Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Ecran Large
par Judith Beauvallet
Un éclatant joyau d'écriture et de mise en scène qui porte un regard brillamment féminin sur un pan d'histoire dans l'Histoire. Sandra Hüller et Susanne Wolff sont géniales et addictives.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Le portrait au vitriol des deux femmes est irrésistible.
Le Parisien
par La Rédaction
Formidablement incarné par Sandra Hüller dans le rôle d’Irma et par Susanne Woff dans celui de l’impératrice, ce film remuant sonne comme une perle d’enthousiasme féministe.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Camille Nevers
Très libre et bien rythmé, le portrait de l’impératrice autrichienne via sa servante campée par Sandra Hüller est plein de trouvailles.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Obs
par S. G.
Le film, qui n’atteint pas la profondeur de « Corsage » – même vision de l’indomptable Elisabeth, même anachronismes en termes de musique –, est très réussi dans sa première partie, moins dans la seconde, plus tragique, où le rythme se grippe. Reste Sandra Hüller, corps burlesque extraordinaire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Accompagné d'une musique anachronique, le récit décalé et épris de liberté, parfois trash, mise sur les ruptures de ton.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Vision sans doute pessimiste, mais pour Finsterwalder, le propos est politique : dans une société monarchique, où les classes sont très déterminées et rigides, il ne peut exister de véritable amitié entre des personnes qui ne seront jamais du même monde.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thierry Chèze
Mais le portrait de cette Sissi, aussi capricieuse que traumatisée par les exigences de ses fonctions et fuyant la compagnie masculine pour vivre entourée de femmes séduit aussi par la qualité de son écriture, jouant entre pure fiction et faits historiques pour délivrer un manifeste féministe riche d’ambiguïtés.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par V. Cau.
Une approche qui a le mérite d’apporter sa part de légèreté et de fraîcheur au récit. Mais qui en constitue aussi la limite.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Cahiers du Cinéma
par Élie Raufaste
Déjà revisitée il y a moins d’un an dans Corsage, la vie de l’impératrice d’Autriche semble constituer, outre-Rhin, un point de passage obligé des relectures féministes de l’Histoire, permettant de marier rebel attitude et destin tragique dans des décors ultra-luxueux
Le Figaro
par É.S.
On pense à La Favorite de Yorgos Lanthimos, sans la cruauté ni l'outrance. Bof bof.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Ecran Large
Un éclatant joyau d'écriture et de mise en scène qui porte un regard brillamment féminin sur un pan d'histoire dans l'Histoire. Sandra Hüller et Susanne Wolff sont géniales et addictives.
Elle
Le portrait au vitriol des deux femmes est irrésistible.
Le Parisien
Formidablement incarné par Sandra Hüller dans le rôle d’Irma et par Susanne Woff dans celui de l’impératrice, ce film remuant sonne comme une perle d’enthousiasme féministe.
Libération
Très libre et bien rythmé, le portrait de l’impératrice autrichienne via sa servante campée par Sandra Hüller est plein de trouvailles.
L'Obs
Le film, qui n’atteint pas la profondeur de « Corsage » – même vision de l’indomptable Elisabeth, même anachronismes en termes de musique –, est très réussi dans sa première partie, moins dans la seconde, plus tragique, où le rythme se grippe. Reste Sandra Hüller, corps burlesque extraordinaire.
Le Journal du Dimanche
Accompagné d'une musique anachronique, le récit décalé et épris de liberté, parfois trash, mise sur les ruptures de ton.
Les Inrockuptibles
Vision sans doute pessimiste, mais pour Finsterwalder, le propos est politique : dans une société monarchique, où les classes sont très déterminées et rigides, il ne peut exister de véritable amitié entre des personnes qui ne seront jamais du même monde.
Première
Mais le portrait de cette Sissi, aussi capricieuse que traumatisée par les exigences de ses fonctions et fuyant la compagnie masculine pour vivre entourée de femmes séduit aussi par la qualité de son écriture, jouant entre pure fiction et faits historiques pour délivrer un manifeste féministe riche d’ambiguïtés.
Le Monde
Une approche qui a le mérite d’apporter sa part de légèreté et de fraîcheur au récit. Mais qui en constitue aussi la limite.
Cahiers du Cinéma
Déjà revisitée il y a moins d’un an dans Corsage, la vie de l’impératrice d’Autriche semble constituer, outre-Rhin, un point de passage obligé des relectures féministes de l’Histoire, permettant de marier rebel attitude et destin tragique dans des décors ultra-luxueux
Le Figaro
On pense à La Favorite de Yorgos Lanthimos, sans la cruauté ni l'outrance. Bof bof.