Derniers Avis : Dune : Deuxième Partie - Page 21

Puissant, épique, intelligent, beau à damner, enivrant, bref grandiose! A voir, et surtout revoir!
Vivement la suite!

Interminable ! Un scénario "biscornu" agrémenté d'une profusion d'effets spéciaux... On attend le mot "fin" avec impatience !

Il y a quelques bonnes idées, comme la façon tout en douceur dont marchent les jetpacks, ou encore spoiler: Chani à la fin qui part seule dans le désert
. Et caster Florence Pugh est toujours une bonne idée.
Mais c'est trop long, la musique ne va pas du tout, c'est trop gris, plusieurs personnages sont ratés (dont l'empereur et le baron), la guilde spatiale a disparu, etc. spoiler: C'est ridicule que Alia ne naisse pas dans le film
.
Dommage, je pense qu'avec une bonne musique certaines scènes seraient réussies, par exemple spoiler: les fremens qui surgissent du sable pour attaquer la moissonneuse d'épice
.
Bref, dans l'ensemble raté, à la fois par rapport au roman, et par rapport au film de David Lynch d'il y a 40 ans.

Film dans la lignée du premier, à savoir assez ennuyeux, actions très mal filmés, personnages moyen et histoire assez décousue. Pleins de fois on comprends pas comment les personnes arrives à tel ou tel endroits. Les ennemies sont d'une nullitée ... C'est la le big empire et les Harkoneen ? Ils perdent contre des mecs avec des couteaux. Ils sont impitoyable dans la galaxie mais fair play et accepte de se battre aussi avec des couteaux ... alors qu'ils ont des armes à feu.
Niveau effets spéciaux rien à dire c'est très bien. Un peu sombre par moment. je m'attendais à beaucoup mieux surtout quand j'ai vu les critiques et les notes ...

Il ne faut pas avoir lu les romans de Frank Herbert, ni avoir vu le film (kitch, c'est vrai, mais, pour l'époque, mieux réussi) de Lynch, pour apprécier ce long déballage d'effets visuels et sonores.
Rendez nous Virginia Madsen ! Elle nous campait une Irulan lumineuse et magnifique chez Lynch, alors que Villeneuve nous propose Florence Pugh déguisée par Paco Rabane d'une fadeur inégalable. Car côté casting, on n'est pas gâtés. Chalamet et Zendaia !!! Je ne vois pas ce qui fait leur charme, peut-être leur nombre de followers qui va attirer le chaland. Par moments, Chalamet a des attitudes qui rappellent la tête de Christian Clavier dans "les bronzés". Et son apparence juvénile n'est pas en cause malgré ce que j'ai pu lire sur d'autre critiques : il est plus vieux que le Paul des romans.
Austin Butler est plus ridicule que méchant. A oublier. Mention honorable à Dave Bautista, Javier Barden et Josh Brolin qui font des personnages secondaires crédibles.
Côté scénario, je me demande comment peuvent s'y retrouver les non-lecteurs de Dune. A quoi sert l'épice ? Pourquoi la Guilde des Navigateurs est absente alors que c'est elle qui tire les ficelles puisqu'elle dépend intégralement de l'épice ? La justification finale de l'empereur est d'ailleurs totalement à l'inverse du roman.
Parmi les aberrations qui m'ont fait bondir dans mon fauteuil je ne peux pas m'empêcher d'évoquer le costume fremen. Dans cette tenue, ils ne tiendraient pas une journée sur Dune. Les fremen portent un distille qui leur permet de ne perdre qu'un minimum d'eau. Là, ils n'ont que leur petit tuyau dans le nez et rien qui leur masque la bouche...
Le plus ridicule étant la chevauchée du ver. A la première, j'ai failli éclater de rire, visuellement, j'avais l'impression que Stilgar faisait du ski nautique sur sable !!! Sur ce point, c'était plus class chez Lynch (et conforme au roman), où le chevaucheur, après avoir maitrisé la bête, lançait des filins pour que les autres puissent grimper.
Bref, après le massacre de Fondation par une série racoleuse, c'est Dune qui en prend un coup par des auteurs voulant en faire un grand succès commercial. Et le pire, c'est que ça marche.
Deux étoiles parce que je ne me suis pas endormi mais c'est bien payé.

Quelle déception ! Il manque tellement de choses, le livre est si dense. Le film est pas mal, il vaut mieux ne pas connaître le livre pour apprécier le grandiose.Mais si on connaît l'oeuvre, alors oui Dune est inadaptable en film. Une série serait plus à même de prendre le temps de diffuser les personnages et les liens ainsi que l'omni présence de la conscience de Paul sur ce qu'il est et sur ce qu'il sera, ors là il n'y a rien, on dirait presque un revenge movie.

Denis Villeneuve est en train de créer, sous nos yeux, avec ses petites mains d'artisan et aidés par des budgets collossaux, le film qui fait basculer les effet spéciaux et la science fiction dans une autre dimension. Avec sa ligne claire, ses personnages c'est presque du Hergé, sauce Star Wars mais réalisé avec une précision et un soin incroyables. C'est beau, c'est captivant, c'est profond, émouvant. Et pas une seule fois, on se dit, c'est sympa mais on les voit les effets spéciaux. Non, on vient de placer le curseur à un tel niveau que plus aucune production avec effets spéciaux ne pourra plus nous convaincre si elle n'égale pas Dune de D.Villeneuve. Une masterpiece.

WOW !
Une claque.
Cette suite en est vraiment une, on monte d'un niveau.
Les plans sont a coupé le souffle, les combat impressionants.
On ne voit pas passé les 2h45 de film.
Une Zendaya pas assez là émotionnellement je trouve, tout le temps énervée (lié au fait que les Fremen ne pleurent pas, j'en ai conscience)
Le sujet de l'Epice, pièce centrale du film, pas assez développée à l'écran selon moi, on ne la voit à proprement parlé.

Comment ce film peut avoir une telle unanimité.

Quel ennui, la moitié du film aurait pu être coupé sans aucune incidence...
Les acteurs... Sont violemment insipides, très loin du charisme des protagonistes de lynch.

J'arrête la, ce film n'en vaut pas la peine

Dune 2 transcende le cinéma. Villeneuve déploie un univers renversant, des personnages puissants et une histoire captivante. Musique de Zimmer magistrale. À voir absolument.

C’est assez bof.
Beaucoup de batailles.
Une vision très manichéenne : les gentils, les méchants.
Une vision assez fanatique.
Des belles images sauvent le 0

❤️❤️❤️❤️❤️

Une expérience de cinéma, sensorielle et auditive, très généreusement offerte par le génie Denis VILLENEUVE. Hans ZIMMER, comme pour le premier volet, n'y est pas pour rien. C'est aussi un univers musical ambiant qui est ainsi créé, et peut hanter le spectateur bien après le visionnage du film.

Le film relève en tout cas du niveau visuel de la claque Apocalypse Now, sinon au-dessus, film par ailleurs référence du réalisateur canadien qui, depuis le premier volume de Dune, y fait des allusions choisies (le personnage du baron, le soleil, les ornithoptères/hélicoptères...)

Le rythme, très intense, détonne si on le compare à celui du premier volume de Dune. Les ellipses sont mieux gérées encore que dans le film précédent (après tout, il est vrai que certaines scènes, annoncées, n'ont pour autant pas besoin d'être montrées. L'édiction suffit).

Le spectateur est happé, plusieurs fois impressionné, sous le choc (la séquence d'introduction, d'un rouge sublime, la séquence du soleil noir, d'une violence exceptionnelle, les séquences d'assauts dans le cadre de la guerre de l'Epice, celles de combats en duel...)

En bref, si Steven SPIELBERG himself a fait savoir combien il avait adoré le film, notamment la scène d'anthologie avec le vers des sables et Timothée CHALAMET, ce n'est pas sans motif. Il a raison : c'est une expérience unique, semblable à aucune autre.

Dans le film, enfin, la dualité FOI versus RAISON / DESTIN versus LIBRE-ARBITRE / CYNISME versus SINCÉRITÉ sont les motifs de fond qui passionnent les amoureux de la condition humaine.

Une suite réussie, toujours un grand spectacle à voir !
spoiler: Le jeu de Timothée Chalamet qui devient de plus en plus avide de pouvoir au fil du temps, est-il sous influence ou est-il conscient de ce qu'il fait ? un jeu parfait ! Zendaya est toute aussi blufant en tant que rebelle, du début à la fin. J ene parle même pas de Javier Bardem, tout simplement excellent

Excellente suite, encore mieux que le premier Opus ! Bravo à Denis Villeneuve d'avoir réussi à relever ce défi avec brio

Plus épique et mouvementé que la première partie, le deuxième volet de « Dune » est un bon divertissement de science-fiction, aux effets spéciaux magnifiques et doté d’une photographie qui rend hommage à ceux-ci, et qui surtout parvient à nous immerger dans une atmosphère visuelle unique et cohérente. On a clairement l’impression de maintenant connaître Arrakis, cet immense désert tout aussi hostile et dangereux qu’il est sacré et magique.

La première moitié du film est, selon moi, bien mieux réussie que la seconde.
On commence sur quelque chose d’intimiste, de nuancé, avec des scènes d’actions spectaculaires savamment dosées, permettant à chacune d’entre elles de vraiment compter et de revêtir des enjeux majeurs qui peuvent nous parler, autant sur le plan du récit que dans la symbolique de celui-ci.
Mais la seconde partie est malheureusement bourrée d’ellipses, format cinéma oblige, et l’on n’a plus droit qu’à des scènes d’affrontements beaucoup plus larges, avec une musique si omniprésente qu’on en perd la saveur (voire même la notion), un rythme effréné de plans d’ensemble qui nous éloignent trop des personnages, et de la sensation de proximité qui permettait durant la première partie de nous attacher sincèrement à leurs destins respectifs.

Difficile de réaliser un film qui s’empare d’une œuvre aussi dense sans devoir forcément rogner sur des scènes plus lentes, lorsqu’il faut aussi montrer de grandes batailles.
Mais on se mettrait presque à regretter que Denis Villeneuve n’ait pas choisi d’en faire une série d’une seule saison.
Peut-être que personne ne se serait osé à la produire… le réalisateur avait en effet mentionné qu’il n’y aurait une suite que si les entrées cinéma du premier opus montraient un réel engouement du public.
On ne peut toutefois s’empêcher de se dire que ce format n’aurait pas amputé l’œuvre originale de bons nombre de détails, qui ne sont ici même pas abordés, pourtant très importants à la compréhension générale de cette belle épopée. Et que le résultat aurait été époustouflant.

Ceci dit, c’est un bon moment de cinéma popcorn, et on ira voir la suite.