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    Blue & Compagnie
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    159 critiques spectateurs

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    Fiers R.
    Fiers R.

    104 abonnés 435 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 mai 2024
    En voilà un sacré grand écart pour l’acteur devenu réalisateur John Krasinski! L’instigateur de la saga à succès « Sans un bruit », au concept horrifique et science-fictionnel simple, efficace et génial, a préféré laisser la mise en scène du troisième épisode (un antépisode) à un autre pour s’atteler à celle d’un film pour toute la famille. Et le projet était, à la base, plutôt excitant il faut l’avouer. Entre le mélange de prises de vues réelles et de personnages animés et une histoire qui planche sur les amis imaginaires des enfants, il y avait de quoi nous livrer un petit bijou du genre pour petits et grands alliant le merveilleux et une belle réflexion sur l’enfance. Malheureusement les meilleures intentions, aussi louables et alléchantes soient-elles, n’accouchent pas toujours des meilleurs résultats. Et si « Blue et Cie, amis imaginaires » est plastiquement irréprochable, le fond est plus maladroit et mal fichu.

    Le problème majeur du long-métrage vient probablement de son script qui s’avère frustrant tant il y avait à faire, à dire et à montrer sur un tel sujet et qu’il reste en surface de beaucoup de choses. Les moments d’émerveillement sont trop courts; par exemple la découverte de l’hospice des AI (ou Amis Imaginaires et non Intelligence Artificielle) est plutôt bien ficelée mais bien trop courte et servie un peu trop tôt dans le film. Quant à la progression narrative et dramatique de l’histoire, elle navigue à vue, le script avançant par à-coups, amorçant des pistes et intrigues sans vraiment les développer. Il en résulte un sentiment d’inachevé et brouillon malgré un discours convenable (et attendu) sur le besoin de garder son âme d’enfant. En revanche, le final plus ou moins surprenant (si on y réfléchit, il se révèle logique) est de toute beauté et fait enfin naître l’émotion qui manquait au film. Mais bien trop tard.

    Les acteurs ne sont pas en faute. Ryan Reynolds est à sa place dans un rôle qui lui va comme un gant tandis que la jeune Cailey Fleming apporte la maturité et la malice nécessaire au rôle principal. La qualité première de « Blue & Cie, amis imaginaires » (un titre français volé à « Monstres & Cie », tout comme l’ami imaginaire vedette du titre, photocopie de Sullivan du film Pixar) est sans conteste son impeccable travail visuel. La mise en scène de Krasinski est légère et virevoltante tandis que les effets spéciaux mettant en scène cette faune d’amis imaginaires plus étranges les uns que les autres est à la pointe de la technologie en la matière. Le mix entre l’animation et le film live est parfaite, il n’y a rien à redire. On aurait d’ailleurs aimé en voir plus puisque c’est tout de même la base du film. Davantage de séquences avec certains d’entre eux aurait également amené plus d’humour, mais même à ce niveau c’est un peu chiche. Enfin, cette production souffre d’avoir la bobine entre deux publics : trop réflexif pour les enfants et trop puéril pour les adultes, ce traitement quelque peu batard sans le vouloir est peut-être aussi la raison de cette déception. Au final, le film ne nous a pas touché ou émerveillé autant qu’attendu. Bref, on n’a pas retrouvé notre âme d’enfant malgré la bonne volonté derrière.

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    Diabloxrt
    Diabloxrt

    38 abonnés 1 457 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 juin 2024
    "Blue & Compagnie" est un film que je n'attendais pas du tout. Même si j'aime assez bien le style visuel de John Krasinski, le long-métrage allait à l'opposé de ce que je connaissais de lui. Et au vu des bandes-annonces et de la présence de Ryan Reynolds au casting, on semblait se diriger vers un film assez classique, et sur du déjà-vu. Sauf que la surprise fut réellement grande au moment de mon visionnage, car même s'il a quelques défauts, j'ai adoré ce film. Et c'est là que l'on voit qu'il ne faut jamais se fier à la promotion d'un projet, car c'est toujours le résultat final qui compte. Alors que je m'attendais à ce que ce dernier soit tourné vers l'humour avant tout, je me suis retrouvé face à un film humain et profondément profond dans ces thématiques. Tout tourne autour de l'enfance et sur le fait de grandir, face à un monde cruel et parfois injuste. L'apport de l'ami imaginaire vient réellement de cette envie, c'est lui qui apporte ce réconfort et qui permet de s'évader dans cette dure réalité. Le film pose totalement l'idée de nous maintenir dans nos rêves et dans notre imaginaire, pour continuer à être heureux, sans être influencé trop négativement par le monde qui nous entoure. J'ai beaucoup aimé cette approche, car tout est fait pour que cette thématique soit correctement traitée. Pour commencer, cela passe par des personnages particulièrement attachants. Je pense notamment à Bea, qui est parfaitement interprété par Cailey Fleming, elle est vraiment bluffante et elle réussit à nous faire verser une petite larme à la fin du long-métrage. Cela passe également par le fait de donner vie à ce monde imaginaire, via des effets spéciaux et des décors de qualité. Il y a beaucoup d'idées visuelles très intéressantes, la toute première scène dans ce monde imaginaire le représente très bien d'ailleurs. On passe d'un décor à l'autre sans que les transitions ne soient trop brusques, mais dans l'optique de montrer le côté vaste de l'imaginaire. Et finalement, même l'humour fonctionne très bien ! C'est certes un peu enfantin, mais le timing et le rythme des gags fonctionnent, donc on peut facilement se mettre à rire face à ces derniers. Cependant, je dois quand même émettre un petit point noir en ce qui concerne le rythme, qui est assez inégal. L'introduction prend vraiment son temps, ce qui est top, mais le reste du film passe donc à toute vitesse. On a comme le sentiment que le scénario nous rattrape dans les 30 dernières minutes, comme s'il avait oublié de commencer et qu'il devait se rattraper. Une transition plus douce, par l'ajout de 10/15 minutes supplémentaires, aurait vraiment rendu parfait le tout. Globalement, je vous conseille donc ce long-métrage. Il m'a fait un bien fou, et c'est sûr que je vais le revoir un jour ! Pour conclure, un moment particulièrement plaisant.
    Camilla DM
    Camilla DM

    22 abonnés 181 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 mai 2024
    Même si je ressors du film en me disant qu’il aurait pu être plus abouti, il n’empêche que je n’ai quasiment pas arrêté de pleurer. Alors certes je suis hypersensible, ça n’aide pas mais Blue & Compagnie est vraiment très émouvant. Il se veut émouvant d’ailleurs et tire un peu trop sur cette corde, mais évidemment ça fonctionne avec moi.
    Cela étant, j’ai du mal à « caser » cette histoire. Moi-même adulte, il y a une logique qui m’échappe et qui plus est, je trouve ça trop complexe pour de jeunes enfants. Toutefois, je l’ai vu avec ma fille de 5 ans qui, certes n’a rien compris, mais a trouvé ça mignon et a beaucoup aimé les apparitions des amis imaginaires. Fan de Krasinski, je trouve que cette histoire a un beau potentiel mais il aurait fallu la peaufiner davantage.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    699 abonnés 3 038 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 octobre 2024
    If confond plusieurs films américains déjà existants : Monsters, Inc. (Pete Docter, 2002) et Coco (Lee Unkrich et Adrian Molina, 2017) pour la nécessité rencontrée par d’anciens amis imaginaires de reconquérir leur enfant respectif, sans quoi ils viendraient à disparaître dans l’oubli, Big Fish (Tim Burton, 2003) pour l’éloge de la fiction à même de raccorder les adultes à l’émerveillement et à l’espoir, The BFG (Steven Spielberg, 2016) enfin pour son travail sur les échelles rassemblant humains et créatures numériques ainsi que pour sa photographie magnifique que signe d’ailleurs Janusz Kamiński, fidèle collaborateur de Spielberg. Ce pot-pourri d’influences donne lieu à un film impersonnel dont la poésie demeure théorique, c’est-à-dire de l’ordre de l’intention scénaristique ; à l’écran, rien n’advient, la faute à des séquences prévisibles qui énumèrent les clichés et les facilités narratives. Non, en réalité une poésie naît bien de tout cela, due exclusivement à la partition musicale de Michael Giacchino : ce dernier sauve le long métrage par sa créativité et son allégresse – ce n’est pas la première fois d’ailleurs ! –, confère à l’ensemble une authenticité tout autant portée par les thèmes que par les instruments choisis. John Krasinski confirme son statut de réalisateur et de comédien médiocres, quoique plus supportable que le trublion Ryan Reynolds ici déguisé en clown triste.
    Chaîne 42
    Chaîne 42

    146 abonnés 3 086 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 juillet 2024
    Ce film c'est un peu l'imagination à l'état brut référence à Harvey film de 1950 avec James Stewart dont on voit quelques images au début. C'est farfelu, assez joli souvent sympathique parfois mais très sentimentaliste, un peu trop car on s'y perd et cela devient assez creux à certains moments.
    Alolfer
    Alolfer

    132 abonnés 1 163 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 mai 2024
    En voici une belle surprise. John Krasinski tient un film sincère, plongé dans un univers fantastique où un ou une enfant se met à grandir. C est très simpliste et il manque cruellement d'enjeux mais l essentiel est là : simple mais efficace grâce à l'émotion dégagé ! Une belle surprise
    Marc L.
    Marc L.

    45 abonnés 1 598 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 septembre 2024
    Peut-être est-ce parce que les acteurs ont toujours l’air empruntés lorsqu’ils doivent jouer face à une balle de tennis dont on leur a dit qu’elle serait un chien volant à l’écran…mais en tout cas, dans les films qui mêlent acteurs réels et créatures numériques, lac règle veut que plus les créatures en question sont éloignées de tout anthropomorphisme et ont une dégaine enfantine, moins la pilule passe. Ici, on ne sait pas trop pourquoi, surtout qu’il y a de grosses bébêtes à poils mauves, des filles-abeilles sorties d’un Silly Symphonies, des blobs, des petites souris et des licornes, mais ça passe plutôt bien. John Krasinski avait jusqu’à présent tourné deux (bons) films d’horreur, et vient de passer sans crier gare à la superproduction familiale. Malgré la base de travail - une pré-ado a le pouvoir de voir les amis imaginaires esseulés - Krasinski se débrouille pour ne pas rendre le tout trop hystérique, peut-être parce qu’au-delà de sa facture de grande parade de monstres gentils, ‘Blue et compagnie’ essaie de toucher aussi les adultes en les invitant à ne pas perdre leur âme d’enfant. Incidemment, ‘Blue et compagnie’ met en avant presque les mêmes idées que le récent film d’animation “L’imaginaire” des studios Ponoc. Comme il est aussi plus proche des goûts mondialisés du public, on ne manquera pas d’établir un rapprochement avec quelque chose comme ‘Vice-versa’ et, au-delà, avec les thématiques de prédilection des productions Pixar, après lesquelles il court sans vraiment parvenir à les atteindre. Ce n’est pas la faute des scénaristes ou du réalisateur : simplement, un film en prise de vues réelles force davantage un point de vue imposé que l’animation, et ne peut donc générer de l’émotion que si le spectateur se situe précisément sur la même longueur d’onde. Ceci dit, ‘Blue & compagnie’ parvient en grande partie à éviter d’être aussi insupportable que le sont en général les grosses productions familiales de cet acabit, dont il parvient à s’approprier la plupart des qualités sans embarquer tous leurs défauts dans la foulée.
    No B
    No B

    29 abonnés 82 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 mai 2024
    Scénario intéressant mais réalisation à demi teinte. Un solide jeu d'acteurs et de doubleurs. Notamment la petite jouant B et Ryan Reynolds.
    Une image 3D pas désagréable et qui se fond bien dans le paysage.

    Une histoire un peu longuette et pas facile pour des enfants de moins de 10 ans. L'histoire ennuiera peut-être les adultes les accompagnant.

    C'est dommage car il y avait beaucoup de potentiel dans cette histoire. Mais ce n'est pas assez assumé. Parfois, j'ai l'impression qu'on a tendance à virer le côté dramatique pour se focaliser uniquement que sur la joie ou la nostalgie. Ou par exemple l'histoire en elle-même de B avec sa mère ou son père reste en surface.

    Film donc qui cherchera son public.
    Arthur Brondy
    Arthur Brondy

    231 abonnés 999 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 juillet 2024
    À la frontière de l’animation et du film réel, ce film raconte l’histoire des amis imaginaires de nos enfances et oubliés. C’est tendre et sympathique mais un peu léger.
    Flower 0478
    Flower 0478

    69 abonnés 263 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 mai 2024
    woah quel belle surprise la jeune actrice qui qui joue dans le film est attachante, touchante et l'acteur Ryan Reynolds joue bien également cette histoire nous rappelle que c'est important de garder son côté enfantin je conseille ce film.
    Simon Bernard
    Simon Bernard

    145 abonnés 565 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 juin 2024
    Bea est une jeune fille qui revient à New-York après une longue absence pour accompagner son père qui se fait opérer dans un hôpital. Elle redécouvre l'appartement où elle vivait heureuse avec ses parents du temps où sa mère était encore en vie, convaincue que ces souvenirs sont du passé et qu'elle n'est plus une enfant. Soudain, Béa fait la rencontre de créatures étranges. En salle le 8 mai.

    spoiler: "Blue et Compagnie" reprend un format plutôt ancien de divertissement consistant à mélanger des scènes réelles tournées avec des acteurs et des personnages cartoon, comme Roger Rabbit. Le film est sympathique à regarder. L'image est correcte, les textures des AI sont plutôt travaillées et même si ce n'est pas du grand acting c'est un plaisir de retrouver Ryan Reynolds. L'intrigue est facile à deviner notamment le twist final qui est absolument couru d'avance, mais a le mérite de ne pas tomber dans pathos. On ne cherche pas à nous faire pleurer à tous prix par rapport à la mort de la mère par exemple. Pourquoi pas !
    Donatelloow
    Donatelloow

    44 abonnés 284 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 mai 2024
    Un très joli film familial qui déborde de belles histoires et de bienveillance. Les morales du film sont très touchante et les liens avec le monde de l'imaginaire très bien construits. Les acteurs sont plutôt bons, notamment la jeune héroïne qui insuffle beaucoup de fraîcheur au film. Il y a quelques longueurs dans le film ce qui est dommage. Par contre, je n'ai pas compris le titre français du film, parce que finalement on voit très peu Blue. Ils auraient mieux fait de garder le titre original qui correspond mieux à mon sens.
    dragonfly_182
    dragonfly_182

    14 abonnés 87 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 juillet 2024
    Après l'horreur, John Krasinski s'attaque au conte familial fantastique. Bien que ce ne soit pas le même genre, on sent comme une baisse de qualité côté scénario. Blue & Compagnie est un joli film, touchant et sincère. Il manque cependant d'un petit quelque chose. Un peu plus d'émotions, d'enjeux pour espérer un peu plus d'implication de la part du spectateur.

    Le cœur y est, notamment en introduction lorsque l'on découvre la passion de l'héroïne, Béa. Là où c'est l'âge qui éloignait les personnages de leurs jouets/ hobby dans Toy Story ici, c'est un drame qui déclenche tout. Seulement, il est mis en retrait au point de devenir secondaire voire anecdotique. On ne voit pas de lien avec les amis imaginaires (AI) du récit si n'est qu'ils veulent (re)trouver un "ami réel". Ok, mais quel est le rapport avec ce drame ? Comment tout cela est-il lié ? Dans le même temps, la quête de Béa et Cal (Ryan Reynolds) semble dépourvue de motivation.

    C'est un peu dommage car l'émotion qui aurait dû provenir de cet événement marquant est délaissée au profit d'une aventure quelque peu banale sous couvert de raccourcis concernant les AI (spoiler : spoiler: la "propriétaire" d'un AI abandonné se trouve comme par hasard être la grand-mère de Béa
    ). Pourtant, John Krasinski avait parfaitement réussi à mêler émotion et horreur dans Sans un bruit. On comprend le sens mais c'est un peu maladroit pour y croire pleinement.

    Blue & Compagnie reste néanmoins très sympathique. Il emporte l'adhésion et montre une fois de plus la bienveillance et l'espoir qui animent les histoires de son réalisateur, bien aidé par une superbe partition de Michael Giacchino.
    babatabary
    babatabary

    13 abonnés 68 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 mai 2024
    Très bon film pour toute la famille, même si les plus jeunes ne comprendront peut pas toutes les subtilités du scénario.
    Président Bird
    Président Bird

    4 abonnés 154 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 mai 2024
    J'ai trouvé ça un peu mélodramatique mais les enfants ont aimé apparemment. Quelques moments amusants aussi. Mon élément préféré est l'immeuble new-yorkais dans lequel une bonne partie du film a lieu. Beaucoup de bois, de chaleur et de souvenirs.
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