Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
37 critiques presse
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
S'inscrivant pleinement dans la démarche de Robert Eggers [...], ce troisième long métrage est donc une œuvre aussi froide qu'incarnée, aussi spectaculaire qu'érudite, aussi exigeante que passionnante. Et la plus nette réussite d'un auteur qui se montre enfin capable de canaliser réellement l'énergie de son cinéma alors même qu'il s'agit paradoxalement de son film le plus viscéral.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Robert Eggers signe avec "The Northman" une tragédie viking barbare et surnaturelle, d’une beauté stupéfiante et d’une violence inouïe. Un récit de vengeance sanglant, dont Alexander Skarsgard est le héros.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Robert Eggers nous étonne une fois de plus, comme David Fincher dans les années 90, qui tirait sur d’autres cordes, sujets et images. Ils se retrouvent dans une poétique au croisement du réel et des mythes, sous une forme inédite, voire kubrickienne. Magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Héros et légende, Amleth est un géant solitaire que transcende avec une force de jeu extraordinaire Alexander Skarsgard.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpeche
Toujours aussi radical et extrême, Robert Eggers atteint une virtuosité et une ampleur dans la mise en scène qui emporte tout sur son passage, magnifiée par la photographie crépusculaire à la hauteur de l’ambiance sonore impressionnante.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Journal du Geek
par Allan Blanvillain
Entre sauvagerie et rêverie, le long-métrage se présente comme un conte rude, animal, mélancolique qui fascine autant qu'il secoue. C'est un film dont le goût âpre se révèle délicieux en bouche. Peut-on encore dire que Robert Eggers est un réalisateur qui monte ? Non, The Northman vient définitivement célébrer un réalisateur qui compte.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Mad Movies
par Laurent Duroche
The Northman est bel et bien une grande élégie barbare qui investit tous les champs du possible cinématographique avant autant de subtilité que de générosité.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Après le non moins génial The Lighthouse, Robert Eggers s’affirme comme un immense réalisateur avec une œuvre tout autant épique, baroque que fantastique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
Une fresque spectaculaire et envoûtante.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Robert Eggers confirme qu’il est un cinéaste essentiel avec ce film de Vikings exigeant et spectaculaire.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Filmsactu
par Olivier Portnoi
Rogert Eggers, secondé par le romancier Sjorn, compatriote de Björk, abandonne les huit clos de ses films passés pour un film qui certes divisera (on est loin du confort divertissant des blockbusters traditionnels hollywoodiens) mais marquera les esprits à la hache.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
GQ
par Adam Sanchez
The Northman pèche sans doute par excès de gourmandise, s'étirant parfois inutilement (le film dépasse la barre des deux heures quinze), mais reste un bonheur de spectacle hollywoodien, dans ce qu'il peut avoir de plus démesuré et insensé.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Ecran Fantastique
par Nathanaël Bentura
Le troisième film de Robert Eggers est une immense réussite. Le cinéaste américain délaisse l’horreur graphique et psychologique pour un drame ultra-violent, sans pour autant mettre de côté son style très désaturé et empli d’ésotérisme.
L'Obs
par Nicolas Schaller
POUR : Ça hurle, ça sue, ça saigne sur deux heures et quart. Radical et fascinant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par David Ezan
The Northman vaut comme un tout : non pas film sur les Vikings, mais plongée dans leur intériorité, qui implique un autre rapport au temps et aux choses.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Des visions ponctuent l’intrigue. Elles ne sont pas forcément nécessaires. Mais pourquoi tordre le nez devant cet ouragan de couleurs et de violence, cette odyssée en peaux de bête?
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Surtout, Alexander Skarsgård impressionne en Amleth, monstre de virilité tout en muscles et cheveux longs, cruel et sanguinaire cachant un héros sensible avec un gros cœur qui bat.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Philippe Guedj
Un spectacle parfois éprouvant, souvent planant, toujours éblouissant.
Ouest France
par Sylvestre Picard
Un prince viking voit son père se faire tuer par son usurpateur d'oncle. Des années plus tard, brutalement formé à la guerre, il va chercher vengeance. Voilà, il n'y rien de bien original dans l'intrigue de The Northman, mais il ne manque pas de muscles, ni surtout de visions affolantes orchestrées par son réalisateur.
Télé 2 semaines
par E. Le
Un film captivant, autant par son esthétique et sa mise en scène audacieuses que par sa distribution, avec un Alexander Skarsgård sauvage.
Télé Loisirs
par Émilie Léoni
Beau et brutal, saisissant et viscéral, le film captive autant par son esthétique et sa mise en scène audacieuses que par sa distribution, dont un Alexander Skarsgard très animal.
Voici
par Daniel Blois
The Northman, c'est un casting de stars, une reconstitution historique soignée, et une mise en scène impressionnante. Avec un petit truc en plus : il a à la fois l'exigence des films d'art et essai et la générosité des grands spectacles populaires.
L'Humanité
par Cyprien Caddeo
Parfois poseur – c’est sa limite –, The Northman esquisse néanmoins la possibilité d’un autre genre de blockbusters, avec un budget moins stéroïdé et une vraie patte d’auteur. Salvateur à l’heure des navets standardisés ou marvélisés vomis par les chaînes de production d’Hollywood.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Robert Eggers se lance dans une grande fresque épique avec Alexander Skarsgård. L’ensemble est exactement ce qu’on pouvait espérer... et pas assez.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Sylvestre Picard
Cette histoire de vengeance longtemps mûrie par un guerrier solitaire et mutique est trop classique pour surprendre de la part de l’auteur de The Lighthouse, mais l’ensemble, avec ses visions parfois dingo a quand même une sacrée gueule par rapport au tout-venant de cette « vikingsploitation » qui envahit tous nos écrans.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Robert Eggers signe une épopée nordique avec Alexander Skarsgård et Nicole Kidman. De la fureur et du sang, de la magie et de l’action. Spectaculaire.
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Le cinéaste compense le classicisme d’un récit rebattu (trahison, héritage) par d’étonnantes envolées oniriques et déploie une mise en scène majestueuse d’une puissance sidérante.
Critikat.com
par Josué Morel
The Northman est un film très vide et conscient de l’être ; on appelle ça communément un « exercice de style », une expression élégante pour qualifier les mises en scène qui s’agitent beaucoup pour rien.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Murielle Joudet
On sent, chez le cinéaste, le désir fou de redonner ses lettres de noblesse au grand spectacle hollywoodien, de le pirater en y insufflant l’énergie noire de la radicalité. Mais sa mise en scène s’épuise en vaines contorsions.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Transfuge
par Corentin Destefanis
Ce cinéma érigeant l’expérience comme valeur absolue ne ménage aucune autre place pour son spectateur que celle d’un touriste de l’audiovisuel, éreinté par cette ponti"ante immersion en réalité historique augmentée.
Télérama
par Marie Sauvion
Cette dimension fantastique, calquée sur les croyances des personnages, appauvrit considérablement les enjeux du récit, déjà mince.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Ce cinéma de l’expérience ne sait se justifier qu’en rappelant en permanence les règles gouvernant son récit. D’où le sentiment non pas d’une pure sensation mais d’une virée cyclique, d’une progression sisyphéenne qui bute en permanence contre sa propre limite (...).
L'Obs
par Xavier Leherpeur
CONTRE : Ouverture sentencieuse, jeu inexpressif de Nicole Kidman, délires visuels d’un directeur de la photographie visiblement sous opiacés… Et tout cela pour la modique somme de 90 millions de dollars. La crise du cinéma ? Quelle crise ?
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Echos
par Olivier De Bruyn
En retraçant le parcours vengeur, sur fond de Xe siècle, d'un héros nordique sanguinaire en quête de ses origines familiales, Robert Eggers, dans ce film boursouflé et trop long, enchaîne les scènes horrifiques avec une délectation qui risque fort de ne séduire que ses fans les plus indulgents.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Quand on se met à regarder derrière l’impressionnante figure en carton-pâte qu’est The Northman, on est consterné par la bêtise du film, qui n’est finalement qu’une sorte de remake luxueux du déjà raté Valhalla Rising de Refn.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Lamm
Un film impérialement creux, et con, tonitruant en dépit du bon sens, un alignement de scènes what the fuck [...] qui se rêve sans doute un remède à notre culture flippée sur les sujets de la violence, de l’identité et de la masculinité, mais qui ne dépasse jamais tous ces films qu’il entend corriger, les films si bas du front, si limités, si commerciaux du grand roi Disney.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Grégory Valens
On ne sait en définitive ce qui est le plus pénible : devoir se farcir de complaisantes séquences de tortures et de massacres, ou entendre Nicole Kidman balancer à Alexander Skarsgård : « You arrre just likkke yourrr fatherrr ! »
Culturopoing.com
S'inscrivant pleinement dans la démarche de Robert Eggers [...], ce troisième long métrage est donc une œuvre aussi froide qu'incarnée, aussi spectaculaire qu'érudite, aussi exigeante que passionnante. Et la plus nette réussite d'un auteur qui se montre enfin capable de canaliser réellement l'énergie de son cinéma alors même qu'il s'agit paradoxalement de son film le plus viscéral.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Robert Eggers signe avec "The Northman" une tragédie viking barbare et surnaturelle, d’une beauté stupéfiante et d’une violence inouïe. Un récit de vengeance sanglant, dont Alexander Skarsgard est le héros.
Franceinfo Culture
Robert Eggers nous étonne une fois de plus, comme David Fincher dans les années 90, qui tirait sur d’autres cordes, sujets et images. Ils se retrouvent dans une poétique au croisement du réel et des mythes, sous une forme inédite, voire kubrickienne. Magnifique.
Le Dauphiné Libéré
Héros et légende, Amleth est un géant solitaire que transcende avec une force de jeu extraordinaire Alexander Skarsgard.
Le Journal du Dimanche
Toujours aussi radical et extrême, Robert Eggers atteint une virtuosité et une ampleur dans la mise en scène qui emporte tout sur son passage, magnifiée par la photographie crépusculaire à la hauteur de l’ambiance sonore impressionnante.
Le Journal du Geek
Entre sauvagerie et rêverie, le long-métrage se présente comme un conte rude, animal, mélancolique qui fascine autant qu'il secoue. C'est un film dont le goût âpre se révèle délicieux en bouche. Peut-on encore dire que Robert Eggers est un réalisateur qui monte ? Non, The Northman vient définitivement célébrer un réalisateur qui compte.
Mad Movies
The Northman est bel et bien une grande élégie barbare qui investit tous les champs du possible cinématographique avant autant de subtilité que de générosité.
aVoir-aLire.com
Après le non moins génial The Lighthouse, Robert Eggers s’affirme comme un immense réalisateur avec une œuvre tout autant épique, baroque que fantastique.
20 Minutes
Une fresque spectaculaire et envoûtante.
CinemaTeaser
Robert Eggers confirme qu’il est un cinéaste essentiel avec ce film de Vikings exigeant et spectaculaire.
Filmsactu
Rogert Eggers, secondé par le romancier Sjorn, compatriote de Björk, abandonne les huit clos de ses films passés pour un film qui certes divisera (on est loin du confort divertissant des blockbusters traditionnels hollywoodiens) mais marquera les esprits à la hache.
GQ
The Northman pèche sans doute par excès de gourmandise, s'étirant parfois inutilement (le film dépasse la barre des deux heures quinze), mais reste un bonheur de spectacle hollywoodien, dans ce qu'il peut avoir de plus démesuré et insensé.
L'Ecran Fantastique
Le troisième film de Robert Eggers est une immense réussite. Le cinéaste américain délaisse l’horreur graphique et psychologique pour un drame ultra-violent, sans pour autant mettre de côté son style très désaturé et empli d’ésotérisme.
L'Obs
POUR : Ça hurle, ça sue, ça saigne sur deux heures et quart. Radical et fascinant.
La Septième Obsession
The Northman vaut comme un tout : non pas film sur les Vikings, mais plongée dans leur intériorité, qui implique un autre rapport au temps et aux choses.
Le Figaro
Des visions ponctuent l’intrigue. Elles ne sont pas forcément nécessaires. Mais pourquoi tordre le nez devant cet ouragan de couleurs et de violence, cette odyssée en peaux de bête?
Le Parisien
Surtout, Alexander Skarsgård impressionne en Amleth, monstre de virilité tout en muscles et cheveux longs, cruel et sanguinaire cachant un héros sensible avec un gros cœur qui bat.
Le Point
Un spectacle parfois éprouvant, souvent planant, toujours éblouissant.
Ouest France
Un prince viking voit son père se faire tuer par son usurpateur d'oncle. Des années plus tard, brutalement formé à la guerre, il va chercher vengeance. Voilà, il n'y rien de bien original dans l'intrigue de The Northman, mais il ne manque pas de muscles, ni surtout de visions affolantes orchestrées par son réalisateur.
Télé 2 semaines
Un film captivant, autant par son esthétique et sa mise en scène audacieuses que par sa distribution, avec un Alexander Skarsgård sauvage.
Télé Loisirs
Beau et brutal, saisissant et viscéral, le film captive autant par son esthétique et sa mise en scène audacieuses que par sa distribution, dont un Alexander Skarsgard très animal.
Voici
The Northman, c'est un casting de stars, une reconstitution historique soignée, et une mise en scène impressionnante. Avec un petit truc en plus : il a à la fois l'exigence des films d'art et essai et la générosité des grands spectacles populaires.
L'Humanité
Parfois poseur – c’est sa limite –, The Northman esquisse néanmoins la possibilité d’un autre genre de blockbusters, avec un budget moins stéroïdé et une vraie patte d’auteur. Salvateur à l’heure des navets standardisés ou marvélisés vomis par les chaînes de production d’Hollywood.
Les Fiches du Cinéma
Robert Eggers se lance dans une grande fresque épique avec Alexander Skarsgård. L’ensemble est exactement ce qu’on pouvait espérer... et pas assez.
Première
Cette histoire de vengeance longtemps mûrie par un guerrier solitaire et mutique est trop classique pour surprendre de la part de l’auteur de The Lighthouse, mais l’ensemble, avec ses visions parfois dingo a quand même une sacrée gueule par rapport au tout-venant de cette « vikingsploitation » qui envahit tous nos écrans.
Sud Ouest
Robert Eggers signe une épopée nordique avec Alexander Skarsgård et Nicole Kidman. De la fureur et du sang, de la magie et de l’action. Spectaculaire.
Télé 7 Jours
Le cinéaste compense le classicisme d’un récit rebattu (trahison, héritage) par d’étonnantes envolées oniriques et déploie une mise en scène majestueuse d’une puissance sidérante.
Critikat.com
The Northman est un film très vide et conscient de l’être ; on appelle ça communément un « exercice de style », une expression élégante pour qualifier les mises en scène qui s’agitent beaucoup pour rien.
Le Monde
On sent, chez le cinéaste, le désir fou de redonner ses lettres de noblesse au grand spectacle hollywoodien, de le pirater en y insufflant l’énergie noire de la radicalité. Mais sa mise en scène s’épuise en vaines contorsions.
Transfuge
Ce cinéma érigeant l’expérience comme valeur absolue ne ménage aucune autre place pour son spectateur que celle d’un touriste de l’audiovisuel, éreinté par cette ponti"ante immersion en réalité historique augmentée.
Télérama
Cette dimension fantastique, calquée sur les croyances des personnages, appauvrit considérablement les enjeux du récit, déjà mince.
Cahiers du Cinéma
Ce cinéma de l’expérience ne sait se justifier qu’en rappelant en permanence les règles gouvernant son récit. D’où le sentiment non pas d’une pure sensation mais d’une virée cyclique, d’une progression sisyphéenne qui bute en permanence contre sa propre limite (...).
L'Obs
CONTRE : Ouverture sentencieuse, jeu inexpressif de Nicole Kidman, délires visuels d’un directeur de la photographie visiblement sous opiacés… Et tout cela pour la modique somme de 90 millions de dollars. La crise du cinéma ? Quelle crise ?
Les Echos
En retraçant le parcours vengeur, sur fond de Xe siècle, d'un héros nordique sanguinaire en quête de ses origines familiales, Robert Eggers, dans ce film boursouflé et trop long, enchaîne les scènes horrifiques avec une délectation qui risque fort de ne séduire que ses fans les plus indulgents.
Les Inrockuptibles
Quand on se met à regarder derrière l’impressionnante figure en carton-pâte qu’est The Northman, on est consterné par la bêtise du film, qui n’est finalement qu’une sorte de remake luxueux du déjà raté Valhalla Rising de Refn.
Libération
Un film impérialement creux, et con, tonitruant en dépit du bon sens, un alignement de scènes what the fuck [...] qui se rêve sans doute un remède à notre culture flippée sur les sujets de la violence, de l’identité et de la masculinité, mais qui ne dépasse jamais tous ces films qu’il entend corriger, les films si bas du front, si limités, si commerciaux du grand roi Disney.
Positif
On ne sait en définitive ce qui est le plus pénible : devoir se farcir de complaisantes séquences de tortures et de massacres, ou entendre Nicole Kidman balancer à Alexander Skarsgård : « You arrre just likkke yourrr fatherrr ! »