Il en est de films qui laissent des marques, qui marquent non seulement l’esprit du spectateur mais aussi et surtout l’histoire du cinéma. Harry Potter, Le seigneur des anneaux, Star Wars, Le Parrain, Le Hobbit, Fast And Furious, Mission impossible…
Ce premier avril j’ai enfin ajouté une autre saga à cette liste, une autre adaptation d’un roman mythique ayant plu à beaucoup de monde, Dune. Le premier était témoin d’une grande qualité de production de la part de Denis Villeneuve, la photographie, la musique, le casting, tout était très très bon et adaptait à merveille le chef d’œuvre de Frank Herbert. Ce film contenait une harmonie et un assemblage des éléments qui nous rappelle pourquoi on a toujours autant envie de poser nos masses organiques sur les célèbres sièges rouges du temple de l’émerveillement ! Avec Hans Zimmer à la baguette, Un Timothée Chalamet Grandiose et un Denis Villeneuve en « bâtisseur de mondes » comme le dit si bien le grand Spielberg.
Dune 2 ne déroge pas à cette observation et est même encore plus fort à mon sens ! Un casting toujours aussi merveilleux (mention spéciale à Austin Butler qui m’a beaucoup plu !), une bande son Dantesque, des images juste sublimes, des scènes épiques qui font frissonner, voilà là les attributs d’un grand film de science-fiction !
Là où les films se démarquent souvent soit par le fond (le scénario bien ficelé, avec un bon développement et un bon environnement) ou bien par la forme (des effets spéciaux convaincants, des musiques marquantes, des jeux de couleurs et lumières constituant une belle image à contempler pour nos yeux) ; Dune 2 réussit avec brio à maîtriser ces deux axes pour en faire un plaisir de 2h46 pour les yeux et le cœur.
C’est, non sans aucun doute, du grand cinéma, du cinéma spectaculaire, c’est juste, émouvant, étonnant, mais surtout convaincant !
3 heures de cinéma pur à être cloué au siège et à ne pouvoir quitter les yeux du grand écran.
Merci, merci au cinéma d’exister pour me permettre de vivre ce genre de moments, mais surtout merci à Denis Villeneuve pour ce film qui, tout comme je l’ai dit au début de mes élucubrations dithyrambiques, ce film s’inscrit dans la fameuse liste des films/sagas qui, après leur passage, laisse un très bon souvenir, et ainsi, marquent l’histoire du cinéma.