Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Le cinéaste brésilien Carlos Segundo part de la physique quantique pour raconter l’humain, la solitude, la vie et la mort. En résulte un étrange mais captivant film, entre science-fiction et drame domestique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Mahaut Thébault
Du paradoxe de monter l’invisible, Fendas se sort plutôt bien et convoque rapidement un imaginaire d’ombres tapies à la lisière du regard ; postulat d’un monde qui ne peut plus se réduire aux perceptions directes.
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Énigmatique, lent, envoûtant, ce travail contemplatif traque, en de longs plans fixes, la trace sonore de ce qui a été. De cette étrange expérience sensorielle, portée par une comédienne intense, Carlos Segundo tire un film à la fois poétique et contestataire.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Cécile Mury
Fort de l’interprétation délicate de Roberta Rangel, son actrice principale (et presque unique), le Brésilien Carlos Segundo livre un film d’une beauté suspendue, qu’on aurait cependant préférée un brin moins savante et hermétique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Une dérive contemplative et semi-expérimentale terriblement terne et sans relief qui aurait pu faire un court métrage intrigant mais sombre complètement en long, diluant son sujet dans des poses abstraites franchement épuisantes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Les Inrockuptibles
Le cinéaste brésilien Carlos Segundo part de la physique quantique pour raconter l’humain, la solitude, la vie et la mort. En résulte un étrange mais captivant film, entre science-fiction et drame domestique.
Cahiers du Cinéma
Du paradoxe de monter l’invisible, Fendas se sort plutôt bien et convoque rapidement un imaginaire d’ombres tapies à la lisière du regard ; postulat d’un monde qui ne peut plus se réduire aux perceptions directes.
Les Fiches du Cinéma
Énigmatique, lent, envoûtant, ce travail contemplatif traque, en de longs plans fixes, la trace sonore de ce qui a été. De cette étrange expérience sensorielle, portée par une comédienne intense, Carlos Segundo tire un film à la fois poétique et contestataire.
Télérama
Fort de l’interprétation délicate de Roberta Rangel, son actrice principale (et presque unique), le Brésilien Carlos Segundo livre un film d’une beauté suspendue, qu’on aurait cependant préférée un brin moins savante et hermétique.
Libération
Une dérive contemplative et semi-expérimentale terriblement terne et sans relief qui aurait pu faire un court métrage intrigant mais sombre complètement en long, diluant son sujet dans des poses abstraites franchement épuisantes.