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    The Northman
    Note moyenne
    3,1
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    486 critiques spectateurs

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    kris c.
    kris c.

    3 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 mai 2022
    Violent et outrancier, des séquences confinant au ridicule.
    Hormis la qualité de la réalisation, une production indigeste. La note moyenne accordée par la critique augure d'un air du temps dans lequel je ne peux me retrouver.
    A vite oublier.
    lmc-3
    lmc-3

    233 abonnés 437 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 mai 2022
    Si la note de la presse rejoint mon ressentiment, je suis surpris par la réception spectateurs à l’instant où j’écris ces lignes (3,9).
    Un film (ou une série) sur l’univers Viking, ça fait toujours plaisir, mais voilà, après autant de contenu scandinaves visités ces dernières années, la signature américaine derrière ce film, quel que puisse être le casting de choc, ce fait, à mon goût, trop ressentir.
    L’intro m’a fait partir sur de très mauvais aprioris, au point de presque vouloir quitter la salle, exposant ce qui semblait être un véritable nanar.
    De manière général, on ne ressent ni amour ni respect pour l’univers Viking, leur mythologie, le film semblant d’avantage faire office de moqueries dès qu’une occasion se présente.
    Très bien tourné, le voyage est grandiose, les lumières, les paysages, décors et costumes, nombreux panoramas y sont spectaculaires.
    Hautement inégal, l’alchimie ne prend pas, trop de facepalm sortent de l’histoire, des longueurs scénaristiques inutiles tandis que le film pointe pourtant d’un point A à un point B, une ‘révélation de choc’ à faire rire, issue prévisible, le film est également irrégulier en terme de violence graphique, tantôt absente, tantôt démesurée.
    De la barbarie gratuite envers femmes et jeunes enfants.
    Mais tout n’est pas à jeter, bien que décousu, il propose quelque chose (bien en dessous de ce qu’on connait en terme de streaming du genre) à découvrir au moins une fois, mais en aucun cas au prix d’une place de cinéma.

    Farfelu.

    Pourquoi bon sang s’embêter avec une épée capricieuse ne sortant de son fourreau qu’à certaine occasion quand il aurait pu se contenter d’une arme lambda?!

    Potentiel gâché.
    Dommage.
    Yves G.
    Yves G.

    1 307 abonnés 3 309 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 mai 2022
    Le jeune prince Amleth voit sous ses yeux son oncle assassiner son père. Il réussit à s’enfuir mais jure de se venger. Pour ce faire, quelques années plus tard, il rejoint une troupe d’esclaves en route vers l’Islande. Il y retrouve son oncle, sa mère qu’il a épousée et le fils né de cette union.

    Après deux films ("The Witch", "The Lighthouse") qui l’ont fait instantanément entrer dans le club très fermé des réalisateurs les plus bankables de Hollywood, Robert Eggers a décidé de tourner le film définitif sur les Vikings. Il a revisité la légende d’Hamlet qui a inspiré avant lui de célèbres auteurs. Sa trame en est bien connue. Et ce n’est pas Nicole Kidman, figée pour l’éternité dans une jeunesse siliconée et ridiculisée par un accent dont on ne sait s’il est islandais ou moldo-slovaque, qui, dans la scène censée en renverser le sens, nous surprendra beaucoup.

    Là est bien la limite de ce "Northman" : un scénario bien pauvret. Sans doute, le soin maniaque apporté à la reconstitution des maisons, des costumes, des armes nous plonge-t-il dans le monde fascinant des Vikings du IXème siècle. Chaque scène, chaque plan – qu’il filme la musculature impressionnante d’Alexander Skarsgård ou les paysages majestueux d’Islande – suscite l’admiration voire la fascination. Mais une succession de plans, aussi impressionnants soient-ils ne suffit pas à faire un film. Il manque à "The Northman" une histoire qui nous tienne en haleine – sauf à considérer que la vengeance du jeune Amleth dont on devine par avance chacun des rebondissements y suffirait.
    lemulet
    lemulet

    1 abonné 16 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 17 mai 2022
    Une volonté manifeste de retranscrire la violence de l'époque que l'on peut toucher du doigt dans les sagas, et quelques belles choses sur le plan graphique. Mis à part ça, ce n'est pas terrible.
    Vador Mir
    Vador Mir

    229 abonnés 714 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 mai 2022
    Des plans séquences spectaculaires, un film un peu trop sombre et trop porté sur le coté occulte, on ne peut s'empêcher de penser à Conan le Barbare coté scénario et ambiance.
    Une super production qui a su gardé sa patte d'auteur, avec un assez bon casting.
    Bob D.
    Bob D.

    6 abonnés 88 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 mai 2022
    Un film désespérément sans fond, avec beaucoup d'effets pour la forme, et un enjeu ridiculement minuscule. Il n'y a guère de place pour l'empathie et le sommeil guette avec l'ennui sur durant des longueurs interminables. Assurément point l'accès au Valhalla, pour cette production trop prétentieuse.
    xBot
    xBot

    5 abonnés 28 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 16 mai 2022
    En général, je suis tolérant avec les films de genre mais là il n'y a pas grand chose qui le sauve et je trouve la note du public bien (trop) généreuse.
    L'impression générale de la photo est sombre, on ne voit rien, -ça aurait pu être tourné en N&B- sauf les feux qui restent jaunes-orangés.
    La chorégraphie des combat est pauvre voire mauvaise et peu crédible.
    Amleth est tellement fort qu'il peut tuer avec les dents ou quand il utilise son épée magique, il la laisse dans son fourreau.
    Le scénario -la vengeance- est plus que convenu, rien d'original, vu des dizaines de fois et plus précisément copie du Hamlet de shakespeare.
    Le tout tourné dans la boue et le sang avec une propension pour le gore, les cris et des borborygmes à n'en plus finir.
    Quelques moments de fou rire (nerveux) quand on voit un berserker dans un slip acrylique ~850 ans avant JC
    ou -ce qui fait penser à- des clins d'œil cinéphiliques quand il trouve l'épée magique dans une tombe (Conan le barbare) ou le final dans la lave (Star Wars III).
    Le plus triste, c'est que je ne vois rien à relever... même Odin n'a pas du aimer.
    Un film à 70M$ qui devient une 'série Z' sauf pour les inconditionnels de Robert Eggers ; ils semblent tout lui pardonner.
    Vince
    Vince

    41 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 mai 2022
    « The Northman » est le nouveau film de Robert Eggers, après avoir réalisé l’excellent « The Lighthouse » en 2019 porté par le duo remarquable Willem Defoe – Robert Pattinson, et où le format en 4:3, la photographie, la musique, l’interprétation des deux acteurs, l’ambiance ainsi que l’histoire où deux gardiens de phare se retrouve dans ce huis clos m’avait particulièrement plu. Pour son nouveau long-métrage, le réalisateur s’entoure d’un casting 5 étoiles – Alexander Skarsgard, Anya Taylor-Joy, Nicole Kidman, Willem Dafoe ou encore Ethan Hawke – et reprend l’histoire d’Hamlet de Shakespeare dans une version revisitée à l’ère des vikings, soit les mêmes thèmes et caractéristiques, ou encore les mêmes ingrédients du Roi Lion, qui était lui-même une version revisitée sous Disney.

    Au Xème siècle, Amlet (Alexander Skarsgard) vit aux côtés de ses deux parents, la reine Guldrun (Nicole Kidman) et le roi Horwendil (Ethan Hawke) dans les terres nordiques, mais le frère de ce dernier, en quête de pouvoir, tue son frère et épouse la femme de celui-ci en pensant qu’après avoir tué son frère, ses sbires ont tué le fils Amlet. Cependant, Amlet réussit par un coup de grâce à s’échapper des terres nordiques, puis de devenir un véritable viking, en quête de sang et de vengeance, et se promet de revenir dans son pays pour tuer son oncle et sauver sa mère. Lors de son périple, il rencontrera Olga (Anya Taylor-Joy) qui l’aidera à accomplir son but, en devenant des esclaves des nouveaux rois et en se rapprochant au plus près d’eux pour exécuter leur mission. Mais la vengeance a généralement un prix à payer…

    Le cinéaste a ainsi réalisé un blockbuster à gros budget, 90M, et de nombreux aspects positifs sont à noter : la photographie, l’ambiance de vengeance qui anime Amlet, l’interprétation des acteurs principaux surtout celles d’Alexander Skarsgard et d’Anya Taylor-Joy ou encore la direction artistique. Néanmoins, de multiples défauts viennent tâcher ce tableau. L’introduction du film est très bien réalisé, on est tout de suite plongé dans l’ambiance historique, où Amlet enfant est aux côtés de son père qui lui apprend les règles du royaume et son futur rôle en tant que prince. Après la mort de celui-ci et l’échappée d’Amlet, celui-ci devient un viking aux côtés d’un groupe de vikings, et en effet, et à partir de ce moment, une réalisation impressionnante s’observe entre le jeu de caméra et l’interprétation de Skarsgard. Cependant, une troisième et plus grosse partie vient entraver tout ce début de film. Le protagoniste arrive aux côtés d’esclaves au royaume qui se situe désormais dans un champ « ridicule » et va réussir les étapes en devenant le « meilleur » esclave ou le « chef » des esclaves, soit un esclave qui donne des ordres à d’autres esclaves, et dans toute cette partie, environ 1h20 de film, une redondance et une lenteur s’observent dès le début, et le réalisateur ne sait pas réellement où il veut aller avant le combat et dénouement final entre l’oncle et le neveu. De plus, en dehors de l’interprétation catastrophique de Nicole Kidman et de Claes Bang (Fjolnir, l’oncle de Amlet), le réalisateur place de nombreux moments de pure fiction dans cette fresque réaliste, soit la fantaisie, la folie, le mysticisme qui s’intègrent dans le récit, notamment à travers le personnage de Willem Defoe dans l’introduction, et tout durant le film par le biais du personnage de Seerees, et qui me laissent particulièrement perplexe.

    Par ailleurs, l’un des points noirs du film est la rapidité du moment où Amlet est un véritable viking, très clairement les meilleurs scènes et séquences du long-métrage, soit quand Amlet devient ce véritable guerrier viking aux côtés de ses frères vikings, capable d’entrer dans une fureur bestiale, en tuant de nombreux hommes, en saccageant et en pillant des villages slaves, en exposant toute cette violence extrême, et ici, la réalisation et le jeu d’acteur sont parfaitement maîtrisés et la devineresse arrive beaucoup trop tôt pour lui rappeler son vœu de vengeance, et s’ensuit alors sa capture… De plus, l’histoire est finalement assez cousue de fil blanc pour chaque spectateur. Et ce qui ne fonctionne pas est le reste du film, soit les 1h20 restantes, comme évoqué précédemment, où seul Alexander Skarsgard est convaincant mais le roi et le reine sont inexistants, on ne ressent ni peur ni émotion de ces personnages, et le dénouement met du temps à arriver.

    À voir ce que Robbert Eggers prépare pour la suite, soit une nouveau film poétique et minimaliste à l’instar d’un The Lightouse ou soit une nouvelle incursion hollywoodienne… à suivre, même s’il devrait adapter une nouvelle version de « Nosferatu » en compagnie d’Anya Taylor-Joy si tout se passe bien.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 836 abonnés 3 958 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 mai 2022
    Bon je crois que le cinéma de Robert Eggers c'est vraiment pas pour moi, c'est long, c'est mou, c'est pompeux, ça se prend au sérieux alors que c'est totalement con et surtout c'est poseur. Disons qu'on aurait pu avoir un film taciturne, âpre, rugueux, contemplatif... et qu'à la place on a des bastons nulles (90% des coups portés sont hors champ, on voit rien), des dialogues interminables (et minables tout court) sur fond de prophétie, je suis assez atterré parce que je viens de voir.

    En fait tout ça est inutilement long, ça prend mille détours, avec plein de personnages inutiles et pas développés pour un sous... (la fille... franchement... c'est quoi sa personnalité ?) Fais simple. Ton histoire c'est Hamlet, concentre toi sur ça, ça ne sert à rien d'étirer pendant 2h10 ton film si tu n'as rien à dire, rien à montrer, rien à faire ressentir. Parce que le seul moment où le film est un peu regardable c'est lorsqu'on a un ou deux plans sur l'Islande, avec une musique qui fait nordique en fond, ça a un peu de gueule. Mais le reste du temps on est dans le comble du cliché, les barbus chevelus qui tirent la tête, un peu de gore (mais pas trop, faudrait pas choquer la ménagère responsable des achats), un peu de cruauté (mais pas trop non plus).

    C'est un film sage, gentillet, convenu, ça plaira sans doute aux adolescents, mais cette incapacité à être jouissif, à filmer un combat qui soit plaisant à voir (ou bien atroce, qui remette en question ma propension à aller voir des actes de barbarie au cinéma) pour finir dans le comble du ridicule, avec des effets spéciaux partout dans le bruit et la fureur... C'est juste ridicule. On croirait le dernier God of War.

    Alors je vois bien que le film tente de raconter un truc autour de la famille, de la filiation, mais en vrai qu'est-ce-que ça dit de particulièrement intéressant, d'orignal, qui soit particulièrement bien amené ? Rien... bon...

    L'échec est à tous les niveaux, c'est un peu comme Green Knight, ça a l'air « joli », mais finalement ça n'a rien à proposer.
    L'homme sans nom
    L'homme sans nom

    142 abonnés 901 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 février 2023
    Plongée près de 1100 ans dans le passé pour retrouver le monde des vikings qui fascine toujours ! The Northman est un film dont le scénario, simple et très classique, est vu comme un prétexte pour mettre en scène une époque, un environnement totalement étrangers à ce que l'on connait. L'ambiance est particulièrement réussie, avec un réel soucis du détail historique en particulier dans la religion et les lieux de vie, même si les vikings sont encore représentés comme des bêtes sauvages (vision largement démantie par les historiens). 2h20 de grand spectacle où Alexander Skarsgård montre ses muscles dans un déchainement de violence, toujours très bien filmé (plusieurs plans séquences) et bien aidé par la BO grandiose qui rappelle parfois celle de Hans Zimmer. De l'action, de l'Histoire, un casting immense et une réalisation excellente: The Northman est un film à voir !
    Jipéhel
    Jipéhel

    34 abonnés 176 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 mai 2022
    Navet XXL

    Après l’impressionnant The Witch de 2016 et son étonnant et intimiste The Lighthouse, le moins qu’on puisse dire c’est que Robert Eggers était attendu au tournant. Après le huis clos d’un phare, rendez-vous avec la mer et les espaces du grand Nord. Le jeune prince Amleth vient tout juste de devenir un homme quand son père est brutalement assassiné par son oncle qui s'empare alors de la mère du garçon. Amleth fuit son royaume insulaire en barque, en jurant de se venger. Deux décennies plus tard, Amleth est devenu un berserkr, un guerrier viking capable d'entrer dans une fureur bestiale, qui pille et met à feu, avec ses frères berserkir, des villages slaves jusqu'à ce qu'une devineresse lui rappelle son vœu de venger son père, de secourir sa mère et de tuer son oncle. Il embarque alors sur un bateau pour l'Islande et entre, avec l'aide d'Olga, une jeune Slave prise comme esclave, dans la ferme de son oncle, en se faisant lui aussi passer pour un esclave, avec l'intention d'y perpétrer sa vengeance. Même si je ne nie pas la beauté des images et des paysages, pas plus que le soin apporté à la reconstitution minutieuse du monde de Vikings au 9ème siècle, je me suis copieusement ennuyé durant 137 minutes qui m’ont paru interminables. Ça éructe, ça grogne, ça étripe, à tout va. Vegan s’abstenir.
    Le savoir-faire d’Eggers n’est pas en cause. Fort d’un budget inédit pour lui de 90 millions de dollars, il nous en met plein la vue… enfin, quand on y voit quelque chose, car le moins qu’on puisse dire c’est que le chef de la photo n’a pas forcé sur les éclairages. L’image est aussi sombre que la psychologie des personnages. The Northman est le genre de film qui arrive rarement sur grand écran de nos jours. À l’heure actuelle, les cinémas diffusent soit des films indépendants à petit budget, soit des blockbusters formatés jusqu’à l’ennui. Là, on est à mi chemin de ces deux tendances avec du ciné créatif et à gros budget. Non, ce qui choque ici, c’est le vide abyssal du scénario d’un convenu rarement atteint – à part, il faut le dire, un twist un tantinet surprenant aux ¾ du film -. On suit donc péniblement le destin funèbre d’Amleth, figure de la mythologie nordique dont Shakespeare se serait inspiré pour la plus célèbre de ses tragédies. Admettons. Mais tout est ici basique et simpliste d’où le manque d’intérêt et d’empathie que l’on ressent pour ces personnages qui parlent un anglais teinté d’un pseudo accent nordique quand il ne dérivent pas vers un sabir dont je ne garantis pas l’authenticité. Disons que l’Aragorn du Seigneur des Anneaux ou le Luke Skywalker de Star Wars ont une autre allure que cette bête emplie de haine et de violence. Décevant.
    Côté casting, c’est du lourd. Alexander Skarsgård, fils de…, tout en muscles et en borborygmes portent le film sur ses épaules nues, totalement insensibles au froid glacial de l’hiver islandais. Face à lui, on retrouve les femmes de l’histoire, Nicole Kidman et Anya Taylor-Joy, qui ont l’avantage d’être reconnaissables contrairement à Ethan Hawke, William Dafoe, tellement sales et hirsutes, qu’ils finissent par passer inaperçus et même Björk, pour apparition plus qu’anecdotique. Tout ce petit monde s’agite au beau milieu des croyances, rites initiatiques, environnement, paysages, affublés de costumes – oripeaux le plus souvent -, d’accessoires, d’armes en rapport avec leurs fonctions sociales… L’ensemble est d’un réalisme sans faille. Le problème, c’est que tout ce fourbi est au service d’une histoire prévisible mettant en scène des personnages sans profondeur ni intensité. Qui frisent parfois la parodie. Mais, voilà, vous l’avez compris, le ton n’est pas du tout à la rigolade… alors son s’emm…
    gotein
    gotein

    6 abonnés 311 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 mai 2022
    L'idée de départ est excellente, l'époque suffisamment méconnue est captivante, les moyens sont importants, certaines scènes d'actions sont puissantes, et pourtant on reste sur sa faim. D'abord le personnage de Amleth adulte n'est pas enthousiasmant et moyennement sympathique, assez mutique , on aurait aimé une quête plus limpide qu'une vague vengeance sauvage sans queue ni tête. Ensuite son aurait aimé plus de souffle, plus d'aventures que cette vengeance en huis clos dans une ferme perdue, ce qui intéressait le spectateur c'était de savoir comment il aurait récupéré son trône et non son obsession pour son oncle et sa mère. Si Alexander Skarsgard est finalement peu charismatique c'est Anya Taylor Joy avec son physique particulier qui est la plus convaincante. Une déception malgré la beauté de certaines images.
    traversay1
    traversay1

    3 144 abonnés 4 634 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 mai 2022
    Long-métrage rime avec voyage et le 11 mai 2022 est à marquer d'une pierre blanche dans les salles avec des films venus du Japon, du Bhoutan, d'Australie, du Maroc, du Chili et de Bolivie, entre autres. Cerise sur le cadeau : ils sont, pour une grande majorité, plutôt bons. The Northman, de ce diable de Robert Eggers, pousse même plus loin le périple, sur les terres islandaises mais surtout loin dans le temps, quelques années avant l'an mille, aux basques des Vikings. A priori, c'est alléchant, plein de bruit et de fureur, sans doute, mais aussi atmosphérique, voire surnaturel. Alors, oui, du point de vue visuel, le projet a du répondant (la moindre des choses avec de tels paysages) mais le scénario qui laisse infuser un désir de vengeance avec les herbes de la bestialité et de la mythologie, n'a vraiment rien de consistant pour nous sustenter et étancher notre soif d'aventures pas trop téléguidées, si possible. Juste avant le Walhalla, qui n'attend pas, le héros nordique du film, prénommé Amleth (au cas où l'allusion shakespearienne n'aurait pas été saisie) n'a de cesse de poursuivre une loin du talion familiale, cuite et recuite, qui ne pourra s'exercer que par une violence tous azimuts et les femmes et les enfants ne seront pas épargnés. Dire que The Northman est d'une lourdeur incommensurable relève de l'euphémisme et ce ne sont les faux accents pris par ses interprètes (comme si rouler les "r" suffisait !) qui allègent le projet. Eggers avait vraisemblablement l'intention de s'amuser avec les codes du film de Vikings, et même de les exploser, mais cette envie de jouer ne se retrouve nulle part dans un récit qui se prend tellement au sérieux qu'il en devient même boursouflé, emphatique et parfois même ridicule.
    2985
    2985

    230 abonnés 936 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 mai 2022
    Personnellement j'avais trouvé The lighthouse de Robert Eggers bien réalisé mais inintéressant, ici le sujet de base l'es beaucoup plus, mais est au final très léger et simplet dans sa narration. Toujours bien réalisé dans des décors naturels faisant la part belle aux paysages islandais, ce n'es ni plus ni moins qu'un "revenge movie" classique mais manquant cruellement de punch dans son cheminement. Moins intense qu'un The revenant, moins aventureux qu'Apocalyto et pas aussi épique qu'un Braveheart ou Troie, puisque ne misant pas sur le réalisme et reconstitution pointue de l'époque un peu comme les films précédemment citées, le fillm aurait pût se permettre plus de folie que de s'enliser dans cette direction convenue et prévisible en tout point. Reste là direction artistique de qualité ainsi que les acteurs globalement, mais il n'en reste pas grand-chose à la fin du visionnage, aucune émotions quelconque ou scènes réellement marquantes.
    Julien Chevillard
    Julien Chevillard

    162 abonnés 181 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 mai 2022
    the nortman ou l homme du nord par le realisateur de the witch le tournage du film a eu lieu en Irlande et Islande
    La musique du film est composée par Robin Carolan et Sebastian Gainsborough , le film est basé sur la légende de amleth
    les sagas des Islandais sont des récits en prose, s’intéressant principalement à la vie et aux faits et gestes de personnages ayant existé, Robert Eggers a fait appel à trois experts pour l'écriture du scénario spoiler: La scène finale du film a été tournée dans la carrière de Boghill, à l'ouest de Irlande.
    Le tournage a eu lieu par des températures glaciales Toutes les armes de The Northman ont été façonnées à la main donc 750 tenues d’homme et 430 tenues de femme
    si vous avez aimé GOT et la serie vikings pret a l abordage avec les vikings du nord
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