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Yoan Lhe
6 abonnés
20 critiques
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2,0
Publiée le 28 octobre 2024
On notera les chouettes efforts d’animations, féeriques et mignons, mais vraiment une histoire d’un ennui terrible… et bien plus triste qu’elle n’avait besoin d’être, si on creuse.
Lorsque ce film est sortie au cinéma, il ne m’a pas du tout inspiré confiance d’aller dépenser mon argent pour aller le voir. Hier soir finalement je me suis laissée tenter et l’ai regardé avec ma famille en me disant de ne pas me fier aux apparences. Et bien ce que j’ai retenu de ce film c’est que les premières impressions sont toujours les bonnes. Ce film était aussi nul que prévu que ce soit dans les dialogues, le scénario et même dans le jeu d’acteur qui était soit mal joué soit inexpressif. Franchement un conseil : dépenser votre argent dans quelque chose de plus utile que cette bouse !
Nous avons regardé ce film en famille, avec l’espoir d’ dénicher la pépite dont on nous avait parlé. Les cinq premières minutes furent plutôt une belle surprise. Puis petit à petit, le film s’est engouffrer dans ce que le cinéma américain pour enfants a de plus mièvre. Scénario, incompréhensible pour les enfants, personnage, moyennement attachants, Construction biscornu pour terminer le film sur une touche pleine de pathos et de guimauve. Les enfants n’ont Paris et sont sorties du film avec une amère. Impression de déjà-vu mais en moins bien. Les critiques ditirambiques Sur ce film, et ce, malgré les voix de deux acteurs très connus, n’ont pas convaincu, mes kids.
If confond plusieurs films américains déjà existants : Monsters, Inc. (Pete Docter, 2002) et Coco (Lee Unkrich et Adrian Molina, 2017) pour la nécessité rencontrée par d’anciens amis imaginaires de reconquérir leur enfant respectif, sans quoi ils viendraient à disparaître dans l’oubli, Big Fish (Tim Burton, 2003) pour l’éloge de la fiction à même de raccorder les adultes à l’émerveillement et à l’espoir, The BFG (Steven Spielberg, 2016) enfin pour son travail sur les échelles rassemblant humains et créatures numériques ainsi que pour sa photographie magnifique que signe d’ailleurs Janusz Kamiński, fidèle collaborateur de Spielberg. Ce pot-pourri d’influences donne lieu à un film impersonnel dont la poésie demeure théorique, c’est-à-dire de l’ordre de l’intention scénaristique ; à l’écran, rien n’advient, la faute à des séquences prévisibles qui énumèrent les clichés et les facilités narratives. Non, en réalité une poésie naît bien de tout cela, due exclusivement à la partition musicale de Michael Giacchino : ce dernier sauve le long métrage par sa créativité et son allégresse – ce n’est pas la première fois d’ailleurs ! –, confère à l’ensemble une authenticité tout autant portée par les thèmes que par les instruments choisis. John Krasinski confirme son statut de réalisateur et de comédien médiocres, quoique plus supportable que le trublion Ryan Reynolds ici déguisé en clown triste.
Blue et Compagnie est un film familial touchant, rappelant l’esprit de Toy Story 3. On y retrouve un Ryan Reynolds attendrissant, apportant une douce sincérité à son personnage. Le film réchauffe le cœur et nous rappelle l'importance de garder une part de notre âme d'enfant, même en grandissant.
Les aventures des personnages sont pleines de moments de complicité et de tendresse, et bien que certains passages soient abordés avec légèreté pour rester accessibles aux plus jeunes, le message reste fort et universel. La fin, certes prévisible, s’inscrit parfaitement dans la continuité de ce genre de récit, où les émotions sont au centre et où l'on finit par se laisser emporter avec plaisir. Attendez-vous à quelques larmichettes.
A l'encontre de toutes ces critiques qui parlent d'un beau spectacle pour petits et grands, je trouve clairement ce film niais et à 100% destiné aux enfants. J'ai vu plein d'autres films sur le thème des amis imaginaires (basés sur la perte d'un parent) où on s'amusait bien plus que dans ce carnaval de créatures où Ryan Reynolds fait le clown tout en gardant son agaçant visage inexpressif au regard vide.
Pâle imitation de Monstres et Cie. Le film ne parvient pas à éviter une certaine mievrerie continuelle. C'est téléphoné donc très vite ennuyant. C'est pour les gosses donc on tire les grosses ficelles scenaristiques et on regarde cela un peu affligé. Ryan Reynolds se demande sans cesse ce qui fait dans ce film et ça se voit. Seul petit truc sympa : le petit twist à la fin. Pâle imitation de Monstres et Cie. Le film ne parvient pas à éviter une certaine mievrerie continuelle. C'est téléphoné donc très vite ennuyant. C'est pour les gosses donc on tire les grosses ficelles scenaristiques et on regarde cela un peu affligé. Ryan Reynolds se demande sans cesse ce qui fait dans ce film et ça se voit. Seul petit truc sympa : le petit twist à la fin.
Peut-être est-ce parce que les acteurs ont toujours l’air empruntés lorsqu’ils doivent jouer face à une balle de tennis dont on leur a dit qu’elle serait un chien volant à l’écran…mais en tout cas, dans les films qui mêlent acteurs réels et créatures numériques, lac règle veut que plus les créatures en question sont éloignées de tout anthropomorphisme et ont une dégaine enfantine, moins la pilule passe. Ici, on ne sait pas trop pourquoi, surtout qu’il y a de grosses bébêtes à poils mauves, des filles-abeilles sorties d’un Silly Symphonies, des blobs, des petites souris et des licornes, mais ça passe plutôt bien. John Krasinski avait jusqu’à présent tourné deux (bons) films d’horreur, et vient de passer sans crier gare à la superproduction familiale. Malgré la base de travail - une pré-ado a le pouvoir de voir les amis imaginaires esseulés - Krasinski se débrouille pour ne pas rendre le tout trop hystérique, peut-être parce qu’au-delà de sa facture de grande parade de monstres gentils, ‘Blue et compagnie’ essaie de toucher aussi les adultes en les invitant à ne pas perdre leur âme d’enfant. Incidemment, ‘Blue et compagnie’ met en avant presque les mêmes idées que le récent film d’animation “L’imaginaire” des studios Ponoc. Comme il est aussi plus proche des goûts mondialisés du public, on ne manquera pas d’établir un rapprochement avec quelque chose comme ‘Vice-versa’ et, au-delà, avec les thématiques de prédilection des productions Pixar, après lesquelles il court sans vraiment parvenir à les atteindre. Ce n’est pas la faute des scénaristes ou du réalisateur : simplement, un film en prise de vues réelles force davantage un point de vue imposé que l’animation, et ne peut donc générer de l’émotion que si le spectateur se situe précisément sur la même longueur d’onde. Ceci dit, ‘Blue & compagnie’ parvient en grande partie à éviter d’être aussi insupportable que le sont en général les grosses productions familiales de cet acabit, dont il parvient à s’approprier la plupart des qualités sans embarquer tous leurs défauts dans la foulée.
Même si c'est naïf, c'est sincère; certaines séquences sont magiques, les images sont merveilleuses, le scénario fonctionne, Krasinski s'est réservé le meilleur rôle, celui du père.
Un voyage au pays des AI que l’on abandonne. Ce film nous fais revenir dans notre enfance, les AI sont tous différents qui montre la créativité et l’imagination de chaque enfant et où chaque AI répond à un problème
Très bon film avec plein de bons sentiments fait pour les enfants ( petits et grands ) à partir de 10 ans bien sur . L'actrice principale Cailey Fleming ( que j'ai connu grâce à la série the walking dead ) est vraiment génial et mérite d'être de plus en plus connu , Ryan Reynolds est super dans son rôle et pour finir John Krasinski ( qui joue le rôle du père de L'actrice principale ) à vraiment bien géré sa réalisation ( car il faut savoir que c'est lui même qui réalise ce film ) . Je n'ai vraiment pas était déçu de ce film . Si vous souhaitez voir un film plein de bons sentiments qui ravive votre âme d'enfant regardez blue et compagnie ( if est le titre original ) . Bon film à vous , bonne soirée et profitez bien .
If (ou blue et cie) est une petite comédie sympathique sur la préservation de sa part d'enfance. On y suit le personnage plutôt attachant de Béa. À ses côtés, on découvre de nombreux amis imaginaires plutôt drôles et hauts en couleur.
L'ambiance et les gags fonctionnent plutôt bien et nous délivre une petite histoire sympathique et émouvante qui se regarde avec plaisir, même s'il ne restera pas gravée dans ma mémoire pour longtemps.
Un film familial touchant, émouvant et drôle. Les enfants apprécieront les personnages colorés tandis que les adultes profiteront d'un rappel à l'enfance. La scène du remodelage de l'hôtel / maison de retraite est particulièrement réussie.
Même en considérant le jeune public auquel il s'adresse, ce film me semble porteur de valeurs particulièrement conservatrices et en même temps quelque peu narcissiques. A éviter