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Adrien J.
97 abonnés
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5,0
Publiée le 4 mars 2024
Alerte chef-d’œuvre. Je répète, alerte chef-d’œuvre ! Denis Villeneuve vient tout simplement de faire le meilleur blockbuster depuis Inception. En d’autres termes, le meilleur film d’action à grand spectacle de ces 15 dernières années. Oui rien que ça ! Le premier volet était une excellente introduction à l’univers, mais cette suite est d’un tout autre niveau. Un dieu artistique et cinématographique à la beauté incommensurable, où chaque plan est un tableau, et chaque tableau est évocateur de sens et de symboles. Le réalisateur fait par ailleurs une critique subtile, intéressante et sombre de la figure messianique et du fanatisme. Nous ne méritons pas Denis Villeneuve, nous ne sommes pas dignes de son talent.
Denis Villeneuve réalise encore une masterclass de premier ordre. Le film compense le manque du sentiment de découverte en proposant une suite plus épique, violente et sombre que le précédent opus. Le casting est impeccable, Zendaya en tête qui s'est réellement surpassée. Le récit est haletant. On attend désormais la suite de cette saga qui s'annonce légendaire
Tout a été dit à propos de ce film. Par conséquent ma critique sera brève. Je suis totalement conquis. C’est impressionnant, c’est grandiose dans la mise en scène avec un grand soin pour les décors, les costumes, la musique. On perçoit bien les enjeux, les croyances, les comportements de chaque maison et chaque peuple : dans la subtilité comme dans les combats, c’est une magnifique adaptation d’une des plus grandes sagas romanesques. Pas vraiment de défaut à ce film, peut-être l’acteur qui joue Paul, Timothée Chalamet, qui manque de charisme selon moi. Villeneuve signe ici encore un très beau film, très soigné qui m’a donné souvent des frissons. Vite une suite pour que l’on puisse vibrer encore autant.
A l’issue du premier acte, je m’étais promis de lire Frank Herbert… promesse non tenue, au contraire de Denis Villeneuve qui lui, a tenu la sienne en nous proposant une deuxième partie encore meilleure. Artistiquement, visuellement, techniquement, c’est à nouveau une puissance baffe. Même Hans Zimmer m’a réconcilié avec sa musique, moi qui ne l’avais que peu appréciée la première fois à la maison. Bien qu'un peu "lourde", elle enveloppe clairement mieux les magnifiques images d’Arrakis que j’ai découvert, cette fois-ci, en salles ainsi que l’envergure accrue d’un scénario qui se fait plus dense, plus fort en émotions et en action et, par ricochet, met également l’accent sur l’histoire d’amour entre Paul et Chani. Zendaya conduit d’ailleurs brillamment son rôle même si j’ai davantage été bluffé par Javier Bardem et surtout, par la puissante composition d’Austin Butler. Alors qu’en l’état, mon positionnement vis-à-vis de la longueur des deux « Dune » (5h16 quand même) reste négatif, j’ai hâte de voir la réalisation d’un troisième volet se concrétiser pour pouvoir poursuivre l’aventure.
Qu’il est bon de revenir dans l’univers de “Dune”, de retourner dans l’atmosphère proposée par Denis Villeneuve, dans un cadre toujours posée et contemplatif bien qu’un peu plus noir et dynamique. Ce que j’aime dans le long-métrage, c’est que la mise en scène a autant, voir plus d’importance que l’action, la forme et la suggestion dépassent complètement le fond, jusque là plutôt classique pour un film de cette envergure. “Dune”, c’est une ambiance générale, dans les costumes, dans les langages, dans les différentes tribus et personnages, dans la bande son et effets sonores qui nous emmènent dans un univers chargé de créativité et d’onirisme. C’est à la fois l’ampleur d’une planète et la finesse dans grain de sable. “Dune : Part Two” est comme son prédécesseur, une véritable expérience cinématographique, loin des blockbusters qui vont à toute vitesse, saturés d'effets spéciaux et de grosses punchlines qui font marrer. Ici, ça sent le sérieux, le construit, la puissance dans les faits, la force des mots et de la suggestion, c’est chiadé de bout en bout. Au niveau des améliorations, je pense à la relation entre Paul (Timothée Chalamet) et Chani (Zendaya), un peu trop légère et romancée, surtout que je ne suis pas particulièrement fan de Zenaya, même si elle s’en sort bien. Jessica (Rebecca Ferguson) et le Baron Harkonnen (Stellan Skarsgård) perdent un peu en présence et en prestance dans cette deuxième partie pour laisser place à de nouveaux personnages de la saga : Frey Rautha (Austin Butler), Irulan (Florence Pugh), l'Empereur Shadam (Christopher Walken). “Dune” confirme sa place parmi les belles réalisations de 2024 et pousse l’envie d’aller plus loin avec un 3ème volet. Et même si cela ne se fait pas, on a déjà une très belle œuvre en deux parties.
Alors la Dune 2nd partie est une pure merveille cinématographique! En IMAX Imax Carré Senart c’est une pure claque visuelle, sonore. Ce film monte crescendo et vous prends aux tripes et devient viscérale comme l’épice du film énormissime ! 5 Étoiles
Du très grand cinéma. J’ai adoré. Étonnamment c’est très différent de la première partie. C’est ici beaucoup plus dense et même peut être un peu trop. Il y avait matière à faire une trilogie avec la matière du 1 et du 2. Autant pour le 1 une version longue n’apporterait pas grand chose autant elle serait bienvenue sur la 2. Les lecteurs du roman seront probablement un peu surpris de certains choix, mais je pense qu’il faut toujours oublier un peu le roman quand on va voir une adaptation. Sur les aspects positifs tout a été dit, sur les quelques points qui peuvent agacer c’est surtout dû j pense à la limitation du temps. Le film aurait pu faire 3h20 ou plus. Ce n’était pas possible en salle. Villeneuve a annoncé qu’il n’y aurait pas de version longue et c’est bien dommage. En tout cas je vais le revoir en VO.
En VO ou VF le dernier tiers du film est phénoménal.
Que dire de ce film, c'est un chef-d'oeuvre, Denis VILLENEUVE est monté d'un cran par rapport au premier. Tout est parfait, la musique, la mise en scène, la photographie, les acteurs. Hâte de voir la suite!
Dans ce second volet de la saga épique de Dune, Denis Villeneuve nous offre un spectacle encore plus grandiose que le premier. Imaginez-vous, c'est comme si le premier film était une baguette de pain, et cette suite, c'est le fromage qui vient s'y ajouter : c'est gras, c'est savoureux, et ça vous laisse sur le cul !
Retour sur Arrakis, où les vers des sables ne sont pas les seuls à être épicés. Entre Paul Atreides et sa bande de Fremen, c'est comme une sorte de réunion de famille où chacun amène son propre grain de sable à l'édifice. Mais attention, ça décoiffe plus qu'un coup de vent du désert !
Dans ce chapitre, les méchants sont aussi effrayants que ma belle-mère un lundi matin sans café. Les Harkonnen sont tellement tordus qu'ils pourraient donner des leçons à Voldemort sur la façon d'être vilains. Mais bon, au moins ils ont le mérite de bien nous divertir !
Avec Timothée Chalamet en tête d'affiche, c'est comme si Luke Skywalker était revenu des morts pour combattre aux côtés des Fremen. Et puis, avec Zendaya qui brille comme un sabre laser et Stellan Skarsgård qui a plus de charisme qu'un wookie, on est servis en matière de talent. C'est du casting de compétition, pas de quoi rougir face au Faucon Millenium !
En résumé, Dune 2ème Round, c'est comme une soirée avec des jedis, des hobbits et des super-héros, le tout arrosé de bière Klingon. C'est un pur plaisir pour les fans de science-fiction, avec juste ce qu'il faut de drame, d'action et de retournements de situation pour vous garder accroché à votre siège. Alors n'hésitez pas, embarquez pour ce voyage intergalactique et que la force soit avec vous !
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Dune 2 ou Comment une montagne va accoucher d’une petite souris des sables….
Si Denis Villeneuve maitrisait bien son sujet avec Blade Runner 2049, autant, ici il s’enlise dans les sables mouvants d’Arrakis. Déjà, dans 2049, on sentait poindre un parti pris stylistique loin de faire l’unanimité. Ainsi son Los Angeles était non seulement peu esthétique mais aussi très sombre comparé aux magnifiques tours scintillantes de mille feux de Ridley Scott. Nonobstant, le film brillait grâce à une solide interprétation et à un scénario digne de son illustre prédécesseur.
Bis repetita, dans Dune 2, la colorimétrie passe de l’ocre au noir et blanc ou au gris souris… (exceptionnellement le bleu intense de « l’eau de vie » voire le rouge des explosions). Même les feux d’artifices font taches avec leur blanc laiteux séminal. Quant aux décors, quasi-absents, le peu qu’on nous donne à voir, révèle un design indigent.
Plus que jamais, c’est sur Timothée Chamalet (petite souris du désert) que repose toute l’entreprise. Hélas, le rôle du héros messianique luttant contre tout un empire me semble un peu trop démesuré pour ses frêles épaules. Peut-être chez lui un manque de charisme et de stature ? Le reste de la distribution ne brille pas non plus et Zendaya n'arrive jamais à se départir de son air "grinchon", quant à Christopher Walken, il est vraiment à la peine dans le rôle de l’empereur vieillissant.
En outre, Villeneuve démontre une fois de plus son embarras quand il s’agit de susciter l’Emotion. En effet son film reste désespérément glacial et bien peu d’interactions entre les protagonistes n’éveillent chez nous des sentiments ou de l’empathie. On contemple donc tout cela à bonne distance. Un comble pour une planète épicée qui devrait sentir bon le sable chaud.
Les scènes d’action se veulent violentes mais curieusement sont avares de sang; aussi les combats relèvent davantage de simples chorégraphies plus ou moins bien maitrisées. (je n’évoque même pas le fouillis à l’image) Soudain on se met à regretter qu’on n’ait pas confié ce film à S. S. Rajamouli (« RRR »), pour ne citer que lui ; quelle claque visuelle, quel souffle épique (et épicé) nous aurait alors transportés et émus...
spoiler: Enfin d’où viennent ces rayons de la mort qui découpent les vaisseaux Harkonnens comme un chalumeau le ferait d’une motte de beurre !!?? Et ces pauvres libellules (Ornithopters) sans défense qui tombent comme des mouches au moindre impact de tir…. Et que dire des différentes troupes d’élite qui ne font pas le moindre pli face aux Fremen ! les Impériaux et les Harkonnens sont encore plus lamentables que les droïdes de combat, les clones ou les Stormtroopers de Star Wars (mais la saga de Georges Lucas, elle au moins, ne se prenait pas au sérieux)spoiler:
Quant aux chevauchées décoiffantes sur les vers géants (à réaction ?), elles auraient mérité un peu plus de soins de la part des concepteurs afin d’éviter qu’elles ne sombrent parfois dans le ridicule.
Donc grosse déception mais à plus y réfléchir… pas si surpris que cela.
Très bon Acte 2 ! Car oui c'est vraiment un Acte 2, avant le 3e (et final). On reprend direct là où le 1er s'est fini, en introduisant de nouveaux éléments, jusqu'à embrasser la figure Messianique d'Usul.
Et c'est dzns cet axe narratif que Dune 2 tire sa force, en questionnant la nature du white saviour et de Messie autoproclamé. Comme BR 2049, on court-circuite la figure du monomythe pour en extraire quelque chose de nouveau. À ce titre, Rebecca Ferguson est absolument excellente, renvoyant les Bene Gesserit comme les vraies antagonistes de Dune, reléguant tous les autres personnages à l'état de pions sur l'échiquier galactique.
Un postulat qui peut un peu déconcerter, car si le film introduit bien certains protagonistes (notamment un super Austin Butler en simili-Freezer, pour un Feyd bien charismatique), il leur laisse assez peu de place pour exister autrement que par leur interprète (complétement le cas pour Walken ou Seydoux vu le peu de séquences qui leur dont allouées).
Je serai un poil plus sévère sur la romance avec Chani, introduite en 2-3 moments mais développée sans grande émotion (alors que c'est une composante centrale fu récit jusque dans son plan final), peu aidé par quelques ellipses faisant penser qu'il se passe seulement 3-4 mois au sein des Fremen.
Néanmoins le talent de Zendaya et Chalamet l'emportent, notamment pour ce dernier font on voit réellement la mue à l'écran. De prince peu assuré à prophète maudit menaçant l'équilibre galactique, Tim porte vraiment le rôle comme il faut.
Le reste du cast est bon (Bardem est parfois dans le léger cabotinage mais rend son perso humain), jusque dans le choix des figurants.
Enfin OUI : Dune 2 est un festin visuel de chaque plan. Plus varié et riche que le précédent, jusque dans une ampleur décuplée, c'est un blockbuster de SF tout dimplement impeccable (même si les 20 premières minutes selblent plutôt lorgner vers le National Geographic filmant des bédouins dans des caves vides). Point de comparaison avec A atar, Empire Strikes Back ou le SDA : il y a certes une dimension plus épique et guerrière, mais ce n'est pas ce qui intéresse Villeneuve.
Le climax reste rapidement expédié et ne constitue pas de morceaux de bravoure filmiques. Tout comme le duel final, Denis est avant tout dans une posture d'esthète illustrateur plutôt que dans l'immerssion, mais au service de l'histoire contée non plus seulement via le regard de Paul, mais à travers les yeux de ceux qu'il conquis.
Après une première partie déjà très réussie, Denis Villeneuve fait très fort avec cette suite de Dune à la mise en scène toujours aussi splendide faisant découvrir l'immensité d'Arrakis bien plus que dans le premier. L'intrigue est dense, et pourtant le film prend son temps de présenter les peuples, les confréries et les manigances politiques. Les amateurs de grandes et longues batailles déçus par le premier volet ne seront cependant pas rassasiés ici encore, car le réalisateur préfère ne pas s'attarder sur celles-ci pour plutôt se concentrer sur le reste. On y retrouve d'ailleurs une critique du fanatisme religieux assez osée à l'heure d'aujourd'hui. Chalamet incarne très bien ce jeune Duc effrayé par le destin qui l'attend, et prenant petit à petit de l'assurance pour guider le peuple de la planète. Autour de lui, Villeneuve réunit un casting 4 étoiles qui brille dans chacun des rôles. Quand à la musique de Hans Zimmer, si elle se contente de recycler les thèmes du premier volet sans en apporter de nouveaux, ceux-ci étant déjà très bons, ils illustrent encore très bien cette suite, notamment dans quelques passages épiques appuyés par les basses habituelles du compositeur. Mais si ces deux films forment un tout qui pourrait très bien s'arrêter ici, Villeneuve ouvre malgré tout son film de manière à pouvoir proposer le troisième volet qu'il a en tête depuis le début, adapté du "Messie de Dune". Et on ne demande pas mieux qu'il le fasse.
Dune 2 est un immense film de SF d'action, dans la continuité du premier. C'est un divertissement grandiose impressionnant. Les travaux esthétique et visuel sont dingue. Les performance des comédiens sont très bonnes. Les séquences d'actions, impressionnantes dans le deuxième volet, surpassent celles du premier car la scène de jonglage entre action et développement de l'histoire et des personnages est encore mieux maîtrisée, apportant un rythme parfait. Je n'ai pas eu l'impression que le film durait 2h45, le temps est passé ultra rapidement.. Le travail sonore et la musique de Hans Zimmer sont nickel. Le film est très fidèle au livre, ici centré sur le messianisme et l'accomplissement d'une prophétie, il y a quelques changement mais qui se comprennent scénaristiquement. C'est du grand cinéma, on veut plus de film de SF comme ça, c'est génial
Je n'ai rien compris. Enfin, les méchants ont des têtes de méchant et leur chef s'appelle Vladimir. C'est pratique. Les gentils, c'est plus compliqué....parce qu'il y a des gentils qui sont presque méchants. On croise entre deux vers (un ver ça va...deux...) gladiator façon JP goude, laracroft et paco rabanne qui se rêvent en spice girls (Dune, ça reste une histoire de plat épicé... et là c'est franchement plat). Algu baba tewan eloulou! C'est aussi mystico-hébréo-christo-coranique pour les nuls. awouiwoui kel bide! et grand mystère... avoir toute cette technologie et se battre avec des couteaux... j'ai du louper un épisode. En tout cas dans ce désert où on va dans le sud ou dans le nord ou dans le sud du nord ou le nord du sud... j'ai l'impression qu'on fait du sur-place, toujours dans la même crevasse désertique filmé dans un sens puis dans l'autre. Puis du dessus... Seul point positif, on voit la tomba brion... de quoi réjouir les amateurs d'architecture. Tout n'est pas carton-pâte façon IA generative. Sur ce, fuyez! fuyez! gulbaba aktal shiguwa!