Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
L'Obs
par François Forestier
Le film se termine sur une élévation absolument bouleversante, dans une nuit fiévreuse. Ce Magnificat final donne au film une dimension de grande œuvre.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Ouest France
par Thierry Chèze
Ce portrait de travailleurs dépouillés de leurs droits, aux longs plans fixes, suscite parfois l'ennui mais sa radicalité animale dérangeante emporte la mise.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Ce que le film réussit le mieux réside dans son approche charnelle, quasi documentaire (la faute aux deux beaux comédiens), d’une intimité et de la place qu’elle occupe sur l’échiquier de la société italienne. En revanche, quand il multiplie les pistes et ambitionne de transformer sa chronique d'un deuil en thriller gore teinté de fantastique, il s’égare et échoue à cimenter ses différentes strates.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
Les frères De Serio se tiennent sur la corde raide du mélodrame social, soucieux de ce qu’on ne puisse regarder ailleurs. La montée de situations insupportables laisse préjuger un dénouement dans le sang qui confinera au slasher. Comme s’il fallait imposer une déformation finale après le vérisme de la misère, ce scandale qui ici nous bastonne et laisse pantelant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Pierre Eisenreich
Ce récit d’une vengeance traverse plusieurs genres, du mélodrame au thriller sanglant, faisant peu à peu quitter le réalisme social pour un romanesque violent qui ne tient pas forcément toutes les promesses dramatiques qui se dessinaient.
Télérama
par Jacques Morice
Malgré certains passages du scénario sur le fil, la tension monte vers la tragédie, et le film redonne une dignité à ces personnages bafoués.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Céline Rouden
Malheureusement le scénario, très minimaliste, ne traite que de manière elliptique la dure réalité de ce labeur au profit de la relation touchante entre Giuseppe et son fils Antò, auquel il est lié par une promesse.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Malgré un rythme lent et une atmosphère âpre, ce film, inspiré d'un fait divers, émeut, notamment grâce à la performance de Salvatore Esposito, de la série Gomorra.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Philippe Ridet
L’Italie du Sud n’offretelle pas d’autres perspectives en 2020 à un veuf abîmé par le labeur ? C’est la limite de ce long métrage, dont le réalisme verse parfois dans le dolorisme, même s’il dénonce justement une des tares d’un Etat moderne.
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Les frères italiens Gianluca et Massimiliano De Serio dressent le portrait glaçant d'une communauté de travailleurs exploités. Le film, hélas, s'abîme dans un esthétisme qui nuit à la puissance de son propos.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Adèle Bossard-Giannesini
Accumulant des éléments scénaristiques et esthétiques composites, le film perd son sujet et le spectateur. "Una Promessa" ne tient pas sa promesse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Christophe Narbonne
Un air de déjà-vu malgré une force certaine.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Reste surtout en tête les cadrages à la fois majestueux et quasi documentaires des paysages qui menacent d’engloutir l’humain et la topographie d’un décor plus construit, celui du bidonville agraire. Beaucoup moins réussi, le récit donne dans une surenchère violente et misérabiliste qui s’accorde mal avec la pensée magique du père.
L'Obs
Le film se termine sur une élévation absolument bouleversante, dans une nuit fiévreuse. Ce Magnificat final donne au film une dimension de grande œuvre.
Ouest France
Ce portrait de travailleurs dépouillés de leurs droits, aux longs plans fixes, suscite parfois l'ennui mais sa radicalité animale dérangeante emporte la mise.
Les Inrockuptibles
Ce que le film réussit le mieux réside dans son approche charnelle, quasi documentaire (la faute aux deux beaux comédiens), d’une intimité et de la place qu’elle occupe sur l’échiquier de la société italienne. En revanche, quand il multiplie les pistes et ambitionne de transformer sa chronique d'un deuil en thriller gore teinté de fantastique, il s’égare et échoue à cimenter ses différentes strates.
Libération
Les frères De Serio se tiennent sur la corde raide du mélodrame social, soucieux de ce qu’on ne puisse regarder ailleurs. La montée de situations insupportables laisse préjuger un dénouement dans le sang qui confinera au slasher. Comme s’il fallait imposer une déformation finale après le vérisme de la misère, ce scandale qui ici nous bastonne et laisse pantelant.
Positif
Ce récit d’une vengeance traverse plusieurs genres, du mélodrame au thriller sanglant, faisant peu à peu quitter le réalisme social pour un romanesque violent qui ne tient pas forcément toutes les promesses dramatiques qui se dessinaient.
Télérama
Malgré certains passages du scénario sur le fil, la tension monte vers la tragédie, et le film redonne une dignité à ces personnages bafoués.
La Croix
Malheureusement le scénario, très minimaliste, ne traite que de manière elliptique la dure réalité de ce labeur au profit de la relation touchante entre Giuseppe et son fils Antò, auquel il est lié par une promesse.
Le Journal du Dimanche
Malgré un rythme lent et une atmosphère âpre, ce film, inspiré d'un fait divers, émeut, notamment grâce à la performance de Salvatore Esposito, de la série Gomorra.
Le Monde
L’Italie du Sud n’offretelle pas d’autres perspectives en 2020 à un veuf abîmé par le labeur ? C’est la limite de ce long métrage, dont le réalisme verse parfois dans le dolorisme, même s’il dénonce justement une des tares d’un Etat moderne.
Les Echos
Les frères italiens Gianluca et Massimiliano De Serio dressent le portrait glaçant d'une communauté de travailleurs exploités. Le film, hélas, s'abîme dans un esthétisme qui nuit à la puissance de son propos.
Les Fiches du Cinéma
Accumulant des éléments scénaristiques et esthétiques composites, le film perd son sujet et le spectateur. "Una Promessa" ne tient pas sa promesse.
Première
Un air de déjà-vu malgré une force certaine.
Cahiers du Cinéma
Reste surtout en tête les cadrages à la fois majestueux et quasi documentaires des paysages qui menacent d’engloutir l’humain et la topographie d’un décor plus construit, celui du bidonville agraire. Beaucoup moins réussi, le récit donne dans une surenchère violente et misérabiliste qui s’accorde mal avec la pensée magique du père.