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    L’Ombre d’un mensonge
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    134 critiques spectateurs

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    montecristo59
    montecristo59

    40 abonnés 288 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 avril 2023
    Dans des paysages superbes et désolés où dominent l'ampleur, l'herbe, la tourbe, le sable et le vent de la mer, Bouli Lanners nous dit en peu de mots la beauté d'un chant du cygne.
    La rencontre qu'il nous montre, construite sur l'oubli et un mensonge, est magnifiée par la lumière. Sa déclaration chuchotée m'a explosé le coeur autant qu'elle explose les standards du genre. Dans le mille, Bouli !
    Bravo aussi à Michele Fairley et à toute l'équipe de cette discrète pépite...
    Stéphane R
    Stéphane R

    24 abonnés 357 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 mai 2023
    Très belle surprise, cette échappée de Bouli Lanners dans une petite Île aux confins de cet archipel écossais. Surprise relative tant la subtilité et l'humanité de ce charmant belge nous accompagne depuis plusieurs années.
    Élégiaque dans un premier temps, magnifiquement romantique dans sa seconde partie, avec une bande son qui caresse nos oreilles avec 3 toutes instrumentaux de Soulsavers en prime. Décidément, cet homme a un goût exquis)
    Boby 53
    Boby 53

    18 abonnés 191 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 mars 2022
    Sur un scénario assez mince Boulnner Lanners arrive à nous enrôler ds une histoire d'amour impossible mais réelle, avec 2 comédiens (dont lui) hors pairs, et un paysage écossais à couper le souffle. On sort requinqués par cette belle et sobre rencontre de deux solitudes!
    Xavier B.
    Xavier B.

    17 abonnés 283 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 avril 2022
    Bouli Lanners himself est très convaincant en travailleur agricole un peu hors-sol, un peu rock & roll, plongé dans une communauté rustique et très soudée.
    Michèle Fairley, longue silhouette sombre façon quaker, surprend, un peu tout à la fois mystérieuse, fragile et forte.
    Belle tension romantique dans ce décor écossais rude et sauvage. On est tenté de penser au décor irlandais du Taxi mauve, mais l'Écosse de B. Lanners est bien plus sauvage, moins "léchée".
    Le dénouement est réussi, en ce qu'il surprend, et fournit une clé du personnage central.
    Du bon cinéma romantique  !

    Tours CinéStudio 2 avril 2022
    Frédéric T
    Frédéric T

    28 abonnés 39 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 avril 2022
    Austère comme l'île de Lewis et comme ses habitants. La curieuse histoire d'amour entre Phil et Millie s'étire lentement dans ces paysages de landes et de mer. Dans ce beau pays désert et maussade, on a vraiment beaucoup de mal à parler et à dire ses sentiments. Pour pleinement apprécier ce film, Il faut se laisser porter par la poésie des images et savourer les quelques moments de grande tendresse.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    704 abonnés 3 055 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 mars 2024
    Dans la continuité du film d’Henri Colpi Une aussi longue absence (1961), Bouli Lanners s’empare de la thématique de la perte de mémoire comme élément central du mélodrame, ici singulièrement revisité dans la mesure où ce dernier s’excuse, s’estompe, apparaît en deçà des mots prononcés, dans les regards tenus de Millie, dans l’attente insoupçonnée de Phil. La pudeur du long métrage est accentuée par la rencontre de deux personnages que tout séparait, depuis l’origine géographique – l’un est belge, l’autre écossaise – jusqu’à la morphologie et au style vestimentaire et musical : Phil affirme un corps lourd et velu, orné de tatouages à la signification inconnue, là où Millie apparaît serrée dans des vêtements austères, la silhouette fine. Même leur profession les sépare : lui est ouvrier agricole, constamment en plein air, elle travaille dans une agence, constamment enfermée. Il s’agit alors, pour Nobody Has to Know, de composer des espaces privés où, loin des autres qui, sur l’île, se connaissent tous, se retrouver pour se (re)conquérir : la voiture, métaphore de la marche de l’existence, la petite maison avec ses disques vinyles, ses grandes fenêtres ouvrant l’intime sur l’extérieur.
    La magnifique photographie de Frank van den Eeden, ainsi que la piste musicale « Wise Blood » du groupe Soulsavers, apportent une poésie d’abord détonante compte tenu de la distance des protagonistes, puis peu à peu synchrones, comme si elles devançaient leur union, anticipaient la réunion de leur main respective un jour de deuil, alliance des contraires qu’incarne une clausule puissante. Un très beau film qui atteste le talent de cinéaste de Bouli Lanners.
    Hervé L
    Hervé L

    78 abonnés 638 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 avril 2022
    Un bon Film ou tout se mets en place progressivement dans un univers en huis clos. Les sentiments s'expriment en douceur ou plus brutalement c'est fin et subtil
    Michael
    Michael

    20 abonnés 468 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 janvier 2024
    Ce film est une bonne surprise découvert par hasard dans les reeplay de ciné plus. J ai été agréablement surpris tout d abord par les paysages qui magnifient le film.
    Ensuite l histoire se suit sans déplaisir en étant toutefois pas exceptionnelle mais elle est portée par deux bons acteurs dans les rôles principaux
    Muriel F.
    Muriel F.

    54 abonnés 244 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 mars 2022
    Un film délicat et subtil. L'homme est mur, attachant et robuste et a perdu la mémoire suite à un AVC. La femme est frustre, fine et transgresse la vérité. Le lieu est isolé, sauvage et écossais. Le tout est un film de Bouli Lanners que je ne connaissais pas et qui donne envie de découvrir plus amplement. A voir !
    christophe D10
    christophe D10

    18 abonnés 654 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 mai 2023
    Le rythme est trop lent, le scenario bien trop mince pour tenir sur la longueur.
    Du coup même si ce n’est pas mauvais, l’ennui prédomine assez vite.
    Les critiques très positives sont un peu surprenantes….
    Ceiner M
    Ceiner M

    37 abonnés 206 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 avril 2022
    Film qui vaut pour ses magnifique images de paysages écossais de mer, de lande et collines, Ses personnages très bien interprétés et filmés. Du vrai cinéma. Le lieu m'a évoqué Breaking the waves. On parle de solitude, de communication difficile entre humains et de la beauté de l'amour, du don , de laisser tomber ses barrières pour au final faire un pas vers l'autre quel qu'il soit. La musique est aussi très bien. Bravo Boulil à la fois devant et derrière la caméra.
    Arthur Brondy
    Arthur Brondy

    232 abonnés 1 013 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 avril 2022
    Phil travaille avec des agriculteurs dans un village reculée d’Ecosse. Un jour il va être victime d’un AVC et va faire la rencontre de Millie qui va s’occuper de lui. Cette dernière va profiter de son amnésie pour se rapprocher de lui. Un film délicat et tendre qui raconte une sublime histoire d’amour. Certains plans sont absolument magnifiques.
    dan47
    dan47

    58 abonnés 154 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 avril 2022
    ouh la la !!! que je n'ai pas aimé !!! un film long. plat je n'ai ressenti aucun sentiment. j'avais 2 options : quitter la salle où dormir ! j'ai fait une petite sieste grâce aux ronronnements des acteurs qui jouaient dans une atmosphère triste et plate comme ce long métrage.
    Jipéhel
    Jipéhel

    42 abonnés 176 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 avril 2022
    L’Ecosse super star

    Bouli Lanners n’en est pas à son coup d’essai en tant que metteur en scène. On se souvient entre autres, Les Premiers, les Derniers, ou de Les géants. Mais cette fois, avec ces 100 minutes, il s’essaie au genre de la romance. Phil s’est exilé dans une petite communauté presbytérienne sur l'Île de Lewis, au nord de l'Ecosse. Une nuit, il est victime d'une attaque qui lui fait perdre la mémoire. De retour sur l’ile, il retrouve Millie, une femme de la communauté qui s'occupe de lui. Alors qu’il cherche à retrouver ses souvenirs, elle prétend qu'ils s'aimaient en secret avant son accident... Malgré les splendides paysages des Highlands, une mise en scène plus que soignée et une belle interprétation, j’avoue être resté sur ma faim. Légère déception atténuée par le talent de Monsieur Lanners.
    Le projet est né d’un fantasme que notre réalisateur a depuis le début des années 2000 : faire un film en Ecosse, un pays où il se rend chaque année. Les lumières, les ambiances, les paysages, le mode vie de ses contrées reculées, tout est réuni pour inspirer nu scénariste et un cinéaste. L’île de Lewis est un personnage à part entière du film. Un endroit particulier par rapport au reste de l’Ecosse où, compte tenu de son éloignement du reste du pays, la culture gaélique demeure très forte et le tourisme est peu développé. C’est là aussi que l’Église presbytérienne est la plus austère et la plus présente. Elle rythme la vie sociale, ce qui lui donne un statut et un aspect particuliers : on a par exemple un code vestimentaire que l’on retrouve tous les dimanches, le dimanche qu’on appelle là-bas le shabbat chrétien, ce jour-là, les gens s’habillent en noir et les femmes mettent des chapeaux. On pense aux ambiances des romans des sœurs Brontë, C’est donc là le cadre très particulier pour cette romance entre deux personnages loin d’être glamour. Ce film parle de gens normaux et les gens normaux ne sont pas forcément superbes. En fin de compte, le moins qu’on puisse dire, outre sa lenteur calculée, le film n’est pas bavard et ce postulat me paraît ici poussé jusqu’à l’ennui. Et c’est bien l’écueil sur lequel se brise cette histoire tout en tristesse, sur la brièveté de l’existence, la compassion et le pardon. Vaste programme… trop vaste peut-être.
    Côté casting, rien à redire. Michelle Fairley, rendue célèbre par sa participation à Game of Thrones, est remarquable de sensibilité et de retenue auprès d’un Bouli Lanners étonnant. Citons encore Andrew Still, Julian Glover, et la participation de Clovis Cornillac. Entre landes inhospitalières et rochers éternel, un film pudique, épuré à l’extrême, d’une sobriété exemplaire ; mais l’ennui qui suinte tout au long de ces 100 minutes a fini par gagner le spectateur que je suis. Dommage, j’aurais tant voulu adorer.
    Bart Sampson
    Bart Sampson

    348 abonnés 667 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 mars 2022
    Je ne pouvais pas passer à côté du film de et avec Bouli Lanners « l’ombre d’un mensonge ». Dès la bande annonce j’avais déjà envie d’aller voir ce film.
    Après être allé le voir en projection, je suis partagé.
    Le film est réussi techniquement et par son interprétation.
    Un petit rappel de l’histoire tout de même : Phil s’est exilé dans une petite communauté presbytérienne sur l'Île de Lewis, au nord de l'Ecosse. Une nuit, il est victime d'une attaque qui lui fait perdre la mémoire. De retour sur l’ile, il retrouve Millie, une femme de la communauté qui s'occupe de lui. Alors qu’il cherche à retrouver ses souvenirs, elle prétend qu'ils s'aimaient en secret avant son accident...
    L’Ecosse est splendidement filmée, d’ailleurs je me suis promis d’aller visiter les iles Arthur et Lewis où ont été tournés les extérieurs.
    L’intrigue est aussi fine qu'un papier à cigarette mais je ne m’attendais pas non plus à des rebondissements dignes d’un grand huit.
    Les acte
    urs sont bons, avec une mention spéciale à Michelle Fairley et bien sûr à Bouli Lanners qui déploie une généreuse palette de jeu.
    Non, le truc qui m’a gêné à la fin de la projection c’est le sentiment d’un film bien exécuté mais qui ne m’a pas vraiment transporté.
    Et là..je me suis rappelé de « Dans le brume électrique » de Bertrand Tavernier, « The Mustang » de Laure de Clermont-Tonnerre ou « Galveston » de Mélanie Laurent, soit des films réalisés par des acteurs le plus souvent et qui rendent hommage à leurs influences cinématographiques étrangères mais qui ne sont pas des films « personnels », juste des films tournés à l’étranger avec de très bonnes équipes (ici ils sont 4 rien que pour le son) mais qui semble juste des œuvres « téléportées ».
    Bref, je ne sais pas si je ne fais bien comprendre mais même si ce film parfaitement maîtrisé je lui ai trouvé un petit manque d’incarnation...une impression de déjà vu...
    Peut-être est-ce le trop grand nombre de films que je peux voir en une année qui me rend difficile.
    Vous me direz 😊
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