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La violente beauté organique de O fantasma (le fantasme ? le fantôme ?, l'ambiguïté étymologique renforce le mystère du film), vient de son priapisme érigé en trame narrative et visuelle du film.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
O Fantasma, sans recul, sans complaisance ni voyeurisme, met en scène les errances nocturnes d'un garçon dans une sorte de no man's land habité de créatures sans psychologie, instinctives (...)
La critique complète est disponible sur le site Positif
O Fantasma évacue très rapidement l'imagerie du film pédé et ses cortèges de pissotières malodorantes pour défricher la voie d'un manifeste en faveur d'une étrange liberté de déshumanisation et de négation de son propre ego.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Rien de très ragoûtant donc, il faut en convenir et, encore une fois, un véritable moment de maltraitance à passer pour le spectateur. Mais, dans cette métamorphose étonnante, tout de même, un tour de force réussi pour le réalisateur (...)
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Ce voyage solitaire frôle souvent la complaisance (...), le manque de dialogue plonge le spectateur dans les tourments de l'univers de cet éboueur fétichiste décadent, l'ensemble laisse un arrière-goût de « mal à l'aise » assez déplaisant.
Chronic'art.com
(...) un chef-d'oeuvre absolu (...)
Libération
(...) un chef-d'œuvre sur deux plans à la fois: celui du cinéma et celui de la culture gay.
Urbuz
La violente beauté organique de O fantasma (le fantasme ? le fantôme ?, l'ambiguïté étymologique renforce le mystère du film), vient de son priapisme érigé en trame narrative et visuelle du film.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Inrockuptibles
(...) un premier film remarquablement maîtrisé.
Positif
O Fantasma, sans recul, sans complaisance ni voyeurisme, met en scène les errances nocturnes d'un garçon dans une sorte de no man's land habité de créatures sans psychologie, instinctives (...)
Repérages
O Fantasma évacue très rapidement l'imagerie du film pédé et ses cortèges de pissotières malodorantes pour défricher la voie d'un manifeste en faveur d'une étrange liberté de déshumanisation et de négation de son propre ego.
Fluctuat.net
Rien de très ragoûtant donc, il faut en convenir et, encore une fois, un véritable moment de maltraitance à passer pour le spectateur. Mais, dans cette métamorphose étonnante, tout de même, un tour de force réussi pour le réalisateur (...)
MCinéma.com
Ce voyage solitaire frôle souvent la complaisance (...), le manque de dialogue plonge le spectateur dans les tourments de l'univers de cet éboueur fétichiste décadent, l'ensemble laisse un arrière-goût de « mal à l'aise » assez déplaisant.
Première
Rodruigues filme le désir brut brutalement, sans dialogue et, finalement, sans fantasmes.
Télérama
Premier long métrage expérimental sur les virées nocturnes d'un éboueur lisboète.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com