuse juxtaposition d’images appartenant à des modes différents de capture.
L'Humanité
Dans cet enchevêtrement de discours, Abramovich ne juge pas et donne simplement à voir, ou à entendre, l’envers du décor et ces êtres devenus objets de désir. Le tout, proposé sur fond de discours révolutionnaire détourné, provoque un subtil mélange de ridicule et d’empathie.
L'Obs
Ni pochade ni satire grossière, ce premier film du très prometteur Manuel Abramovich est une réflexion subtile (superbe mise en scène, sensuelle et mélancolique) sur l’image que nous renvoyons de nous-mêmes à travers nos identités sociale et genrée.
Les Inrockuptibles
Au-delà de l’itinéraire particulier d’un travail sexuel, c’est la propension de chacun·e à se penser et s’exposer comme un produit que le film observe avec une belle acuité.
Libération
Fidèle aux promesses de son titre, le film de Manuel Abramovich plonge avec grâce dans la routine de Lalo, solitaire prolétaire du sexe, le temps d’un tournage.
Télérama
Dans cet indémêlable mélange de documentaire et de fiction, la sensualité, bannie par le commerce au profit de l’efficacité, revient incidemment. L’humour aussi : le réalisateur du biopic porno cite Cet obscur objet du désir, de Luis Buñuel, en guise d’indication de jeu à ses interprètes.
Cahiers du Cinéma
Alors que le thème de la solitude à l’ère numérique devient un poncif, Manuel Abramovich lui donne une texture particulière en préférant à un récit démonstratif une chronique de la mélancolie qui se nourrit de l’insignifiance du quotidien.
Le Monde
Le quatrième long-métrage de l’Argentin Manuel Abramovich est une réflexion avisée sur le sexe comme spectacle et réalité. C’est son propre rôle qu’interprète l’acteur principal.
Les Fiches du Cinéma
Entre le journal intime et le documentaire, ce premier film fait d’abord preuve de singularité, avant d’être rattrapé par la vacuité qu’il dénonce.
Première
Montrant notamment le tournage d’un porno centré sur le révolutionnaire Zapata, Pornomelancolia rappelle que toutes les causes politiques finissent récupérées par l’industrie. Et c’est au moyen d’un élégant style visuel et d’une énergie musicale communicative que Manuel Abramovich réussit à exprimer ce spleen contemporain.
aVoir-aLire.com
Pornomelancolia en dépit du titre est une plongée quasi anthropologique dans l’univers pornographique masculin où, derrière la marchandisation des corps, se cachent des êtres en quête de bonheur. Une œuvre originale et sensible.
Critikat.com
Pornomelancolia perd en route ce qu’il pouvait contenir de meilleur : une forme de décontraction liée au sexe, presque de gaieté surgissant par éclats, dans un sourire en marge du « travail acharné » de Lalo, et loin de toute mélancolie programmée.