Entre monde réel et monde imaginaire, ce film n’est pas sans rappeler Roger Rabbit. Les petits et les grands passeront des moments de rires et touchants.
Une belle histoire touchante et originale servi par un bon casting. Il manque cependant un "je ne sais quoi" pour en faire un excellent film. Il manque un peu de magie, ou d'empathie pour les personnages. Chaque personnage animé est une excellente trouvaille, très réussie.
Le casting est bon et chouette ! On y retrouve Ryan Reynolds et la petite Judith de "The Walking Dead" (Cailey Fleming). Et tous les amis imaginaires sont tous diversifiés, fantastiques et hauts en couleur.
Quant au film, il est très bon enfant. Il est mignon, touchant et très familial. Il touche divers sujets comme l'imagination et la famille, mais aussi la vie et la mort.
On passe un moment tendre et rêveur avec ce métrage. Il est très attendrissant, il conviendra à toute la famille sans problème.
Ce film est une belle surprise. C'est une sorte de conte poétique avec une histoire bien trouvée sur les Amis Imaginaires. Le film est drôle et touchant. Les effets spéciaux sont réussis. La fille joue super bien et le casting est réussi jusqu'au voix des personnages imaginaires. Un film familiale qui plaira aux petits comme aux grands.
Un film que de vue je n’aurais pas regarder mais avec des avis de mon entourage que l’actrice principale été dedans et déjà connue pour une série ( The Walking Dead ) alors c’est un OUi !
Une bande-annonce totalement baclée qui ne décrit pas du tout le film auquel on a droit. Après avoir entendu des critiques très positives, je suis allé le voir et c'est un vrai grand plaisir, pour les grands, et les plus jeunes. Une belle histoire, douce et nostalgique qui apporte du bonheur et de la félicité.
Ce film c'est un peu l'imagination à l'état brut référence à Harvey film de 1950 avec James Stewart dont on voit quelques images au début. C'est farfelu, assez joli souvent sympathique parfois mais très sentimentaliste, un peu trop car on s'y perd et cela devient assez creux à certains moments.
Très bonne histoire mais trop long à mon goût après beaucoup incohérences niveau scénario quand les gens retrouvent leur amis imaginaire exemple (il en a qui mette tu temps en sans rappeler et d autres non ces instantané) Après le plus gros point négatif ces les images au début qui pour moi flotte Après ces mieux enfin très bon film.
“Blue & Compagnie” est une tentative charmante mais inégale de mêler fantaisie et réalité dans une comédie familiale. Réalisé par John Krasinski, le film suit les aventures de Bee, une jeune fille capable de voir les amis imaginaires des autres. Avec Mylène Farmer prêtant sa voix au personnage de Blossom, le film avait de belles promesses, mais peine à les tenir pleinement.
L’un des atouts du film réside dans son animation colorée et ses personnages imaginaires inventifs. Chaque ami imaginaire est unique et apporte une certaine dose de magie à l’écran. Mylène Farmer, en tant que Blossom, apporte une performance vocale douce et captivante, ajoutant une touche de charme au personnage.
Cependant, malgré ses qualités visuelles, le film souffre d’un scénario qui manque de profondeur et d’originalité. Les enjeux sont relativement faibles, et le développement des personnages principaux reste superficiel. Bee, l’héroïne, bien que sympathique, n’évolue pas suffisamment au cours de l’histoire pour susciter un véritable attachement du public.
À la frontière de l’animation et du film réel, ce film raconte l’histoire des amis imaginaires de nos enfances et oubliés. C’est tendre et sympathique mais un peu léger.
Après l'horreur, John Krasinski s'attaque au conte familial fantastique. Bien que ce ne soit pas le même genre, on sent comme une baisse de qualité côté scénario. Blue & Compagnie est un joli film, touchant et sincère. Il manque cependant d'un petit quelque chose. Un peu plus d'émotions, d'enjeux pour espérer un peu plus d'implication de la part du spectateur.
Le cœur y est, notamment en introduction lorsque l'on découvre la passion de l'héroïne, Béa. Là où c'est l'âge qui éloignait les personnages de leurs jouets/ hobby dans Toy Story ici, c'est un drame qui déclenche tout. Seulement, il est mis en retrait au point de devenir secondaire voire anecdotique. On ne voit pas de lien avec les amis imaginaires (AI) du récit si n'est qu'ils veulent (re)trouver un "ami réel". Ok, mais quel est le rapport avec ce drame ? Comment tout cela est-il lié ? Dans le même temps, la quête de Béa et Cal (Ryan Reynolds) semble dépourvue de motivation.
C'est un peu dommage car l'émotion qui aurait dû provenir de cet événement marquant est délaissée au profit d'une aventure quelque peu banale sous couvert de raccourcis concernant les AI (spoiler : spoiler: la "propriétaire" d'un AI abandonné se trouve comme par hasard être la grand-mère de Béa ). Pourtant, John Krasinski avait parfaitement réussi à mêler émotion et horreur dans Sans un bruit. On comprend le sens mais c'est un peu maladroit pour y croire pleinement.
Blue & Compagnie reste néanmoins très sympathique. Il emporte l'adhésion et montre une fois de plus la bienveillance et l'espoir qui animent les histoires de son réalisateur, bien aidé par une superbe partition de Michael Giacchino.
Premier film de ma soirée d’hier, étonnamment agréablement surpris car j’ai été touché par le récit et la réalisation de Krasinski, une belle surprise, puis Renolds m’a convaincue ici. Son défaut reste majoritairement la CGI qui est immonde, c’est rattrapé par plusieurs points à côté.