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Hammerstorm
71 abonnés
601 critiques
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3,5
Publiée le 2 mars 2023
Mayday c'est comme voir un action movie de la fin des 90s ou du début des années 2000. C'est sympa, le scénario est bien ficelé tout en restant simple avec de bonnes scènes de bastons et des acteurs chargés en testostérone. C'est triste de voir qu'en 2023, ce type de film est considéré "politiquement incorrect" voir "réactionnaire" alors que ce genre de film était la norme pendant des décennies. Même si le film ne révolutionne pas les codes, c'est toujours très plaisant de voir l'ami Gérard Butler dans ce genre de film. Un film d'action comme on les aime.
Film d'action de bonne qualité avec un Butler dans un autre registre façon commandant de bord expérimenté et ancien soldat de la Royal air Force tout de même! Le début du film est accrocheur malgré quelques effets spéciaux de piètres qualités. Puis sur l'île, le film se dégrade quelque peu imitant les films d'action des 80's style Norris mais en moins nul. Heureusemekt que le personnage du prisonnier rédempteur ajoute un peu d'épaisseur au final. Divertissant grâce à la prestance de G. Butler.
différent des films catastrophes d'avion dont on a l'habitude, on est embarqué et tenu en haleine tout le long, les scènes de fusillade sont très réalistes, franchement un bon film
Nous passons d'un film catastrophe aérienne à un film d'action sur une île très peu accueillante. Beaucoup trop d'invraisemblances pour le pilote et cinéphile que je suis mais nous nous laissons porter par cette aventure exotique avec plaisir.
Aaaah mon Gégé ! Qu'est-ce que je l'adore ce Gerard Butler ! Déjà dans la trilogie "La Chute" il était très fort, mais ici en pilote d'avion prêt à tout pour venir en aide à ses passagers, il est juste parfait ! Sinon Mayday est un excellent film d'action au nombreuses scènes de fusillades, et servi par de très bons acteurs. Le film idéal du dimanche soir.
Un chef d’œuvre! Un synopsis qui donne envie, un texte bien écrit, le film ne comporte pas d’influence « We are the World » comprenez LBT+, pas non plus de scène prno! Un film d’action à regarder en famille, attention quand mêmes aux plus jeunes (il y’a des scènes gores)
C'est un film sans prétention, qui se laisse regarder facilement. Le scénario n'est pas révolutionnaire mais c'est bien ficelé. Certaines scènes sont violentes, il faut donc vraiment éviter d'y amener des enfants
Vu les critiques, je pensais que j'allais un minimum apprécié mais non, le film est ennuyant pour la partie dans l'avion et le reste n'est pas plus intéressant. Effectivement, c'est un film ou il faut déconnecter son cerveau, c'est juste un film d'action ou on ne réfléchi pas. Mais encore si c'était bien filme, mais là ce n'est pas le cas. Les décors eux sont plutôt bon mais le scénario est nul et on ne retiendra aucun acteur.
Après avoir sauvé maintes fois le président, revoilà notre Gégé en pilote d'avion qui va devoir faire face tour à tour à un crash en zone de non droit et à des terroristes sanguinaires. Entre film catastrophe et film d'action, un spectacle divertissant du moment que les talents indéniables (qui a dit chanceux) de notre commandant de bord ne vous perdent pas en plein vol. Si vous êtes indulgent côté scénario, alors attachez bien votre ceinture. Une suite est d'ailleurs prévue, cette fois à bord d'un bateau... Affaire à suivre !
Des miliciens qui jouent de la machette sur une île impénétrable, des mercenaires missionnés pour une opération sévèrement burnée, Gerard Butler et Luke- Mike Colter- Cage en duo de choc, tout ça est bien mignon sur le papier mais mieux que ça, la mayonnaise prend. Jean-François Richet réussi un divertissement Last Action Hero, avec Butler comme dernier représentant, lui qui n'était pas encore là à l'époque. On y croit et on s'éclate.
Plane confirme l’attachement de son réalisateur, Jean-François Richet, pour des criminels à la caractérisation complexe, tiraillés entre un souci de se racheter moralement et une fuite en avant immorale – le rachat s’entend alors comme la conservation du sac contenant l’argent – inhérente à leur statut dans la société. C’est ici Louis Gaspare, escorté par avion pour homicide, qui apparaît de prime abord comme une figure dangereuse : son mutisme, son regard tenu synonyme de défi, son passé mystérieux alimentent une image faussée, aussitôt mise en place aussitôt pulvérisée par les circonstances. Face à lui se construit un personnage de commandant défini dès l’ouverture comme un père endeuillé, soucieux de retrouver une fille qui le suit partout par photo interposée ; cette association fera de lui un père de substitution pour son équipage, qu’il comptera comme ses enfants et dont il pleurera les disparus, dans la lignée du Sully filmé par Clint Eastwood. Richet plonge ce duo dans le chaos philippin : l’île de Jolo constitue un espace tenu par des séparatistes habitués aux enlèvements contre rançons et aux exécutions d’étrangers ; elle contraint pilote et passager menotté à une entraide, faisant émerger un antécédent violent pour le premier, offrant au second l’occasion de revenir sur ses erreurs de jeunesse. Dit autrement, l’enfer de la jungle sert de catharsis où les individus deviennent des héros par une mise à l’épreuve, , similaire au flic alcoolique de Non-Stop (Jaume Collet-Serra, 2014), que le réalisateur filme avec brutalité et efficacité. La grande qualité de Plane réside ainsi dans la concentration de son action, dégraissée de toute partie molle, garantie d’une immersion totale.