Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
Le Parisien
par Renaud Baronian
À la fois saga familiale, thriller, romance et récit d’un fait divers sanglant qui a secoué l’Italie, « House of Gucci », dont les 2h37 passent presque trop vite, est de ces films qui donnent l’impression, à chaque plan, d’assister à quelque chose de gigantesque.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
CNews
par Chloé Ronchin
Passion, jalousie, trahison, et vengeance sont au menu de ce long-métrage divertissant. «House of Gucci» c'est aussi un défilé de tenues grandioses, qui participent pleinement à l’intrigue et à l’authenticité de l’atmosphère visuelle.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Avec une rigueur extrême dans sa mise en scène, Ridley Scott ausculte la chute de la maison Gucci, à travers deux prismes : la famille et le couple. Il observe avec acuité comment ces deux institutions se délitent, déchirées par des mensonges et des trahisons.
LCI
par Delphine De Freitas
Ridley Scott signe une fresque familiale où la démesure n’a pas de limites. Ses acteurs eux-mêmes s’affranchissent de toutes barrières, offrant une incarnation parfois excessive mais jamais décevante à l’image bling bling qui accompagne la marque de luxe.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Lady Gaga domine un casting masculin de luxe : Adam Driver, Al Pacino, Jérémy Irons, Jared Leto. Lady Gaga en lady Gucci, veuve noire dont Ridley Scott montre à la fois la sensualité, la perfidie et l’ambition, crée irrésistiblement un personnage de femme monstre, insatiable dans sa rage de posséder.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Scott reproduit un concentré d’élégance. Costumes, coiffures, rien n’est laissé au hasard. Lady Gaga joue la demoiselle perdue d’avidité avec une jubilation communicative. Elle a du bagout.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Une tragédie en trois actes captivante et édifiante, qui brille par son casting trois étoiles et ses numéros d'acteurs (Jared Leto phénoménal). De quoi oublier quelques longueurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Ouest France
par Sylvestre Picard
House of Gucci ne manque pas de traits d'esprit passionnants sur l'art contrefaits par les escrocs de la mode.
Public
par Sarah Lévy-Laithier
Lady Gaga est formidable dans la peau de la veuve noire la plus célèbre d'Italie.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
À défaut d’une mise en scène décapante, le film présente un maelstrom de décors somptueux, de la cathédrale de Milan au lac de Côme en passant par les demeures luxueuses de la famille Gucci à Rome, en Suisse et à New York.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Allan Blanvillain
Ni produit de luxe ni contrefaçon, House of Gucci s'apprécie pour ce qu'il est, mais perd à ne pas être autre chose. Trop sérieux pour être drôle, trop drôle pour être sérieux, le film jongle entre les deux sans parvenir à trouver l'équilibre, à l'image d'un casting exceptionnel jouant sur des catégories différentes.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Mais c'est une chose d'inventer Alien, machine pulsionnelle et répulsive qui nous enchante, c'en est est une autre de dépeindre en l'humain sa propre monstruosité. Ressusciterait-elle les Borgia que la famille Gucci méritait sans doute mieux que ce tonitruant théâtre de marionnettes.
Les Echos
par Adrien Gombeaud
A travers ce récit, on pouvait rêver d'une fresque shakespearienne sur la déchéance d'une époque, l'agonie d'une vieille Europe et le coup d'Etat des multinationales sur les empires familiaux. « House of Gucci » ne sera pas tout à fait ce film-là, juste une réjouissante partie de bowling dans un monde de luxe et de quilles.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Ridley Scott, de retour moins de deux mois après Le Dernier duel, s’intéresse ici moins à la chair de ses personnages qu’au portrait d’une époque. Étonnant mais inabouti.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Casting de choc pour une saga luxueuse en mode drame à l’italienne dans House of Gucci, de Ridley Scott. Plaisant à défaut de marquant.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télérama
par Jacques Morice
Sans complaisance ni lyrisme, Ridley Scott conte les vicissitudes de la très vulgaire famille Gucci, interprétée par Lady Gaga, Al Pacino, Jeremy Irons et Adam Driver. La mise en scène manque parfois de rythme, mais la farce s’avère cinglante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Caroline Vié
Seules les performances complémentaires d’Adam Driver et Lady Gaga sortent le spectateur d’un mélange d’agacement et de torpeur.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Isabelle Danel
Lady Gaga surnage, mais on s’ennuie ferme. Opéra bouffe ou Shakespeare vs Atrides ?
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
La lourdeur grotesque du film s’avère alors presque douce dans sa façon d’embrasser une novlangue pubarde et contractuelle qu’il ne comprend que trop, son anémie cinématographique épousant celle du monde qu’il filme (…).
Critikat.com
par Josué Morel
Programme basique, par endroits vaguement réjouissant – une certaine truculence des acteurs, Lady Gaga en tête, donne son cachet au film –, mais dont la part grotesque est étouffée par l’académisme routinier de Scott.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Antoine Desrues
S'il est interminable, House of Gucci montre surtout que Ridley Scott a définitivement lâché l'affaire, autant en termes de mise en scène que de direction d'acteurs. Une sacrée déception, pour un projet dont on perçoit pourtant le potentiel inassouvi.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Les décors, les costumes, les acteurs sont beaux, dans un film glacé qui manque de relief.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Les Inrockuptibles
par Murielle Joudet
House of Gucci évoque davantage les rebondissements à répétition d’une série comme Dallas qu’une grande forme opératique qui métaphoriserait un d’âge d’or du capitalisme.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Lelo Jimmy Batista
On attendait du souffle, de la flamboyance, on n’en a que le vernis. On voulait de l’excès, de la démesure, on a un gros machin balourd qui ne sort jamais des clous [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Michel Ciment
Vingt ans de décadence et de luttes où se disputent père et fils, neveux et oncles, cousins germains, sur deux heures trente-sept languissantes sans que Ridley Scott parvienne même à peindre l’univers de la mode qui a su inspirer nombre de metteurs en scène.
Première
par Sylvestre Picard
Les cabots maquillés aux accents bizarres qui peuplent le nouveau Ridley Scott étouffent ses fascinantes saillies sur l’art et ses escrocs.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
par François Forestier
Pas un film qu’on regarde, mais qu’on subit.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Sud Ouest
par Sophie Avon
La matière est copieuse mais le film sans inspiration.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Le Parisien
À la fois saga familiale, thriller, romance et récit d’un fait divers sanglant qui a secoué l’Italie, « House of Gucci », dont les 2h37 passent presque trop vite, est de ces films qui donnent l’impression, à chaque plan, d’assister à quelque chose de gigantesque.
CNews
Passion, jalousie, trahison, et vengeance sont au menu de ce long-métrage divertissant. «House of Gucci» c'est aussi un défilé de tenues grandioses, qui participent pleinement à l’intrigue et à l’authenticité de l’atmosphère visuelle.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Avec une rigueur extrême dans sa mise en scène, Ridley Scott ausculte la chute de la maison Gucci, à travers deux prismes : la famille et le couple. Il observe avec acuité comment ces deux institutions se délitent, déchirées par des mensonges et des trahisons.
LCI
Ridley Scott signe une fresque familiale où la démesure n’a pas de limites. Ses acteurs eux-mêmes s’affranchissent de toutes barrières, offrant une incarnation parfois excessive mais jamais décevante à l’image bling bling qui accompagne la marque de luxe.
Le Dauphiné Libéré
Lady Gaga domine un casting masculin de luxe : Adam Driver, Al Pacino, Jérémy Irons, Jared Leto. Lady Gaga en lady Gucci, veuve noire dont Ridley Scott montre à la fois la sensualité, la perfidie et l’ambition, crée irrésistiblement un personnage de femme monstre, insatiable dans sa rage de posséder.
Le Figaro
Scott reproduit un concentré d’élégance. Costumes, coiffures, rien n’est laissé au hasard. Lady Gaga joue la demoiselle perdue d’avidité avec une jubilation communicative. Elle a du bagout.
Le Journal du Dimanche
Une tragédie en trois actes captivante et édifiante, qui brille par son casting trois étoiles et ses numéros d'acteurs (Jared Leto phénoménal). De quoi oublier quelques longueurs.
Ouest France
House of Gucci ne manque pas de traits d'esprit passionnants sur l'art contrefaits par les escrocs de la mode.
Public
Lady Gaga est formidable dans la peau de la veuve noire la plus célèbre d'Italie.
La Croix
À défaut d’une mise en scène décapante, le film présente un maelstrom de décors somptueux, de la cathédrale de Milan au lac de Côme en passant par les demeures luxueuses de la famille Gucci à Rome, en Suisse et à New York.
Le Journal du Dimanche
Ni produit de luxe ni contrefaçon, House of Gucci s'apprécie pour ce qu'il est, mais perd à ne pas être autre chose. Trop sérieux pour être drôle, trop drôle pour être sérieux, le film jongle entre les deux sans parvenir à trouver l'équilibre, à l'image d'un casting exceptionnel jouant sur des catégories différentes.
Le Monde
Mais c'est une chose d'inventer Alien, machine pulsionnelle et répulsive qui nous enchante, c'en est est une autre de dépeindre en l'humain sa propre monstruosité. Ressusciterait-elle les Borgia que la famille Gucci méritait sans doute mieux que ce tonitruant théâtre de marionnettes.
Les Echos
A travers ce récit, on pouvait rêver d'une fresque shakespearienne sur la déchéance d'une époque, l'agonie d'une vieille Europe et le coup d'Etat des multinationales sur les empires familiaux. « House of Gucci » ne sera pas tout à fait ce film-là, juste une réjouissante partie de bowling dans un monde de luxe et de quilles.
Les Fiches du Cinéma
Ridley Scott, de retour moins de deux mois après Le Dernier duel, s’intéresse ici moins à la chair de ses personnages qu’au portrait d’une époque. Étonnant mais inabouti.
Rolling Stone
Casting de choc pour une saga luxueuse en mode drame à l’italienne dans House of Gucci, de Ridley Scott. Plaisant à défaut de marquant.
Télérama
Sans complaisance ni lyrisme, Ridley Scott conte les vicissitudes de la très vulgaire famille Gucci, interprétée par Lady Gaga, Al Pacino, Jeremy Irons et Adam Driver. La mise en scène manque parfois de rythme, mais la farce s’avère cinglante.
20 Minutes
Seules les performances complémentaires d’Adam Driver et Lady Gaga sortent le spectateur d’un mélange d’agacement et de torpeur.
Bande à part
Lady Gaga surnage, mais on s’ennuie ferme. Opéra bouffe ou Shakespeare vs Atrides ?
Cahiers du Cinéma
La lourdeur grotesque du film s’avère alors presque douce dans sa façon d’embrasser une novlangue pubarde et contractuelle qu’il ne comprend que trop, son anémie cinématographique épousant celle du monde qu’il filme (…).
Critikat.com
Programme basique, par endroits vaguement réjouissant – une certaine truculence des acteurs, Lady Gaga en tête, donne son cachet au film –, mais dont la part grotesque est étouffée par l’académisme routinier de Scott.
Ecran Large
S'il est interminable, House of Gucci montre surtout que Ridley Scott a définitivement lâché l'affaire, autant en termes de mise en scène que de direction d'acteurs. Une sacrée déception, pour un projet dont on perçoit pourtant le potentiel inassouvi.
Franceinfo Culture
Les décors, les costumes, les acteurs sont beaux, dans un film glacé qui manque de relief.
Les Inrockuptibles
House of Gucci évoque davantage les rebondissements à répétition d’une série comme Dallas qu’une grande forme opératique qui métaphoriserait un d’âge d’or du capitalisme.
Libération
On attendait du souffle, de la flamboyance, on n’en a que le vernis. On voulait de l’excès, de la démesure, on a un gros machin balourd qui ne sort jamais des clous [...].
Positif
Vingt ans de décadence et de luttes où se disputent père et fils, neveux et oncles, cousins germains, sur deux heures trente-sept languissantes sans que Ridley Scott parvienne même à peindre l’univers de la mode qui a su inspirer nombre de metteurs en scène.
Première
Les cabots maquillés aux accents bizarres qui peuplent le nouveau Ridley Scott étouffent ses fascinantes saillies sur l’art et ses escrocs.
L'Obs
Pas un film qu’on regarde, mais qu’on subit.
Sud Ouest
La matière est copieuse mais le film sans inspiration.