Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Ce cinquième film bluffe par son audace tranquille, séduit par son sens des paysages, touche par la sobriété de sa tristesse. Bouli Lanners vous attrape par le bras, ne vous lâche plus, comme un frère, vous glisse deux-trois secrets à l’oreille, comme un personnage d’Antoine Blondin qui aurait appris à parler anglais.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Un diamant romantique.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un film sensible et hors du temps.
Positif
par Eithne O’Neill
Voici un film sur la brièveté de l’existence, la compassion, le pardon et sur la Nature qui seule dans ce récit associe la cruauté à la beauté. Voici la vie dans sa finalité. Voici le monde de Millie. À votre tour, vous l’aimerez.
Voici
par La Rédaction
Une très belle histoire d'amour, sobre, épurée et romantique, qui nous touche par sa délicatesse.
20 Minutes
par Caroline Vié
« L’Ombre d’un mensonge » émeut en profondeur en faisant se rencontrer Bouli Lanners et Michelle Fairley.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Jo Fishley
Sur l’île sauvage et robuste de Lewis, en Écosse, entre landes inhospitalières et rochers éternels, Bouli Lanners romance un amour hors du temps. Quelque part entre la littérature d’Emily Brontë et le cinéma de Jane Campion.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
La performance presque silencieuse de Bouli Lanners est habitée d’une sensibilité pure et l’extraordinaire Michelle Fairley ( Game of Thrones ) lui donne le bras avec une mélancolie rayonnante.
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Empathique mais jamais mièvre, Lanners mêle avec talent le mélodrame et la chronique sociale dans une romance prouvant, s’il en est besoin, que l’amour n’a pas d’âge.
L'Obs
par François Forestier
Il y a, dans « l’Ombre d’un mensonge », un élan romantique, une petite musique aigre et délicate. Il y a le plaisir, purement cinématographique, de regarder monter en un ciel ignoré, du fond de l’océan, des étoiles nouvelles.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Lucie Vidal
Pari réussi pour le réalisateur belge Bouli Lanners, qui tente une incursion en terre étrangère.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
La cinématographie magnifique de cette romance insulaire, sobre et dépouillée, donne à voir l’âme des gens et d’une terre.
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Il y a dans le film, convoqués avec la plus grande finesse, les souvenirs que l’on préférerait oublier, ceux que l’on aurait aimé s’inventer et ceux que l’on souhaite encore se fabriquer. De ces derniers, Bouli Lanners tire matière à un mélodrame qui jamais ne cède à la tristesse.
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Sur une île du nord de l'Ecosse, l'acteur et réalisateur belge, Bouli Lanners, met en scène un personnage amnésique et une émouvante histoire d'amour. Ce film pudique révèle de nouvelles facettes de son talent.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
Moins auteuriste et plus “grand public”, Bouli Lanners garde sa tonalité poétique personnelle et propose une belle histoire d’amour dans une envoûtante île écossaise.
Marianne
par Olivier De Bruyn
Sur l’île de Lewis, entre les landes sauvages et des bords de mer agités par des vents ennemis, Bouli Lanners ignore les clichés touristiques et signe un film infiniment pudique et délicat (...).
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Dépaysement et coup de cœur garantis.
Télérama
par Samuel Douhaire
C’est avec une infinie délicatesse que le comédien interprète la renaissance de Phil, et que le cinéaste filme l’éveil de la passion chez Millie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Céline Rouden
Bouli Lanners ose une grande histoire d’amour romantique entre deux quinquagénaires dans l’environnement austère de l’île de Lewis, en Écosse et, malgré son scénario trop prévisible, charme par la simplicité de son évidence.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Très délicat, le cinquième film de Bouli Lanners a un air de déjà-vu, mais il séduit avec ses grandes étendues, sublimées par une photographie soignée, et ses personnages bien dessinés et incarnés.
Première
par Thomas Baurez
L’Ombre d’un mensonge est une histoire d’amour entre un homme devenu amnésique (Lanners donc) et une femme qui profite de son oubli pour s’immiscer dans son intimité. Lanners n’en fait pas un thriller mais une romance douce et sensible qui avance à tâtons. Une belle échappée en somme.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Ce qui est beau, dans ce récit modelé par un acteur réalisateur qui se révèle plus romantique que ne le laissaient supposer ses films précédents, tient à cette grâce faite à deux êtres solitaires qui prennent des risques pour se découvrir...
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un joli film sur les ravages de la mémoire abîmée, tourné dans les splendeurs grises et romantiques d’une île écossaise.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
Beaucoup de vide à combler pour le spectateur, qui se demande comment des adultes du XXIe siècle en arrivent à une situation si infantilisante, où se donner la main en public devient l’acmé de la passion, si ce n’est que parce qu’un scénario accumulant les entraves l’a décidé sans rien laisser véritablement s’installer, s’ouvrir, se déployer.
Le Figaro
Ce cinquième film bluffe par son audace tranquille, séduit par son sens des paysages, touche par la sobriété de sa tristesse. Bouli Lanners vous attrape par le bras, ne vous lâche plus, comme un frère, vous glisse deux-trois secrets à l’oreille, comme un personnage d’Antoine Blondin qui aurait appris à parler anglais.
Le Parisien
Un diamant romantique.
Ouest France
Un film sensible et hors du temps.
Positif
Voici un film sur la brièveté de l’existence, la compassion, le pardon et sur la Nature qui seule dans ce récit associe la cruauté à la beauté. Voici la vie dans sa finalité. Voici le monde de Millie. À votre tour, vous l’aimerez.
Voici
Une très belle histoire d'amour, sobre, épurée et romantique, qui nous touche par sa délicatesse.
20 Minutes
« L’Ombre d’un mensonge » émeut en profondeur en faisant se rencontrer Bouli Lanners et Michelle Fairley.
Bande à part
Sur l’île sauvage et robuste de Lewis, en Écosse, entre landes inhospitalières et rochers éternels, Bouli Lanners romance un amour hors du temps. Quelque part entre la littérature d’Emily Brontë et le cinéma de Jane Campion.
Dernières Nouvelles d'Alsace
La performance presque silencieuse de Bouli Lanners est habitée d’une sensibilité pure et l’extraordinaire Michelle Fairley ( Game of Thrones ) lui donne le bras avec une mélancolie rayonnante.
L'Humanité
Empathique mais jamais mièvre, Lanners mêle avec talent le mélodrame et la chronique sociale dans une romance prouvant, s’il en est besoin, que l’amour n’a pas d’âge.
L'Obs
Il y a, dans « l’Ombre d’un mensonge », un élan romantique, une petite musique aigre et délicate. Il y a le plaisir, purement cinématographique, de regarder monter en un ciel ignoré, du fond de l’océan, des étoiles nouvelles.
La Voix du Nord
Pari réussi pour le réalisateur belge Bouli Lanners, qui tente une incursion en terre étrangère.
Le Dauphiné Libéré
La cinématographie magnifique de cette romance insulaire, sobre et dépouillée, donne à voir l’âme des gens et d’une terre.
Le Monde
Il y a dans le film, convoqués avec la plus grande finesse, les souvenirs que l’on préférerait oublier, ceux que l’on aurait aimé s’inventer et ceux que l’on souhaite encore se fabriquer. De ces derniers, Bouli Lanners tire matière à un mélodrame qui jamais ne cède à la tristesse.
Les Echos
Sur une île du nord de l'Ecosse, l'acteur et réalisateur belge, Bouli Lanners, met en scène un personnage amnésique et une émouvante histoire d'amour. Ce film pudique révèle de nouvelles facettes de son talent.
Les Fiches du Cinéma
Moins auteuriste et plus “grand public”, Bouli Lanners garde sa tonalité poétique personnelle et propose une belle histoire d’amour dans une envoûtante île écossaise.
Marianne
Sur l’île de Lewis, entre les landes sauvages et des bords de mer agités par des vents ennemis, Bouli Lanners ignore les clichés touristiques et signe un film infiniment pudique et délicat (...).
Télé 7 Jours
Dépaysement et coup de cœur garantis.
Télérama
C’est avec une infinie délicatesse que le comédien interprète la renaissance de Phil, et que le cinéaste filme l’éveil de la passion chez Millie.
La Croix
Bouli Lanners ose une grande histoire d’amour romantique entre deux quinquagénaires dans l’environnement austère de l’île de Lewis, en Écosse et, malgré son scénario trop prévisible, charme par la simplicité de son évidence.
Le Journal du Dimanche
Très délicat, le cinquième film de Bouli Lanners a un air de déjà-vu, mais il séduit avec ses grandes étendues, sublimées par une photographie soignée, et ses personnages bien dessinés et incarnés.
Première
L’Ombre d’un mensonge est une histoire d’amour entre un homme devenu amnésique (Lanners donc) et une femme qui profite de son oubli pour s’immiscer dans son intimité. Lanners n’en fait pas un thriller mais une romance douce et sensible qui avance à tâtons. Une belle échappée en somme.
Sud Ouest
Ce qui est beau, dans ce récit modelé par un acteur réalisateur qui se révèle plus romantique que ne le laissaient supposer ses films précédents, tient à cette grâce faite à deux êtres solitaires qui prennent des risques pour se découvrir...
aVoir-aLire.com
Un joli film sur les ravages de la mémoire abîmée, tourné dans les splendeurs grises et romantiques d’une île écossaise.
Cahiers du Cinéma
Beaucoup de vide à combler pour le spectateur, qui se demande comment des adultes du XXIe siècle en arrivent à une situation si infantilisante, où se donner la main en public devient l’acmé de la passion, si ce n’est que parce qu’un scénario accumulant les entraves l’a décidé sans rien laisser véritablement s’installer, s’ouvrir, se déployer.