Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Culturopoing.com
par Danielle Lambert
En poussant la porte des uns et des autres, en partageant ces moments d’humanité entre hommes de passage et hommes passeurs, dignes et humbles, d’une simplicité belle à pleurer, la tentation est grande d’imaginer un monde à l’image de ce monde, de se laisser gagner par cette philosophie pétrie d’empathie.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
À travers les témoignages de migrants et d’habitants de la vallée de la Roya leur venant en aide, Jean-Boiron-Lajoux nous invite à quitter nos présupposés afin de mieux pénétrer la complexité du phénomène opposant la liberté d’être au droit. Édifiant, humain, intelligent.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un documentaire militant digne et nuancé.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par François Forestier
Empreint de bienveillance, le film de Jean Boiron-Lajous fait écho à la générosité, à la solidarité des autochtones avec ces hommes et femmes venus du bout du monde. Témoignages, récits, sagesse immémoriale (« Qui fait la loi ? » demande un Africain avec sérénité) s’entremêlent dans ce reportage choral (deux ans de tournage).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Ouest France
par La Rédaction
Scolaire dans sa facture, mais puissant et lucide dans son discours.
Télérama
par Jérémie Couston
La parole de ces citoyens ordinaires se superpose aux images de leur quotidien de passeurs malgré eux. Élégante façon de montrer que leurs actions priment sur tout le reste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le réalisateur est allé à la rencontre de certains de ces habitants ainsi que de ces réfugiés. Il en ressort un film qui fait place à l’impératif de l’humanité, mais dont le sujet fut récemment abordé dans Libre (2018), de Michel Toesca, centré autour de la figure totémique de Cédric Herrou.
Première
par Christophe Narbonne
Scolaire dans sa forme (différentes voix off se superposent à des images assez banales), Paroles de bandits pointe justement les problèmes humanitaires soulevés par les demandeurs d’asile. Il s’achève sur un témoignage lucide et puissant d’un migrant. Face caméra cette fois.
La critique complète est disponible sur le site Première
Culturopoing.com
En poussant la porte des uns et des autres, en partageant ces moments d’humanité entre hommes de passage et hommes passeurs, dignes et humbles, d’une simplicité belle à pleurer, la tentation est grande d’imaginer un monde à l’image de ce monde, de se laisser gagner par cette philosophie pétrie d’empathie.
Les Fiches du Cinéma
À travers les témoignages de migrants et d’habitants de la vallée de la Roya leur venant en aide, Jean-Boiron-Lajoux nous invite à quitter nos présupposés afin de mieux pénétrer la complexité du phénomène opposant la liberté d’être au droit. Édifiant, humain, intelligent.
aVoir-aLire.com
Un documentaire militant digne et nuancé.
L'Obs
Empreint de bienveillance, le film de Jean Boiron-Lajous fait écho à la générosité, à la solidarité des autochtones avec ces hommes et femmes venus du bout du monde. Témoignages, récits, sagesse immémoriale (« Qui fait la loi ? » demande un Africain avec sérénité) s’entremêlent dans ce reportage choral (deux ans de tournage).
Ouest France
Scolaire dans sa facture, mais puissant et lucide dans son discours.
Télérama
La parole de ces citoyens ordinaires se superpose aux images de leur quotidien de passeurs malgré eux. Élégante façon de montrer que leurs actions priment sur tout le reste.
Le Monde
Le réalisateur est allé à la rencontre de certains de ces habitants ainsi que de ces réfugiés. Il en ressort un film qui fait place à l’impératif de l’humanité, mais dont le sujet fut récemment abordé dans Libre (2018), de Michel Toesca, centré autour de la figure totémique de Cédric Herrou.
Première
Scolaire dans sa forme (différentes voix off se superposent à des images assez banales), Paroles de bandits pointe justement les problèmes humanitaires soulevés par les demandeurs d’asile. Il s’achève sur un témoignage lucide et puissant d’un migrant. Face caméra cette fois.