Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Le Parisien
par Renaud Baronian
Un film très puissant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Voici
par La Rédaction
Dur mais captivant, notamment grâce à des comédiens formidables, Tahar Rahim en tête.
20 Minutes
par Caroline Vié
Le comédien trouve l’un de ses plus beaux rôles en se glissant dans la peau de Mohamedou Ould Slahi, détenu mauritanien incarcéré pendant quatorze ans à Guantanamo sans jugement et ni inculpation parce qu’il était soupçonné d’avoir commandité les attentats du onze septembre 2001.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Isabelle Danel
Histoire vraie, film dossier qui fournit révélations et palpitations, Désigné coupable est aussi un film qui croit au pouvoir du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par Charlotte Marsal
Tahar Rahim signe une performance magistrale face à une excellente Jodie Foster qui joue son avocate.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
La performance de Tahar Rahim est héroïque.
Elle
par La Rédaction
Une œuvre poignante, empreinte d’une humanité extraordinaire, qui ne fait que confirmer le talent des deux acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Obs
par François Forestier
Le plus étonnant, c’est l’humanité préservée de Slahi, superbement rendue par Tahar Rahim, face à Jodie Foster. Un film dont on sort révolté.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Ce film revient efficacement sur la trajectoire de Mohamedou Ould Slahi, incarcéré pendant quatorze ans sans charge dans la prison militaire américaine du Cuba.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Tahar Rahim incarne Mohamedou Ould Slahi dans ce film coup de poing, qui soulève le cœur, devant tant d’indignité dégueulasse, face aux sévices et mauvais traitements qui ont été infligés au Mauritanien : tortures par simulation de noyade, étourdissement par la musique à plein volume, privation de sommeil, humiliations…
Le Figaro
par La Rédaction
L'histoire vraie de Mohamedou Ould Slahi (Tahar Rahim) capturé par le gouvernement américain et détenu des années sans jugement ni inculpation. Jodie Foster interprète son avocate, habitée par sa foi en la justice. Le face-à-face entre les deux comédiens est captivant. Leur intensité et leur exigence d'authenticité sont de tous les plans.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Inspiré de l’histoire vraie de Mohamedou Ould Slahi, ce thriller juridique et politique est un plaidoyer implacable contre les outrances américaines à Guantanamo.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Ce solide film-dossier restera comme un témoignage du début du XXIe siècle. D'une époque où l'on avait aménagé un bout d'île destiné à échapper aux droits humains et desservi par un aéroport où l'on vendait des casquettes et des mugs en souvenir de l'enfer sur terre.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
Tahar Rahim incarne l’un de ses plus grands rôles de sa carrière dans l’excellent « Désigné coupable ».
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Gaël Golhen
Tahar Rahim trouve son meilleur rôle depuis Un prophète.
Positif
par Adrien Gombeaud
Metteur en scène du "Dernier Roi d’Écosse", Kevin Macdonald a surtout derrière lui une longue carrière de documentariste. Moins à l’aise dans les instants sophistiqués et les scènes de torture où les images se convulsent, la précision de son regard transforme son film en un étonnant voyage à Guantánamo.
Première
par Gael Golhen
Jodie Foster excelle en idéaliste qui cache ses sentiments sous sa rigidité professionnelle. Mais c’est Tahar Rahim qui impressionne. D’une puissance sidérante, tour à tour violent ou rêveur, victime et moteur du récit, il trouve son meilleur rôle depuis Un Prophète.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Respecter l’humanité qui imprime les pages du livre, lui rester fidèle, coulait donc de source, et c’est précisément ce qui conduit Désigné coupable à sortir du lot.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Impressionnant dans ce rôle, Tahar Rahim confirme qu'il est un très grand acteur.
Télé Loisirs
par Gwenola Trouillard
Un puissant brûlot politique et humain.
Télérama
par Marie Sauvion
Un réquisitoire efficace où Jodie Foster et Tahar Rahim brillent.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Closer
par La Rédaction
Un manifeste poignant pour les libertés fondamentales.
Les Fiches du Cinéma
par David Speranski
Avec “Désigné coupable”, un drame efficace, Kevin Macdonald (“Le Dernier roi d’Écosse”) renoue avec les thrillers politiques qui ont fait sa réputation, en traitant le cas d’un Mauritanien détenu dans les camps de Guantánamo sans inculpation ni jugement.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le récit est ainsi programmé comme du papier à musique, demeurant comme à la remorque de l'extraordinaire réalité dont il veut témoigner.
Cahiers du Cinéma
par Yal Sadat
Rien ne manque à l’appel dans ce récit du calvaire de Mohamedou Ould Slahi (…) : reconstitution des faits (sans crainte d’avoir la main lourde sur les flash-back), contre-enquête des avocats et d’un militaire au grand cœur (pour cocher la case « lanceur d’alerte »), passage à la barre pour dénouer avec éloquence ce foutu sac de nœuds.
Le Parisien
Un film très puissant.
Voici
Dur mais captivant, notamment grâce à des comédiens formidables, Tahar Rahim en tête.
20 Minutes
Le comédien trouve l’un de ses plus beaux rôles en se glissant dans la peau de Mohamedou Ould Slahi, détenu mauritanien incarcéré pendant quatorze ans à Guantanamo sans jugement et ni inculpation parce qu’il était soupçonné d’avoir commandité les attentats du onze septembre 2001.
Bande à part
Histoire vraie, film dossier qui fournit révélations et palpitations, Désigné coupable est aussi un film qui croit au pouvoir du cinéma.
CNews
Tahar Rahim signe une performance magistrale face à une excellente Jodie Foster qui joue son avocate.
Dernières Nouvelles d'Alsace
La performance de Tahar Rahim est héroïque.
Elle
Une œuvre poignante, empreinte d’une humanité extraordinaire, qui ne fait que confirmer le talent des deux acteurs.
L'Obs
Le plus étonnant, c’est l’humanité préservée de Slahi, superbement rendue par Tahar Rahim, face à Jodie Foster. Un film dont on sort révolté.
La Croix
Ce film revient efficacement sur la trajectoire de Mohamedou Ould Slahi, incarcéré pendant quatorze ans sans charge dans la prison militaire américaine du Cuba.
Le Dauphiné Libéré
Tahar Rahim incarne Mohamedou Ould Slahi dans ce film coup de poing, qui soulève le cœur, devant tant d’indignité dégueulasse, face aux sévices et mauvais traitements qui ont été infligés au Mauritanien : tortures par simulation de noyade, étourdissement par la musique à plein volume, privation de sommeil, humiliations…
Le Figaro
L'histoire vraie de Mohamedou Ould Slahi (Tahar Rahim) capturé par le gouvernement américain et détenu des années sans jugement ni inculpation. Jodie Foster interprète son avocate, habitée par sa foi en la justice. Le face-à-face entre les deux comédiens est captivant. Leur intensité et leur exigence d'authenticité sont de tous les plans.
Le Journal du Dimanche
Inspiré de l’histoire vraie de Mohamedou Ould Slahi, ce thriller juridique et politique est un plaidoyer implacable contre les outrances américaines à Guantanamo.
Les Echos
Ce solide film-dossier restera comme un témoignage du début du XXIe siècle. D'une époque où l'on avait aménagé un bout d'île destiné à échapper aux droits humains et desservi par un aéroport où l'on vendait des casquettes et des mugs en souvenir de l'enfer sur terre.
Marianne
Tahar Rahim incarne l’un de ses plus grands rôles de sa carrière dans l’excellent « Désigné coupable ».
Ouest France
Tahar Rahim trouve son meilleur rôle depuis Un prophète.
Positif
Metteur en scène du "Dernier Roi d’Écosse", Kevin Macdonald a surtout derrière lui une longue carrière de documentariste. Moins à l’aise dans les instants sophistiqués et les scènes de torture où les images se convulsent, la précision de son regard transforme son film en un étonnant voyage à Guantánamo.
Première
Jodie Foster excelle en idéaliste qui cache ses sentiments sous sa rigidité professionnelle. Mais c’est Tahar Rahim qui impressionne. D’une puissance sidérante, tour à tour violent ou rêveur, victime et moteur du récit, il trouve son meilleur rôle depuis Un Prophète.
Rolling Stone
Respecter l’humanité qui imprime les pages du livre, lui rester fidèle, coulait donc de source, et c’est précisément ce qui conduit Désigné coupable à sortir du lot.
Télé 7 Jours
Impressionnant dans ce rôle, Tahar Rahim confirme qu'il est un très grand acteur.
Télé Loisirs
Un puissant brûlot politique et humain.
Télérama
Un réquisitoire efficace où Jodie Foster et Tahar Rahim brillent.
Closer
Un manifeste poignant pour les libertés fondamentales.
Les Fiches du Cinéma
Avec “Désigné coupable”, un drame efficace, Kevin Macdonald (“Le Dernier roi d’Écosse”) renoue avec les thrillers politiques qui ont fait sa réputation, en traitant le cas d’un Mauritanien détenu dans les camps de Guantánamo sans inculpation ni jugement.
Le Monde
Le récit est ainsi programmé comme du papier à musique, demeurant comme à la remorque de l'extraordinaire réalité dont il veut témoigner.
Cahiers du Cinéma
Rien ne manque à l’appel dans ce récit du calvaire de Mohamedou Ould Slahi (…) : reconstitution des faits (sans crainte d’avoir la main lourde sur les flash-back), contre-enquête des avocats et d’un militaire au grand cœur (pour cocher la case « lanceur d’alerte »), passage à la barre pour dénouer avec éloquence ce foutu sac de nœuds.