Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
L’enjeu est avant tout de décrire une situation romantique, paradoxale et plausible : deux prostituées hétéros qui deviennent lesbiennes. Une manière de reléguer le patriarcat à un statut presque fonctionnel (on montre sans fard la pauvreté et la réalité des fantasmes masculins), de mettre en avant la féminité actuelle en envisageant un féminisme actif, ancré dans le concret, avec un soupçon de provocation.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Culturopoing.com
par Danielle Lambert
Henrika Kull réussit la prouesse de faire émerger un désir amoureux autre, jailli comme l’eau fraîche au milieu d’un monde de corps-marchandises.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Transfuge
par Séverine Danflous
Le sujet est rebattu et pourtant Seule la joie raconte quelque chose de neuf. Est-ce que cela tient à la mise en scène de la cinéaste Henrika Kull ? Au jeu lumineux des actrices ? À la crudité quasi documentaire des scènes de la vie quotidienne au bordel ? Peut-être est-ce un peu tout cela à la fois.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
À la fois chronique sociale sur l’univers allemand de la prostitution, et romance amoureuse entre deux femmes, Seule la joie est un hymne délicat à la féminité.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par François Forestier
La cinéaste Henrika Kull fait une critique en sourdine de l’exploitation sociale et met en avant un amour sans tabous. Malaise, certes, mais atmosphère prenante pour ce film étrange et attachant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Véronique Cauhapé
L’expérience, ses discussions prolongées avec les prostituées et leurs clients ont inspiré Seule la joie. Film troublant qui, en faisant éclore dans cet univers du sexe une rencontre amoureuse, élabore un récit à la fois cru et sensuel où le corps se tient au centre, omnipotent au point de rendre indivisibles sphères professionnelle et intime.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Camille Nevers
La routine laborieuse de la prostitution, est ce qu’il faut retenir de Seule la joie, ce pan documentaire, en tout cas très documenté et ça se voit. Mais pour l’idylle entre les femmes, le film se trouve vite empêché, car estompée, au déroulé conventionnel, soulignant chaque note biographique au gros marqueur.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Estelle Aubin
Les deux femmes se regardent d’abord, s’étreignent vite, et tombent en amour. Les cœurs et les corps se libèrent. Puis viennent les doutes, les incompréhensions, ou les égos mal placés. Et une mélancolie planante, pleine de tendresse, qui colle à merveille à la douce lenteur des plans et aux couleurs des images.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Seule la joie oublie que les personnages de fiction ont aussi le droit de se cogner la tête contre les murs du réel : cette histoire d’amour entre deux prostituées est policée jusqu’à l’aplanissement complet, et cache mal un léger mais tenace goût d’opportunisme.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Frédéric Strauss
Après des débuts prometteurs, cette romance inattendue se laisse rattraper par toutes les difficultés et les lourdeurs de la vie. Comme par les conventions du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
L’enjeu est avant tout de décrire une situation romantique, paradoxale et plausible : deux prostituées hétéros qui deviennent lesbiennes. Une manière de reléguer le patriarcat à un statut presque fonctionnel (on montre sans fard la pauvreté et la réalité des fantasmes masculins), de mettre en avant la féminité actuelle en envisageant un féminisme actif, ancré dans le concret, avec un soupçon de provocation.
Culturopoing.com
Henrika Kull réussit la prouesse de faire émerger un désir amoureux autre, jailli comme l’eau fraîche au milieu d’un monde de corps-marchandises.
Transfuge
Le sujet est rebattu et pourtant Seule la joie raconte quelque chose de neuf. Est-ce que cela tient à la mise en scène de la cinéaste Henrika Kull ? Au jeu lumineux des actrices ? À la crudité quasi documentaire des scènes de la vie quotidienne au bordel ? Peut-être est-ce un peu tout cela à la fois.
aVoir-aLire.com
À la fois chronique sociale sur l’univers allemand de la prostitution, et romance amoureuse entre deux femmes, Seule la joie est un hymne délicat à la féminité.
L'Obs
La cinéaste Henrika Kull fait une critique en sourdine de l’exploitation sociale et met en avant un amour sans tabous. Malaise, certes, mais atmosphère prenante pour ce film étrange et attachant.
Le Monde
L’expérience, ses discussions prolongées avec les prostituées et leurs clients ont inspiré Seule la joie. Film troublant qui, en faisant éclore dans cet univers du sexe une rencontre amoureuse, élabore un récit à la fois cru et sensuel où le corps se tient au centre, omnipotent au point de rendre indivisibles sphères professionnelle et intime.
Libération
La routine laborieuse de la prostitution, est ce qu’il faut retenir de Seule la joie, ce pan documentaire, en tout cas très documenté et ça se voit. Mais pour l’idylle entre les femmes, le film se trouve vite empêché, car estompée, au déroulé conventionnel, soulignant chaque note biographique au gros marqueur.
Première
Les deux femmes se regardent d’abord, s’étreignent vite, et tombent en amour. Les cœurs et les corps se libèrent. Puis viennent les doutes, les incompréhensions, ou les égos mal placés. Et une mélancolie planante, pleine de tendresse, qui colle à merveille à la douce lenteur des plans et aux couleurs des images.
Les Fiches du Cinéma
Seule la joie oublie que les personnages de fiction ont aussi le droit de se cogner la tête contre les murs du réel : cette histoire d’amour entre deux prostituées est policée jusqu’à l’aplanissement complet, et cache mal un léger mais tenace goût d’opportunisme.
Télérama
Après des débuts prometteurs, cette romance inattendue se laisse rattraper par toutes les difficultés et les lourdeurs de la vie. Comme par les conventions du cinéma.