Mon compte
    House of Gucci
    Note moyenne
    3,6
    8323 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur House of Gucci ?

    431 critiques spectateurs

    5
    52 critiques
    4
    131 critiques
    3
    142 critiques
    2
    70 critiques
    1
    29 critiques
    0
    7 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    régine R.
    régine R.

    9 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 janvier 2022
    Un excellent film qui retrace magistralement la famille Gucci. Retour sur les années 70 à 90 et ses turpitudes dans les familles riches et célèbres. Le casting est époustouflant! Mention spéciale à toute les têtes d'affiche et en particulier Adam Driver.
    Un super moment cinématographique! A voir absolument.
    Gianclaudio Di Dama
    Gianclaudio Di Dama

    7 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 juin 2022
    L'histoire de la famille Gucci méritait largement mieux, je n'ai même pas pu aller au delà de la première heure de film, chose rarissime pour moi. En bref, Al Pacino joue très mal, Jared Leto est une caricature ambulante avec son accent ultra-cliché et son jeu horrible, Lady Gaga tient plus de la Roumaine que de l'Italienne. Il fallait prendre des vrais acteurs Italiens si le réalisateur était à la recherche d'un accent authentique. Côté histoire, ça parle ça parle, ça fait du shopping et il ne se passe rien. Un navet à gros budget!!
    Abedi P.
    Abedi P.

    1 abonné 10 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 janvier 2022
    quelle déception. tout est traité de manière superflue et sans profondeur. et lady gaga qui joue en anglais mais avec l'accent italien, comment c'est possible à ce niveau... très déçu
    FaRem
    FaRem

    8 844 abonnés 9 664 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 décembre 2022
    Ridley Scott et Adam Driver étaient inséparables au cours de cette année 2021 puisque après le très bon "The Last Duel", les deux se sont retrouvés pour ce film sur Maurizio Gucci et sur l'empire de la célèbre marque italienne. Adapté du livre éponyme, le film s'intéresse principalement au couple formé par Maurizio Gucci et Patrizia Reggiani. Cette dernière a tout d'une veuve noire qui ne pense qu'à l'argent. On découvre une femme un peu bébête et niaise sauf qu'elle cache bien son jeu de femme redoutable et manipulatrice qui va tisser sa toile et "manger" les indésirables pour obtenir ce qu'elle veut. Avec les histoires de couple comme fil rouge, le réalisateur s'attarde également sur les affaires et querelles familiales autour du contrôle de la marque. Une immersion dans le monde de la mode et des affaires que j'espérais plus intéressante. Ce qui m'a bloqué immédiatement, c'est le manque d'authenticité du film. Ça commence à Milan dans les années 70 et tout le monde parle anglais. Si je regarde tous les films en version originale, c'est justement pour avoir cette authenticité qui est absente ici. C'est comme pour les films de guerre qui sont en anglais alors qu'ils se déroulent dans des pays où personne ne parle la langue. Il faut que ça cesse surtout si c'est pour arborer un accent ridicule comme ici. Où est la logique ? D'ailleurs, à ce niveau-là, on se demande si Ridley Scott a voulu faire un drame familial ayant abouti sur un fait divers ou une satire fantasque de cette famille. On se demande, car certains personnages sont bien grotesques. D'un point de vue purement cinématographique, "House of Gucci" est un film décevant avec une histoire superficielle et bâclée sur de nombreux points qui manque de piquant.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 208 abonnés 4 193 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 mars 2022
    A 84 ans et 27 films à son palmarès 44 ans de carrière, Ridley Scott n’a jamais été aussi actif. L’ancien réalisateur de publicité venu en 1978 de son Angleterre natale à Hollywood pour y réaliser « Alien » qui révolutionna l’univers des films de science-fiction en introduisant l’horreur dans un vaisseau spatial est aujourd’hui presque unanimement célébré. Si c’est à travers les films d’anticipation (« Blade Runner » en 1982, « Seul sur Mars » en 2015) et les films épiques (« Les duellistes » en 1977, « Thelma et Louise » en 1991, « Gladiator » en 2000) qu’il est le plus reconnu, Scott a depuis abordé tous les genres avec plus ou moins de succès y compris la comédie qui semble à priori le plus éloigné de son univers (« Les associés » en 2003, pochade déjantée méconnue avec Nicolas Cage et Sam Rockwell, particulièrement jouissive). En ce début des années 2020, il finit par concrétiser un projet datant de 2006, relatant par le menu les déboires financiers, sur fond de guerres intestines, de la famille Gucci qui jalonneront les années 1980 et 1990 pour aboutir à la perte de contrôle de la direction de l’empire du luxe Gucci et à l’assassinant de l’héritier Mauricio Gucci (Adam Driver) commandité par son épouse, Patricia Reggiani (Lady Gaga). Deux générations auront donc suffi pour voir une famille puissante et richissime éjectée de la direction de l’entreprise fondée en 1921 par le maroquinier italien Gucio Gucci. Cette saga tragique a été le sujet du livre romancé de l’écrivaine allemande Sarah Gay Forden, best-seller de l’année 2000, « The house of Gucci, a sensational story of murder, madness, glamour and greed ». Un tel sujet, traitant des vices et turpitudes au sein du monde de l’argent et de la jet-set, devait fatalement attirer Hollywood. Pressenti on l’a dit en 2006, Ridley Scott après bien des péripéties de production revient dans le jeu en 2019. Après sa nomination aux Oscars en 2019 pour sa prestation remarquée dans le remake de « A star is born » (Bradley Cooper en 2018), c’est Lady Gaga qui tient le rôle de Patricia Reggiani, celle qui désormais en prison n’est plus connue que comme la veuve noire du clan Gucci, pour avoir possiblement précipité ladite famille dans le gouffre en raison de son influence néfaste sur le trop tendre Mauricio Gucci qu’elle avait « déniaisé » alors qu’il était encore étudiant avocat. Le scénario reprend cette thèse qui permet à la formidable Lady Gaga de livrer une prestation époustouflante en virago prise de la folie des grandeurs et prête à tout pour se retrouver à la tête du groupe une fois la bague au doigt obtenue. La jeune chanteuse expérimentée devenue actrice qui effectue une mue des plus intéressantes est de quasiment tous les plans, livrant une interprétation à mi-chemin entre le jeu enfiévré d’une Anna Magnani et celui tout aussi volcanique mais davantage sensuel d’une Liz Taylor à laquelle son époux dans le film la compare fort à propos. Son manque d’instruction et de rang qui la conduit à être un peu dédaignée voire parfois méprisée par les membres actifs de la famille n’empêche pas l’obstinée Patricia de comprendre parfaitement la psychologie de chacun des personnages importants qu’elle saura tour à tour séduire, corrompre puis monter les uns contre les autres. La réalité vraie n’a sans doute pas été celle-là, mais Ridley Scott profite habilement des entorses insérées dans le roman et le scénario pour plonger le spectateur dans une intrigue captivante mais aussi acerbe et souvent moqueuse qui décrit parfaitement les mœurs d’un milieu où l’argent ne compte plus jusqu’à ce qu’une génération moins brillante que les précédentes finisse par oublier qu’il faut tout de même alimenter la machine. Processus connu qui a détruit petit à petit le capitalisme familial tout au long du XXème siècle mais qui aura été particulièrement rapide et violent concernant la famille Gucci. Autour d’une Lady Gaga en apesanteur, s’ébattent un Al Pacino toujours aussi charismatique, un Adam Driver ambigu à souhait, devenu l’homme qui monte à Hollywood, un Jeremy Irons efficace comme à son habitude, une Salma Hayek surprenante, un Jared Leto comme toujours adepte d'un transformisme outrancier et enfin un Jack Huston, petit-fils du grand John, onctueux au possible dans le rôle du conseiller de l’ombre tirant les ficelles. Le tout ceint d'une esthétique comme toujours somptueuse avec Ridley Scott qui travaille encore une fois avec le chef opérateur Dariusz Wolski qui ne le quitte plus depuis « Prometheus » (2012). La musique de Harry Gregson-Williams mariant avec efficacité airs d’opéra et musique disco donne à chacune des scènes la tonalité qui lui convient. Le réalisateur n’a certainement plus la force créatrice ni la fulgurance visuelle de ses meilleures années ce qui l’amène à traiter de manière plus conventionnelle des sujets peut-être moins ambitieux mais son savoir-faire incomparable intacte, façonné par l'expérience, fait de « House of Gucci » un film captivant à défaut d’être destiné à rester durablement inscrit dans les mémoires.
    Redzing
    Redzing

    1 157 abonnés 4 499 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 novembre 2021
    "House of Gucci" ne revient pas sur l'histoire de la marque de mode, mais sur l'implosion de la famille éponyme entre les années 70 et 90. Tout commence par le mariage entre Maurizio Gucci, le fils qui veut exister par lui-même, et Patricia, fille d'un modeste transporteur. Car celle-ci a d'autres ambitions, et rêve que son mari prenne les rennes d'une famille décadente ! Un sujet en or pour Ridley Scott, grand misanthrope depuis plusieurs années. Malgré ses similitudes étonnantes avec le mètre-étalon du drame familial (à savoir "The Godfather" et sa suite), "House of Gucci" se veut surtout comme une satire. Et à ce niveau, Scott fait assez fort, montrant cette bande d'andouilles prétentieux et déconnectés de la réalité, qui s'envoient des coups bas pour contrôler le business familial. Ce qui ne pourra conduire qu'à leur auto-destruction. On appréciera la reconstitution clinquante de l'image que l'on peut se faire d'une élite italienne de la mode des années 70/80, tubes pop de l'époque et photographie soignée à l'appui. Sans compter la "veuve noire" Patricia Reggiani, incarnée par une Lady Gaga très en forme en femme à l'ambition démesurée, prête à détruire une famille pour réaliser ses rêves. Pour les autres acteurs, c'est du tout bon. Adam Driver est excellent en jeune homme introverti, qui deviendra malgré lui le leader peu adroit de la marque, sorte de Michael Corleone en moins doué et décadent. On apprécie de revoir Jeremy Irons dans un rôle à la fois poussiéreux et classieux, loin du cachetonnage auquel l'acteur nous avait habitué ces dernières années. Al Pacino convient très bien à ce rôle d'oncle m'as-tu-vu, du genre vieux combinard superficiel. Et enfin, celui qui fera sans doute parler le plus : Jared Leto. A peine reconnaissable sous son épais maquillage, l'acteur en fait des caisses en cousin embarrassant et profondément incompétent. Une prestation qui est parfois gênante (mais n'était-ce pas mal l'objectif ?), mais souvent amusante, et qui tranche avec le sérieux relatif d'autres personnages. Relatif car tout le monde joue avec un très fort accent italien presque parodique, mais ça passe car on est dans une satire ! Cette étrange jeu de Leto illustre les défauts du film. Un ton qui oscille entre la comédie franche et le drame à peu près sérieux. Des ellipses ou des éléments amenés par le scénario mais peu utilisés. Un manque de souffle dramatique sur certains aspects. "House of Gucci" n'en reste pas moins un film amusant et bien emballé.
    Christoblog
    Christoblog

    837 abonnés 1 685 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 mars 2022
    Assez mal accueilli à sa sortie, House of Gucci est très intéressant pour qui ne connait pas l'histoire de Maurizio Gucci, ce qui était mon cas.

    Ridley Scott nous conte d'une façon très professionnelle ces mésaventures familiales, qui n'ont rien à envier en férocité à celles de la famille Roy dans Succession.

    La première partie du film est véritablement captivante. Lady Gaga révèle un potentiel d'actrice insoupçonné, Adam Driver est incroyablement juste et séduisant, Jared Leto compose un personnage unique avec classe, Al Pacino n'en fait pas trop et Jeremy Irons est glaçant. La qualité du casting est d'un niveau rarement atteint.

    La direction artistique est parfaite et la mise en scène redoutablement efficace. A noter que le sujet du film n'est pas du tout la mode, ce qui a été pour moi une vraie surprise. C'est à peine si on voit dans le dernier tiers du film quelques images d'un défilé de Tom Ford.

    Le film s'assombrit doucement alors que les années passent, et le récit se délite un petit peu dans la deuxième partie. Le rythme semble s'amollir et notre intérêt s'émousse, peut-être parce que le personnage joué par Lady Gaga devient secondaire. Les tensions dramatiques paroxystiques qui se développent alors manquent d'incarnation, et les 2h37 du film se font par moment lourdement sentir.

    L'ensemble constitue toutefois un morceau de choix, qu'on pourra apprécier de différentes façons, suivant qu'on soit plutôt sensible à la munificence des décors, ou à la maestria des acteurs et actrices.
    Cinememories
    Cinememories

    489 abonnés 1 466 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 novembre 2021
    La maison Gucci est un empire, fondé sur la base d’une toile en cuir de luxe et il y a de la place pour en conter son prestige, son héritage et sa désillusion. Ridley Scott nous ramène ainsi en Italie, comme dans une sorte de prolongement de son « Tout l’argent du monde ». Le Britannique, à ce stade n’a plus rien à prouver, il a atteint les sommets dans la science-fiction, tout comme dans le péplum. Mais ce qui fascine toujours autant chez ce cinéaste, c’est qu’il ne se limite jamais à l’horizon le plus proche, ni le plus limpide. Le récent « Dernier Duel » en est la preuve, mais qui confirmera également à moitié que son génie commence à tourner en rond, sinon à s’éteindre. Quand il ne sait plus sublimer part la mise en scène, il feint de répondre avec une astuce narrative. Ici, c’est la même chose. En échange, il troque la richesse de son récit avec une performance de comédiens, qui oscille entre le jour et la nuit.

    L’adaptation de « la saga Gucci » de Sara Gay Forden emprunte des routes classiques, mais qui étonneront quelques fois, lorsque l’on découvre la piètre fierté de la célèbre enseigne de mode. Le tout est de savoir comment explorer l’ambiguïté entre le conservatisme des parents, où Jeremy Irons apparaît trop peu et Al Pacino s’embourbe dans un premier degré de bouffonnerie. Loin du schéma de la mafia, mais cousine par ses méandres et sa nonchalance. C’est une famille qui vit par l’esprit d’entreprise, autrement dit, par le pouvoir, le prestige et donc l’argent. Cette fortune, nous la découvrons, peu à peu dilapidée entre les mains de ses héritiers, qui s’entredévorent. Adam Driver rempile pour restaurer la pudeur et sophistication de Maurizio Gucci, tandis que Lady Gaga manque de convaincre par son accent italien à en décrédibiliser sa Patrizia Reggiani. Ces deux formidables comédiens ne font toutefois pas la paire. Lorsqu’il s’agit d’introduire ce « parfait » amour, cela passe rarement par une complicité électrisante et subtile.

    Sans doute, est-ce voulu ? Sans doute, est-ce le point de vue du réalisateur que de se placer entre ces deux personnages qui se vampirise mutuellement ? Hélas, cette approche a ses limites. Le jeu d’escroquerie virevolte d’un bout à l’autre de l’intrigue, imposant un rythme délicat aux protagonistes, qui d’une scène à l’autre aura perdu toutes ses valeurs qui les caractérisaient. La chute après l’ascension est inéluctable, mais change trop souvent de main, ou de plan de caméra, pour que l’on puisse suivre avec cohérence ce drame familial, dans un emballage très explicatif. Rares sont les moments qui nous transportent, sans même que l’on évoque l’effet soporifique de l’œuvre. Un cabotinage après l’autre, en passant par un Jared Leto qui sèche dans l’excès et le ridicule, la maison Gucci tente de préserver ses biens et ses droits, mais tout ce qui en résulte passe dans le hachoir d’un Scott, indéniablement diminué.

    Plus question d’invoquer les ténèbres, pour en extirper de l’effroi ou une bonne dose de révolte, comme les apprécie dans « Thelma et Louise ». Il n’y a ni duo, ni passion qui se révèle à la hauteur, lorsqu’on revisite « House of Gucci » après le générique. Amour, trahison et vengeance ornent chaque chapitre du récit, qui aurait préféré s’attarder sur la perdition d’un nom de famille, que l’on aime, que l’on rejette, mais que l’on garde au chaud dans le sang ou bien dans une vilaine pensée, projetant de mettre le monde à genou. Cette tragédie shakespearienne aura du mal à trouver l’issue le plus glamour, ou à défaut le plus solennel. Au lieu de cela, c’est une balade humaine tout à fait banale, frustrante et oubliable.
    ferdinand75
    ferdinand75

    567 abonnés 3 930 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 décembre 2021
    Une mise en scène brillante , avec une superbe reconstitution des 70's , mais beaucoup trop de longueurs. Le film mériterai 45 mn de moins . De plus , on s'attarde sur beaucoup de détails mais en même on oublie de donner des réponses sur des points très importants, que l'on évacue ou qui disparaissent. Du coup il y a une impression de manque et beaucoup d'interrogations restent en suspend. On se perd aussi dans la psychologie des personnages , à vouloir trop les rendre complexe , on ne comprend plus rien de leur motivation : stupide, benêt , arriviste, simplet, ambitieuses...? Lady Gaga est formidable et confirme qu'elle est un très grande actrice.
    moket
    moket

    544 abonnés 4 352 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 juin 2022
    Une grande saga familiale, mue par la jalousie, les coups bas et les trahisons. Un casting de choix et une reconstitution soignée : le style, les excès, la musique, les coupes de cheveux... un voyage dans le monde du luxe des années 80.
    PLR
    PLR

    472 abonnés 1 573 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 novembre 2021
    Un film qui pêche encore par sa longueur excessive (2h37mn), laquelle lui fait beaucoup de tort ! Le risque est grand pour le spectateur lambda de décrocher, sauf à vouer un intérêt particulier pour la marque Gucci, son histoire, ses comptes et mécomptes et… Lady Gaga comme locomotive dans la distribution des rôles. Un biopic porte normalement sur la vie d’un personnage, en l’occurrence ici Maurizio Gucci qui était davantage homme d’affaires que créateur et n’était que l’héritier du nom de ses aïeux. Le film commence quelques instants avant que ce Gucci là ne s’effondre sous les balles d’un tueur à gages et se termine sur la même scène. Entre les deux, l’histoire de la maison Gucci (d’où le titre !). Ce n’est plus vraiment un biopic.
    lionelb30
    lionelb30

    448 abonnés 2 610 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 novembre 2021
    Les acteurs sont plutôt pas mal , sujet pas inintéressant mais il manque ce petit quelque chose pour que le film soit intéressant dans la durée , en partie justement a sa durée trop longue.
    Hotinhere
    Hotinhere

    578 abonnés 5 024 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 juillet 2022
    Ridley Scott signe une saga familiale tragi-comique réjouissante et captivante malgré quelques lourdeurs, racontée façon commedia dell’arte, et portée par un casting prestigieux, avec notamment un excellent Adam Driver. 3,75
    Alasky
    Alasky

    362 abonnés 3 485 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 juin 2022
    Le casting est intéressant et les décors sont réussis. Mais que ce film est long, interminable, les trois quarts du film sont insipides et plutôt mornes, je me suis ennuyée fermement.
    ClashDoherty
    ClashDoherty

    235 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 décembre 2022
    C'est en effet un peu long (plusieurs autres critiques pointent ce détail) avec plus de 150 minutes, mais c'est une belle réussite malgré une ou deux longueurs. Acteurs remarquables, à commencer par celle dont je ne peux écouter la moindre chanson ("Shallow" exceptée) mais en même temps, son style de musique n'est pas du tout le mien : Lady Gaga. Son deuxième film, et son premier dans lequel la musique n'a aucune importance, vu que "A Star Is Born" est un film musical.
    Elle est exceptionnelle ici, et mention ultra spéciale, aussi, à Adam Driver (qui, en cette même année 2021, a joué un des trois rôles principaux de l'autre film de Ridley Scott sorti à peu près en même temps que "House Of Gucci" : "Le Dernier Duel" ; la sortie rapprochée des deux films a nui à leur promotion, d'ailleurs) et au méconnaissable Jared Leto.
    Vraiment un excellent film, pas besoin d'aimer la mode (ce n'est personnellement pas du tout mon cas) pour l'apprécier.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top