Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Kornel Mundruczo (White God) filme une agonie intime. On n’avait pas reçu une telle claque depuis Manchester by the Sea.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Préparez-vous à une déflagration, de celles qui vous marquent au fer rouge profondément dans la chair.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Yves Jaeglé
On pourrait être chez Bergman, mais avec plus de suspense.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Yannick Lemarié
Pieces of a Woman est la première réalisation outre-Atlantique de Kornél Mundruczó. La virtuosité de l’intime qu’y déploie le réalisateur hongrois [...] en fait un nouveau sommet de sa filmographie.
Première
par Guillaume Bonnet
Tout était clair comme de l’eau de roche, incontestable, sans échappatoire, sans faux-semblant, sans coup de bluff. Juste un plan-séquence big bang, où l’univers s’est contracté et d’où tout un film – magnifique – a surgi.
La critique complète est disponible sur le site Première
20 Minutes
par Caroline Vié
Ne serait-ce que pour cette première scène, Pieces of a Woman vaut le détour.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Ecran Large
par Simon Riaux
Mundruczó revient au cinéma organique, charnel et brutal de ses débuts, rehaussé par la maestria technique acquise sur ses deux derniers films, pour chroniquer un deuil et son dépassement. Le résultat, abrasif, malmène le spectateur jusqu'à trouver un état de grâce impressionnant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Ophélie Daguin
Mais ce superbe mélodrame, aussi saisissant soit-il, est également porteur d’un message d’espoir. La promesse d’une douleur apaisée lorsque le temps aura fait son œuvre, et de lendemains plus doux et sereins.
La critique complète est disponible sur le site Elle
La Voix du Nord
par Christophe Caron
La plateforme frappe un grand coup avec la mise en ligne de ce drame évoquant la reconstruction d’une femme qui vient de perdre son bébé, à la naissance, lors d’un accouchement à domicile. Vanessa Kirby livre une prestation majeure.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Echos
par La Rédaction
« Pieces of a Woman » raconte ce contraste : la beauté ordinaire du mouvement de la Terre qui, invariablement, tourne autour du Soleil le temps d'une année ; la cruauté de la vie qui, parfois, ne dure pas plus d'un souffle. Enfin, comme tout grand mélodrame, « Pieces of a Woman » nous parle de l'espoir. On le sait bien, inéluctablement, l'hiver conduit vers un printemps.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Michaël Ghennam
Au-delà de la mise en scène élégante de Mundruczó, ce sont [les acteurs] qui hissent "Pieces of a Woman" au-delà de son étiquette de “film de festival”.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Pierre Lunn
Il fallait une interprète à la hauteur. Vanessa Kirby est de cette trempe. Prix mérité de la meilleure actrice à Venise, elle impressionne dans tous les plans.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Loin d'être pesant, le récit passe de l'ombre à la lumière, vers une possible résilience. Dans le rôle de Martha, Vanessa Kirby livre une performance formidable.
Télé Loisirs
par Thomas Colpaert
Sur ce thème très délicat, le réalisateur hongrois Kornél Mundruczó signe un film fort, tout en nuances, porté par ses deux interprètes principaux, Vanessa Kirby et Shia LaBeouf, criants de vérité.
Télérama
par Marie Sauvion
À la fois puissante et intime, la performance de Vanessa Kirby lui a valu, à juste titre, le prix d’interprétation à la dernière Mostra de Venise.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Céline Rouden
Sur un sujet aussi sensible, le réalisateur et sa scénariste font preuve de délicatesse (...) Hésitant sur la forme entre la crudité radicale d’un cinéma d’Europe de l’Est dont il est le produit et le maniérisme d’un certain cinéma indépendant américain, résilience à l’appui, Kornél Mundruczó semble parfois perdre son sujet en chemin.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Mathieu Macheret
Sans trop d’esbroufe, le film atteint quelques pics émotionnels (...). Pieces of a Woman n’échappe toutefois pas à une certaine pesanteur symbolique, au poids du vouloir-dire, caractéristique du cinéma de Mundruczo.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Critikat.com
par Josué Morel
Tout en livrant son film le moins raté, Mundrunczó n'aura fait que déplacer le curseur de sa coutumière balourdise.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Beaucoup de potentiel gaspillé par une mise en scène hésitant entre virtuosité mal placée et sursignifiance symbolique. "Pieces of a Woman" est, comme son titre l'indique [...] l'histoire d'une fragmentation. Mais le film offre surtout deux révélations. D'une part, le grand talent de son actrice (Vanessa Kirby, récompensée judicieusement à Venise), et, de l'autre, une caractéristique frappante de son réalisateur qui ne filme jamais une scène juste pour ce qu'elle est.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
L’ambition de Mundruczó se révèle un peu retorse, il s’agit de saboter son propre film en en maintenant la beauté en sous-main, en la tenant sous le boisseau, en l’écrasant sous le poids d’une des pires ennemies du cinéma: la métaphore (un pont en construction, une pomme…).
Le Figaro
Kornel Mundruczo (White God) filme une agonie intime. On n’avait pas reçu une telle claque depuis Manchester by the Sea.
Le Journal du Dimanche
Préparez-vous à une déflagration, de celles qui vous marquent au fer rouge profondément dans la chair.
Le Parisien
On pourrait être chez Bergman, mais avec plus de suspense.
Positif
Pieces of a Woman est la première réalisation outre-Atlantique de Kornél Mundruczó. La virtuosité de l’intime qu’y déploie le réalisateur hongrois [...] en fait un nouveau sommet de sa filmographie.
Première
Tout était clair comme de l’eau de roche, incontestable, sans échappatoire, sans faux-semblant, sans coup de bluff. Juste un plan-séquence big bang, où l’univers s’est contracté et d’où tout un film – magnifique – a surgi.
20 Minutes
Ne serait-ce que pour cette première scène, Pieces of a Woman vaut le détour.
Ecran Large
Mundruczó revient au cinéma organique, charnel et brutal de ses débuts, rehaussé par la maestria technique acquise sur ses deux derniers films, pour chroniquer un deuil et son dépassement. Le résultat, abrasif, malmène le spectateur jusqu'à trouver un état de grâce impressionnant.
Elle
Mais ce superbe mélodrame, aussi saisissant soit-il, est également porteur d’un message d’espoir. La promesse d’une douleur apaisée lorsque le temps aura fait son œuvre, et de lendemains plus doux et sereins.
La Voix du Nord
La plateforme frappe un grand coup avec la mise en ligne de ce drame évoquant la reconstruction d’une femme qui vient de perdre son bébé, à la naissance, lors d’un accouchement à domicile. Vanessa Kirby livre une prestation majeure.
Les Echos
« Pieces of a Woman » raconte ce contraste : la beauté ordinaire du mouvement de la Terre qui, invariablement, tourne autour du Soleil le temps d'une année ; la cruauté de la vie qui, parfois, ne dure pas plus d'un souffle. Enfin, comme tout grand mélodrame, « Pieces of a Woman » nous parle de l'espoir. On le sait bien, inéluctablement, l'hiver conduit vers un printemps.
Les Fiches du Cinéma
Au-delà de la mise en scène élégante de Mundruczó, ce sont [les acteurs] qui hissent "Pieces of a Woman" au-delà de son étiquette de “film de festival”.
Ouest France
Il fallait une interprète à la hauteur. Vanessa Kirby est de cette trempe. Prix mérité de la meilleure actrice à Venise, elle impressionne dans tous les plans.
Télé 7 Jours
Loin d'être pesant, le récit passe de l'ombre à la lumière, vers une possible résilience. Dans le rôle de Martha, Vanessa Kirby livre une performance formidable.
Télé Loisirs
Sur ce thème très délicat, le réalisateur hongrois Kornél Mundruczó signe un film fort, tout en nuances, porté par ses deux interprètes principaux, Vanessa Kirby et Shia LaBeouf, criants de vérité.
Télérama
À la fois puissante et intime, la performance de Vanessa Kirby lui a valu, à juste titre, le prix d’interprétation à la dernière Mostra de Venise.
La Croix
Sur un sujet aussi sensible, le réalisateur et sa scénariste font preuve de délicatesse (...) Hésitant sur la forme entre la crudité radicale d’un cinéma d’Europe de l’Est dont il est le produit et le maniérisme d’un certain cinéma indépendant américain, résilience à l’appui, Kornél Mundruczó semble parfois perdre son sujet en chemin.
Le Monde
Sans trop d’esbroufe, le film atteint quelques pics émotionnels (...). Pieces of a Woman n’échappe toutefois pas à une certaine pesanteur symbolique, au poids du vouloir-dire, caractéristique du cinéma de Mundruczo.
Critikat.com
Tout en livrant son film le moins raté, Mundrunczó n'aura fait que déplacer le curseur de sa coutumière balourdise.
Les Inrockuptibles
Beaucoup de potentiel gaspillé par une mise en scène hésitant entre virtuosité mal placée et sursignifiance symbolique. "Pieces of a Woman" est, comme son titre l'indique [...] l'histoire d'une fragmentation. Mais le film offre surtout deux révélations. D'une part, le grand talent de son actrice (Vanessa Kirby, récompensée judicieusement à Venise), et, de l'autre, une caractéristique frappante de son réalisateur qui ne filme jamais une scène juste pour ce qu'elle est.
Cahiers du Cinéma
L’ambition de Mundruczó se révèle un peu retorse, il s’agit de saboter son propre film en en maintenant la beauté en sous-main, en la tenant sous le boisseau, en l’écrasant sous le poids d’une des pires ennemies du cinéma: la métaphore (un pont en construction, une pomme…).