Un nouveau thriller psychologique espagnol avec Mario Casas beaucoup plus classique et moins convaincant que "Contratiempo", même si l'histoire tient en haleine jusqu'au bout. Beaucoup de facilités dans le scenario rendent l'ensemble tout juste moyen.
Sur papier le film El Praticante est un film psychologique dont l’intrigue laisse le spectateur en haleine. Mais quelle déception et surtout quel ennuie ! Le film est mou, sans intérêt, dans une ambiance terne et vieillotte. Les acteurs sont à la hauteur du film, NUL. Je cherche encore l’aspect psychologique de ce film.
Pas mal pour un film espagnol. Un peu lent, un thriller pas mauvais. Par contre la fin du film est excellent... spoiler: Je n'aimerais pas être à la place du type quand elle le sort de l'hôpital 😂😂😂
Surpris de voir aussi peu de bonnes notations pour ce film que j'ai trouvé palpitant, avec des scènes plutôt comiques. En effet, le personnage d'Angel est plutôt dérangeant au début du film, présenté comme un mâle dominant assoiffé de relations sexuelles, mais la tendance s'inverse par la suite avec une forme de pitié qui va émaner des spectateurs. Le fait que beaucoup de scènes soient à huit clos ne gêne pas tant que ça l'avancée du film, et cela crée au contraire une atmosphère unique de mal-être. Très satisfait.
Un thriller ibérique balisé, qui pioche un peu chez Misery un peu chez Liaison Fatale, autrement dit du déjà vu et qui peine à monter en puissance et à assurer son climax. Le personnage principal est un fumier de pervers narcissique en fauteuil roulant qui ferait détester les handicapés.
je l'ai vu hier soir, c'est un bon thriller, à la hitchcock un bon suspence un bon scénario, haletant, simple mais éfficace, je le recommande vivement, une bonne surprise espagnole
Habituellement je n'aime pas le cinéma espagnol que je trouve trop trivial notamment dans l'écriture de ses personnages, je ne m'attendais à rien de bien fameux avec ce film, il s'agit pourtant d'un bon petit thriller bien ficelé, la narration chemine intelligemment, l'acteur principal fait du bon boulot pour camper un personnage amer et pervers, le tout dégageant une atmosphère de réalisme (à l'exception d'une séquence, et encore), pari pas évident à tenir vu la particularité roulante de l'antagoniste. Bon film de genre. Alors oui la fin est un peu faible mais c'est un retournement de situation correct pour clore le récit.
Thriller espagnol correcte toutefois il reste très prévisible. L'ambiance générale est plutôt bien géré, mais n'es au final pas si malsaine que ça, le film aurait gagné à être légèrement plus glauque et dérangent, car la plupart des situations on un goût de déjà-vu, surtout la deuxième partie du film, Misery faisait aussi bien il y a 30ans. Et cette fin gâche un peu l'ensemble car hautement improbable, après toutes ces péripéties il y a bien du avoir une légère enquête, ne serait-ce qu'après l'incident finale, spoiler: donc le fait qu'elle puisse récupérer son ex a l'hôpital comme si il ne s'était rien passé laisse perplexe . Sinon le tous est plutôt bien interpréter, pas un chef-d'oeuvre, mais permet de passer le temps.
Malgré un synopsis intéressant et un bon casting, j'ai finalement attendu que l'intrigue se lance durant tout le film. Je ne suis pas contre un tempo lent, cela permet à une intrigue de bien s'installer, le problème ici est que l'on passe son temps à attendre quelque chose qu'on a déjà anticipé. C'est fort dommage car encore une fois, le synopsis était prometteur et les acteurs tous bourrés de talent et convaincants. Cela m'a permis de rester prise dans le film jusqu'au bout malgré tout. Je ne le recommanderais pas autour de moi, cela dit il peut faire passer le temps faute de mieux.
Un ”thriller” espagnol de Carles Torras avec Mario Casas, le beau brun aux yeux de braise déjà vu entre autres dans ”Contratiempo” de Oriol Paulo et plus récemment dans ”Chez moi” de David Pastor et Àlex Pastor. Le principal rôle féminin est tenu par la comédienne belge Déborah François (”L’enfant” des frères Dardenne, ”Le Premier Jour du reste de ta vie” de Rémi Bezançon, ”Populaire” de Régis Roinsard) Résumé sommaire : Condamné à vivre en fauteuil après un accident, Ángel qui était le comble du machisme décide de se venger de ceux qui l'ont trahi, en particulier de la femme qui l'a quitté au pire moment. Je ne mets qu’une note ”tiède” car bien que le rythme soit quand même plutôt lent, le départ m’a séduite, je me suis demandée où l’histoire allait me conduire... mais j’ai eu droit surtout à un huis clos entre le bourreau et sa victime avec une fin (même pratiquement la seconde moitié du film) qui tombe un peu trop, à mon goût, dans le ”grand guignol” et m’a désenchantée.