Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Marie Claire
par Emily Barnett
Passionnante métaphore sur la création.
Positif
par Olivier De Bruyn
Même si le film, surtout dans sa première partie, n’évite pas les maladresses, Haute Couture, contrairement à tant d’autres fictions hexagonales destinées à un large public, se distingue par ses qualités d’écriture, par ses inventions scénaristiques et, surtout, bénéficie des prestations irréprochables de ses actrices.
Télé Loisirs
par Claire Picard
Une histoire de transmission très touchante, portée par l'interprétation sincère de tous, premiers comme seconds rôles.
Franceinfo Culture
par Corinne Jeammet
Si la haute couture est la toile de fond du film, elle n'est pas le centre du propos - même si l'atmosphère d'un atelier est bien retracée -. Ce sont les rapports humains, pas toujours si simples, qui tiennent la dragée haute.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Si la mise en scène oppose la quiétude et la lumière douce des ateliers à l’agitation de la ville, elle sait montrer aussi bien la beauté sophistiquée des robes de la Maison Dior et des gestes des couturières que celle, évidemment toute différente, de la cité où vit Jade avec ses solidarités et sa vie qui pétille à chaque étage.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
par La Rédaction
L’intrigue est un peu cousue de fil blanc. Mais outre les scènes très belles de découpage des tissus, de confection d’une robe, de la préparation d’un défilé, il offre un duo fort entre Nathalie Baye et la très juste Lyna Khoudry.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Cousu de fil blanc, ce film, en partie autobiographique, offre néanmoins le portrait attachant de ces petites mains qui œuvrent dans l’ombre des grands créateurs.
Voici
par La Rédaction
Une sorte de conte de fées, récit initiatique cousu de fil blanc, qui alterne les vrais bons moments et les scènes à la limite du grotersque.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Haute couture semble en réalité assez conscient et limite complexé par son propre schématisme sociologique, dont il tente régulièrement de s’excuser notamment par des choix de représentations très discutables à l’endroit de la cité.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par La Rédaction
Donc : aucune surprise, aucun mou, rien de lâche, ce film est tendu comme un corset par un montage ultra serré qui prend les scènes en plein dialogue et les coupe en plein milieu aussi.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Marie Claire
Passionnante métaphore sur la création.
Positif
Même si le film, surtout dans sa première partie, n’évite pas les maladresses, Haute Couture, contrairement à tant d’autres fictions hexagonales destinées à un large public, se distingue par ses qualités d’écriture, par ses inventions scénaristiques et, surtout, bénéficie des prestations irréprochables de ses actrices.
Télé Loisirs
Une histoire de transmission très touchante, portée par l'interprétation sincère de tous, premiers comme seconds rôles.
Franceinfo Culture
Si la haute couture est la toile de fond du film, elle n'est pas le centre du propos - même si l'atmosphère d'un atelier est bien retracée -. Ce sont les rapports humains, pas toujours si simples, qui tiennent la dragée haute.
La Croix
Si la mise en scène oppose la quiétude et la lumière douce des ateliers à l’agitation de la ville, elle sait montrer aussi bien la beauté sophistiquée des robes de la Maison Dior et des gestes des couturières que celle, évidemment toute différente, de la cité où vit Jade avec ses solidarités et sa vie qui pétille à chaque étage.
Le Parisien
L’intrigue est un peu cousue de fil blanc. Mais outre les scènes très belles de découpage des tissus, de confection d’une robe, de la préparation d’un défilé, il offre un duo fort entre Nathalie Baye et la très juste Lyna Khoudry.
Télé 7 Jours
Cousu de fil blanc, ce film, en partie autobiographique, offre néanmoins le portrait attachant de ces petites mains qui œuvrent dans l’ombre des grands créateurs.
Voici
Une sorte de conte de fées, récit initiatique cousu de fil blanc, qui alterne les vrais bons moments et les scènes à la limite du grotersque.
Les Inrockuptibles
Haute couture semble en réalité assez conscient et limite complexé par son propre schématisme sociologique, dont il tente régulièrement de s’excuser notamment par des choix de représentations très discutables à l’endroit de la cité.
Télérama
Donc : aucune surprise, aucun mou, rien de lâche, ce film est tendu comme un corset par un montage ultra serré qui prend les scènes en plein dialogue et les coupe en plein milieu aussi.