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Votre avis sur Dune : Deuxième Partie ?
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Une suite réussie, toujours un grand spectacle à voir !
spoiler: Le jeu de Timothée Chalamet qui devient de plus en plus avide de pouvoir au fil du temps, est-il sous influence ou est-il conscient de ce qu'il fait ? un jeu parfait ! Zendaya est toute aussi blufant en tant que rebelle, du début à la fin. J ene parle même pas de Javier Bardem, tout simplement excellent
spoiler: Le jeu de Timothée Chalamet qui devient de plus en plus avide de pouvoir au fil du temps, est-il sous influence ou est-il conscient de ce qu'il fait ? un jeu parfait ! Zendaya est toute aussi blufant en tant que rebelle, du début à la fin. J ene parle même pas de Javier Bardem, tout simplement excellent
Excellente suite, encore mieux que le premier Opus ! Bravo à Denis Villeneuve d'avoir réussi à relever ce défi avec brio
Plus épique et mouvementé que la première partie, le deuxième volet de « Dune » est un bon divertissement de science-fiction, aux effets spéciaux magnifiques et doté d’une photographie qui rend hommage à ceux-ci, et qui surtout parvient à nous immerger dans une atmosphère visuelle unique et cohérente. On a clairement l’impression de maintenant connaître Arrakis, cet immense désert tout aussi hostile et dangereux qu’il est sacré et magique.
La première moitié du film est, selon moi, bien mieux réussie que la seconde.
On commence sur quelque chose d’intimiste, de nuancé, avec des scènes d’actions spectaculaires savamment dosées, permettant à chacune d’entre elles de vraiment compter et de revêtir des enjeux majeurs qui peuvent nous parler, autant sur le plan du récit que dans la symbolique de celui-ci.
Mais la seconde partie est malheureusement bourrée d’ellipses, format cinéma oblige, et l’on n’a plus droit qu’à des scènes d’affrontements beaucoup plus larges, avec une musique si omniprésente qu’on en perd la saveur (voire même la notion), un rythme effréné de plans d’ensemble qui nous éloignent trop des personnages, et de la sensation de proximité qui permettait durant la première partie de nous attacher sincèrement à leurs destins respectifs.
Difficile de réaliser un film qui s’empare d’une œuvre aussi dense sans devoir forcément rogner sur des scènes plus lentes, lorsqu’il faut aussi montrer de grandes batailles.
Mais on se mettrait presque à regretter que Denis Villeneuve n’ait pas choisi d’en faire une série d’une seule saison.
Peut-être que personne ne se serait osé à la produire… le réalisateur avait en effet mentionné qu’il n’y aurait une suite que si les entrées cinéma du premier opus montraient un réel engouement du public.
On ne peut toutefois s’empêcher de se dire que ce format n’aurait pas amputé l’œuvre originale de bons nombre de détails, qui ne sont ici même pas abordés, pourtant très importants à la compréhension générale de cette belle épopée. Et que le résultat aurait été époustouflant.
Ceci dit, c’est un bon moment de cinéma popcorn, et on ira voir la suite.
La première moitié du film est, selon moi, bien mieux réussie que la seconde.
On commence sur quelque chose d’intimiste, de nuancé, avec des scènes d’actions spectaculaires savamment dosées, permettant à chacune d’entre elles de vraiment compter et de revêtir des enjeux majeurs qui peuvent nous parler, autant sur le plan du récit que dans la symbolique de celui-ci.
Mais la seconde partie est malheureusement bourrée d’ellipses, format cinéma oblige, et l’on n’a plus droit qu’à des scènes d’affrontements beaucoup plus larges, avec une musique si omniprésente qu’on en perd la saveur (voire même la notion), un rythme effréné de plans d’ensemble qui nous éloignent trop des personnages, et de la sensation de proximité qui permettait durant la première partie de nous attacher sincèrement à leurs destins respectifs.
Difficile de réaliser un film qui s’empare d’une œuvre aussi dense sans devoir forcément rogner sur des scènes plus lentes, lorsqu’il faut aussi montrer de grandes batailles.
Mais on se mettrait presque à regretter que Denis Villeneuve n’ait pas choisi d’en faire une série d’une seule saison.
Peut-être que personne ne se serait osé à la produire… le réalisateur avait en effet mentionné qu’il n’y aurait une suite que si les entrées cinéma du premier opus montraient un réel engouement du public.
On ne peut toutefois s’empêcher de se dire que ce format n’aurait pas amputé l’œuvre originale de bons nombre de détails, qui ne sont ici même pas abordés, pourtant très importants à la compréhension générale de cette belle épopée. Et que le résultat aurait été époustouflant.
Ceci dit, c’est un bon moment de cinéma popcorn, et on ira voir la suite.
premier volet qui me laissait sur ma fin même si les personnages sont très bien l'histoire est un peu lente. Le deuxième volet est aussi assez lent les 2 premières heures mais très bien à la fin. acteurs.trices très bien dans leurs rôles respectifs
ned123
J'ai vu un film... qui m'a transporté dans l'univers incroyable de Frank Herbert... Ce film a redéfini pour moi le cadre du film de science-fiction... Denis Villeneuve livre un regrad personnel incroyable en faisant un space opera d'une ampleur phénoménale... Il s'agit d'un chef-d'œuvre épique où chaque plan est magnifié par la vision artistique unique du réalisateur.
Paul Atreides, interprété avec brio par un Thimotée Chalamet somptueux, va combattre avec les Fremen (Freemen ?) pour mener une révolte contre ceux qui ont anéanti sa famille (Les Arrakeen...). Ce récit d'une grande fluidité prend le temps de captiver, d'imposer ses enjeux (politiques, économiques, diplomatiques, religieux...), d'exposer et de nourrir ses ambiguïtés. Hanté par de sombres prémonitions, Paul, qui va devenir Usul ET Muad'hib se trouve confronté au plus grand des dilemmes : choisir entre l’amour de sa vie et le destin de l’univers... jusqu'à devenir un prophète... LE Prophète ?
Le film est colossal et monstrueux, une réussite implacable. Les effets spéciaux de dingue offrent une beauté époustouflante à chaque scène. La guerre sainte naît de l'affrontement avec le pouvoir impérial (la joie de revoir Christopher Walken), et de l'espoir naît la foi... Certains passages font aussi un peu froid dans le dos... avec une musique de Hans Zimmer qui accentue les effets...
Denis Villeneuve transcende l'épopée de Dune dans son deuxième acte, créant un blockbuster spectaculaire, intelligent, complexe. La science-fiction franchit une nouvelle étape en même temps que Paul chevauche un gigantesque ver à travers les dunes de la planète Arrakis. Un moment de grâce visuelle, parmi tant d’autres.
"Dune : deuxième partie" dévoile un Denis Villeneuve à l'aise dans l'exercice de la fresque spectaculaire, mais démultiplie surtout la portée thématique et les métaphores politiques de l'opus précédent. Ce film est une réussite incroyable, un blockbuster spectaculaire, intelligent, complexe, d’une beauté époustouflante et d’une ambition rare.
S'il était possible d'en avoir un 3ème opus, je ne dis pas non...
Paul Atreides, interprété avec brio par un Thimotée Chalamet somptueux, va combattre avec les Fremen (Freemen ?) pour mener une révolte contre ceux qui ont anéanti sa famille (Les Arrakeen...). Ce récit d'une grande fluidité prend le temps de captiver, d'imposer ses enjeux (politiques, économiques, diplomatiques, religieux...), d'exposer et de nourrir ses ambiguïtés. Hanté par de sombres prémonitions, Paul, qui va devenir Usul ET Muad'hib se trouve confronté au plus grand des dilemmes : choisir entre l’amour de sa vie et le destin de l’univers... jusqu'à devenir un prophète... LE Prophète ?
Le film est colossal et monstrueux, une réussite implacable. Les effets spéciaux de dingue offrent une beauté époustouflante à chaque scène. La guerre sainte naît de l'affrontement avec le pouvoir impérial (la joie de revoir Christopher Walken), et de l'espoir naît la foi... Certains passages font aussi un peu froid dans le dos... avec une musique de Hans Zimmer qui accentue les effets...
Denis Villeneuve transcende l'épopée de Dune dans son deuxième acte, créant un blockbuster spectaculaire, intelligent, complexe. La science-fiction franchit une nouvelle étape en même temps que Paul chevauche un gigantesque ver à travers les dunes de la planète Arrakis. Un moment de grâce visuelle, parmi tant d’autres.
"Dune : deuxième partie" dévoile un Denis Villeneuve à l'aise dans l'exercice de la fresque spectaculaire, mais démultiplie surtout la portée thématique et les métaphores politiques de l'opus précédent. Ce film est une réussite incroyable, un blockbuster spectaculaire, intelligent, complexe, d’une beauté époustouflante et d’une ambition rare.
S'il était possible d'en avoir un 3ème opus, je ne dis pas non...
« In the shadows of Arrakis lie many secrets but the darkest of them all remain the end of House Atreides. »
Après une première partie en couleurs dites froides, le début de la seconde tranche par ses couleurs dites chaudes : un sable ocre qui emplit l’espace jusqu’à l’étouffement, sensation encore accentuée par la profondeur de champ de la caméra de Denis Villeneuve. A la distribution, les disparus de la première partie cèdent la place à de nouveaux visages tels que l’intrigante Florence Pugh, l’assez stéréotypé Austin Butler ou un convaincant Christopher Walken en empereur désabusé, les autres interprètes conservant leur jeu assez juste voire parfait, à l’image d’un fabuleux Javier Bardem occupant ici plus de place.
A l’image du changement de teintes et s’il narre toujours l’itinéraire initiatique du Kwisatz Haderach Paul Muad’Dib Usul Atreides, Lisan al-Gaib, le mahdi, le scénario est beaucoup plus délié, amorçant l’ascension du héros qui souhaite planifier sa revanche, tout en devenant fremen, mis sous pression par une prophétie aux origines multiples et l’apocalypse qu’elle annonce. L’intrigue religieuse et ses implications diverses prend alors ici de plus en plus le pas sur le reste qui n’est plus amorcé que de manière découpée, parfois jusqu’à l’incompréhensible.
Si on ne peut dénier le souffle épique de ce second volet, il faudra admettre qu’il y manque la puissance évocatrice du premier et un rythme certes lent mais mieux équilibré.
Après une première partie en couleurs dites froides, le début de la seconde tranche par ses couleurs dites chaudes : un sable ocre qui emplit l’espace jusqu’à l’étouffement, sensation encore accentuée par la profondeur de champ de la caméra de Denis Villeneuve. A la distribution, les disparus de la première partie cèdent la place à de nouveaux visages tels que l’intrigante Florence Pugh, l’assez stéréotypé Austin Butler ou un convaincant Christopher Walken en empereur désabusé, les autres interprètes conservant leur jeu assez juste voire parfait, à l’image d’un fabuleux Javier Bardem occupant ici plus de place.
A l’image du changement de teintes et s’il narre toujours l’itinéraire initiatique du Kwisatz Haderach Paul Muad’Dib Usul Atreides, Lisan al-Gaib, le mahdi, le scénario est beaucoup plus délié, amorçant l’ascension du héros qui souhaite planifier sa revanche, tout en devenant fremen, mis sous pression par une prophétie aux origines multiples et l’apocalypse qu’elle annonce. L’intrigue religieuse et ses implications diverses prend alors ici de plus en plus le pas sur le reste qui n’est plus amorcé que de manière découpée, parfois jusqu’à l’incompréhensible.
Si on ne peut dénier le souffle épique de ce second volet, il faudra admettre qu’il y manque la puissance évocatrice du premier et un rythme certes lent mais mieux équilibré.
Si la SF au cinéma m était conte ce serait donc Dune 2. Bluffant pour ses paysages mettant en valeur comme Laurence d Arabie ce désert, un scénario avec une certaine épaisseur et restituant assez bien une certaine complexité du livre, des interprétations à la hauteur (même Chalamet passe un cran en crédibilité…). Dune 2 est désormais un classique du genre. La réalisation appuie avec finesse les moyens mis en œuvre, enfin un budget … qui ne se voit pas. Bravo !
quel super moment, les 2h40 passe à une vitesse folle, j'ai vraiment apprécier cette suite; les effets spéciaux, l'histoire, les scènes sont extra, un grand moment de bonheur
Tout est absolument parfait. Aucune fioriture dans les choix scénaristiques, le rythme est simplement parfait, les images sont si belles qu'on croirait parfois voir des tableaux dignes des plus grands musées, et la science fiction n'a peut-être jamais été aussi bien représentée au cinéma. Avec en plus de ça une performance complètement remarquable des acteurs, on tient sans aucun doute un des plus grands films de l'année. Bravo
Premièrement, je dois avouer que lors du premier volet, je n’étais pas pleinement embarqué dans le film et je me suis même un peu ennuyé, peut-être car je ne l’ai pas vu au cinéma mais chez moi en streaming.
Cette deuxième partie, vue en grand écran m’a pleinement embarqué dans l’univers et m’as mis plusieurs fois la larme à l’œil. Chaque séquence est époustouflante visuellement.
Cette deuxième partie, vue en grand écran m’a pleinement embarqué dans l’univers et m’as mis plusieurs fois la larme à l’œil. Chaque séquence est époustouflante visuellement.
Je ne met que trop rarement un avis sur un film mais après plus d’un mois passé de mon visionnage en salle sombre sur grand écran il reste encré dans ma tête tellement cette deuxième partie m’a marqué. Un moment exceptionnel de cinéma comme on en voit rarement. Il sublime ce que la première partie a magnifiquement entamée. Que ce soit du côté de la photographie, de l’évolution des personnages, de la bande originale qui est tout simplement magistrale (Hans Zimmer ce génie),… Un pur régal de bout en bout que ce soit pour les yeux ou les oreilles. Ces deux films rendent hommage au premier tome de Dune comme étant l’adaptation ultime des chefs-d’œuvres de Frank Herbert. Félicitations Denis Villeneuve et à toute l’équipe derrière ces deux films. Grâce à ce travail j’ai été motivé à me plonger dans la lecture du cycle de Dune et à découvrir cet incroyable univers. J’ai vraiment hâte de voir le travail qui sera réalisé sur Dune Messia. Le rendez-vous est d’ores et déjà pris !
ce film est beaucoup beaucoup trop long, il ne ce passe rien, je me suis ennuyé du début jusqu'à la fin, franchement à part la mis en scène et les costumes rien d'exceptionnel, il ce passe rien et à la fin on va tuer des méchants
bref.........
passer votre chemin
bref.........
passer votre chemin
J'ai beaucoup aimé le filme.
Il est surprenent.
Il est un peu long,mais on ne voit pas le temp passer.
Une histoire riche, dense.et creative.
J'ai ne pas Encore vu lá premiere partie,mais je vais la voir bientot,ça c'est Sur.
Magnifique.
Il est surprenent.
Il est un peu long,mais on ne voit pas le temp passer.
Une histoire riche, dense.et creative.
J'ai ne pas Encore vu lá premiere partie,mais je vais la voir bientot,ça c'est Sur.
Magnifique.
Joli film, bien réalisé, rien à dire, bravo... si ce n'est qu'il est en rupture avec ce qu'on aurait attendu surtout au regard de la version précédente et du thème.
J'aurais tellement aimé une version moins promo "religion" opposant les gentils pseudo musulmans et les méchants nazillons... tous les codes sont là...
On aurait pas pu rester laïcs et éviter que les héros fassent allégeance ?
Dommage...
C'est du cinéma, ça doit aussi faire rêver...là on nous explique qu'on n'a pas le choix.. là peste brune ou les "autres"...
J'aurais tellement aimé une version moins promo "religion" opposant les gentils pseudo musulmans et les méchants nazillons... tous les codes sont là...
On aurait pas pu rester laïcs et éviter que les héros fassent allégeance ?
Dommage...
C'est du cinéma, ça doit aussi faire rêver...là on nous explique qu'on n'a pas le choix.. là peste brune ou les "autres"...
Chef d’œuvre!
C’est tout simplement un des meilleurs film que j’ai vu de ma vie au cinéma. MASTERCLASS!
C’est tout simplement un des meilleurs film que j’ai vu de ma vie au cinéma. MASTERCLASS!
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