Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
L'Ecran Fantastique
par Gilles Penso
Une nouvelle exploration d'un thème connu sur lequel Daniel Stamm parvient à poser un regard neuf en l'inscrivant dans un contexte réaliste très documenté.
Public
par Sarah-Lévy Laithier
Frissons, malaises, angoisses... Dès les premières images de La Proie du diable, la tension est insoutenable.
L'Obs
par François Forestier
Daniel Stamm, réalisateur allemand de séries (« Scream », « Them »), a saisi avec talent les codes du genre et s’en donne à cœur joie. Ames sensibles s’abstenir : la parano satanique est contagieuse.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par La Rédaction
Le réalisateur allemand Daniel Stamm fait tourner son histoire autour d’une femme, MeToo étant passé par là. Mais cette manœuvre fait long feu, l’actrice Jacqueline Byers, quasi inconnue se révélant particulièrement peu crédible. Heureusement, les scènes d’exorcisme s’avèrent correctement agencées, surtout la première, largement plus spectaculaire que le final.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Mad Movies
par Gilles Esposito
La Proie du diable est un film correct, mais qui peine à s'élever au-dessus du tout-venant.
Télérama
par Cécile Mury
Mais, en mêlant étroitement présence démoniaque et traumatismes divers (où le sujet possédé est surtout hanté par ses drames personnels), le récit prend une dimension humaine inattendue. Épouvante et thérapie se marient ainsi dans un thriller un peu plus... malin que d’habitude.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par J.-F. R.
Nouvelle variation sur les increvables conventions figées par le phénoménal triomphe planétaire de L’Exorciste, de William Friedkin, il y a maintenant presque cinquante ans, La Proie du diable contient un certain nombre de séquences attendues. Le film, toutefois, semble témoigner d’une tendance actuelle du fantastique cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
L'imaginaire catholique manipule le récit plutôt que l'inverse. Donc, en plus des effets de manche insupportables, il faut se fader des relents bigots bien nauséabonds. Personne ne mérite de s'infliger ça.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Ouest France
par Cédric Page
Un film d'horreur très académique.
Première
par Frédéric Foubert
La mise en place du film est séduisante et, le temps d’une première scène de désenvoûtement plutôt réussie (faisant un usage ingénieux de la chevelure d’une petite fille démoniaque), on croit qu’on va s’amuser un peu. Mais les péripéties qui suivent sont totalement expédiées, filmées sans entrain par des gens manifestement pressés de rentrer chez eux.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Ecran Fantastique
Une nouvelle exploration d'un thème connu sur lequel Daniel Stamm parvient à poser un regard neuf en l'inscrivant dans un contexte réaliste très documenté.
Public
Frissons, malaises, angoisses... Dès les premières images de La Proie du diable, la tension est insoutenable.
L'Obs
Daniel Stamm, réalisateur allemand de séries (« Scream », « Them »), a saisi avec talent les codes du genre et s’en donne à cœur joie. Ames sensibles s’abstenir : la parano satanique est contagieuse.
Le Parisien
Le réalisateur allemand Daniel Stamm fait tourner son histoire autour d’une femme, MeToo étant passé par là. Mais cette manœuvre fait long feu, l’actrice Jacqueline Byers, quasi inconnue se révélant particulièrement peu crédible. Heureusement, les scènes d’exorcisme s’avèrent correctement agencées, surtout la première, largement plus spectaculaire que le final.
Mad Movies
La Proie du diable est un film correct, mais qui peine à s'élever au-dessus du tout-venant.
Télérama
Mais, en mêlant étroitement présence démoniaque et traumatismes divers (où le sujet possédé est surtout hanté par ses drames personnels), le récit prend une dimension humaine inattendue. Épouvante et thérapie se marient ainsi dans un thriller un peu plus... malin que d’habitude.
Le Monde
Nouvelle variation sur les increvables conventions figées par le phénoménal triomphe planétaire de L’Exorciste, de William Friedkin, il y a maintenant presque cinquante ans, La Proie du diable contient un certain nombre de séquences attendues. Le film, toutefois, semble témoigner d’une tendance actuelle du fantastique cinématographique.
Ecran Large
L'imaginaire catholique manipule le récit plutôt que l'inverse. Donc, en plus des effets de manche insupportables, il faut se fader des relents bigots bien nauséabonds. Personne ne mérite de s'infliger ça.
Ouest France
Un film d'horreur très académique.
Première
La mise en place du film est séduisante et, le temps d’une première scène de désenvoûtement plutôt réussie (faisant un usage ingénieux de la chevelure d’une petite fille démoniaque), on croit qu’on va s’amuser un peu. Mais les péripéties qui suivent sont totalement expédiées, filmées sans entrain par des gens manifestement pressés de rentrer chez eux.