Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Sûr de son regard sensible et de son suspense suggérant un drame imminent, le film prend son temps, méthodiquement. À ce rythme posé, il offre un bel espace de jeu aux acteurs, souvent remarquables, au risque d’une certaine lourdeur quand plus personne n’échappe à la déprime ambiante.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Télérama
par Jacques Morice
Frédéric Videau (Variété française, À moi seule) ne juge personne. Il donne vie à chacune et chacun, faisant de ces femmes et hommes, entre 20 et 60 ans, des personnages tragi-comiques, pétris de contradictions, frustrés et sous tension.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un drame crépusculaire, plein de désespoir et de colère.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Frédéric Videau charge un peu trop la barque, à force de vouloir cocher toutes les cases du mal-être policier (dépression, bavure, suicide). Il parvient malgré tout à dépasser le traité de sociologie. On sent les hommes et les femmes, sous l’uniforme.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Clarisse Fabre
Etonnant objet que cet élégant polar, au tempo calme et millimétré (...).
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
La beauté et la douceur sont-elles suffisantes pour nettoyer la merde? Non évidemment. C’est la tragédie qui est au cœur de Selon la police. Constat d’une impasse comme Bac Nord mais totalement affranchie des caricatures qui gangrènent le film de Jimenez, Selon la police indique que notre seule chance d’en sortir est la pratique d’une douce désobéissance et d’une violente remise en cause.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Lucile Commeaux
Sort un film dont le titre reprend une formule d’usage médiatique : “selon la police”. On y soupçonne une ironie, un jeu, un point de vue de cinéma sur ce cliché de langue ; malheureusement, le propos reste sage et ménage maladroitement chèvre et chou.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Un scénario de tous les malheurs, ce qui fait beaucoup pour un seul film, lourd de son accumulation démonstrative.
L'Obs
par François Forestier
Fondé sur des anecdotes authentiques, le film de Frédéric Videau (« Variété française ») est décousu, prévisible, bancal. C’est dommage : le sujet d’actualité se prêtait au polar noir. Il ne reste qu’un brouillon bien intentionné, mais maladroit.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Après À moi seule, inspirée de l’histoire de Natascha Kampusch, Frédéric Videau revient avec un tableau contrasté mais un peu artificiel de l’état de la police aujourd’hui.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Un scénario de tous les malheurs, ce qui fait beaucoup pour un seul film, lourd de son accumulation démonstrative.
Ouest France
par La Rédaction
Une oeuvre polyphonique qui manque de fluidité.
Le Parisien
par La Rédaction
Tout est bancal, raté : le récit qui tourne en rond quand il ne donne pas envie de ronfler, les scènes qui content les rapports entre la police et les jeunes en banlieue - avec des séquences parfois très limites - ou celles dans le commissariat, absolument désolantes de naïveté, une image digne d’un téléfilm des années 1980…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Joseph Cartron
Ce drame social à la structure chorale voudrait sans doute laisser son public sans voix, mais son esprit de sérieux finit par lui être fatal, et le film prête plutôt à rire.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
Et c’est précisément ce mélange des genres - symbolisé par ce choix d’une écriture sophistiquée pour raconter une réalité quasi documentaire - qui ne fonctionne pas. Cette artificialité abîme le récit jusqu’à une dernière ligne droite si prévisible qu’elle en perd tout impact.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Journal du Dimanche
Sûr de son regard sensible et de son suspense suggérant un drame imminent, le film prend son temps, méthodiquement. À ce rythme posé, il offre un bel espace de jeu aux acteurs, souvent remarquables, au risque d’une certaine lourdeur quand plus personne n’échappe à la déprime ambiante.
Télérama
Frédéric Videau (Variété française, À moi seule) ne juge personne. Il donne vie à chacune et chacun, faisant de ces femmes et hommes, entre 20 et 60 ans, des personnages tragi-comiques, pétris de contradictions, frustrés et sous tension.
Voici
Un drame crépusculaire, plein de désespoir et de colère.
Le Figaro
Frédéric Videau charge un peu trop la barque, à force de vouloir cocher toutes les cases du mal-être policier (dépression, bavure, suicide). Il parvient malgré tout à dépasser le traité de sociologie. On sent les hommes et les femmes, sous l’uniforme.
Le Monde
Etonnant objet que cet élégant polar, au tempo calme et millimétré (...).
Les Inrockuptibles
La beauté et la douceur sont-elles suffisantes pour nettoyer la merde? Non évidemment. C’est la tragédie qui est au cœur de Selon la police. Constat d’une impasse comme Bac Nord mais totalement affranchie des caricatures qui gangrènent le film de Jimenez, Selon la police indique que notre seule chance d’en sortir est la pratique d’une douce désobéissance et d’une violente remise en cause.
Cahiers du Cinéma
Sort un film dont le titre reprend une formule d’usage médiatique : “selon la police”. On y soupçonne une ironie, un jeu, un point de vue de cinéma sur ce cliché de langue ; malheureusement, le propos reste sage et ménage maladroitement chèvre et chou.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un scénario de tous les malheurs, ce qui fait beaucoup pour un seul film, lourd de son accumulation démonstrative.
L'Obs
Fondé sur des anecdotes authentiques, le film de Frédéric Videau (« Variété française ») est décousu, prévisible, bancal. C’est dommage : le sujet d’actualité se prêtait au polar noir. Il ne reste qu’un brouillon bien intentionné, mais maladroit.
La Croix
Après À moi seule, inspirée de l’histoire de Natascha Kampusch, Frédéric Videau revient avec un tableau contrasté mais un peu artificiel de l’état de la police aujourd’hui.
Le Dauphiné Libéré
Un scénario de tous les malheurs, ce qui fait beaucoup pour un seul film, lourd de son accumulation démonstrative.
Ouest France
Une oeuvre polyphonique qui manque de fluidité.
Le Parisien
Tout est bancal, raté : le récit qui tourne en rond quand il ne donne pas envie de ronfler, les scènes qui content les rapports entre la police et les jeunes en banlieue - avec des séquences parfois très limites - ou celles dans le commissariat, absolument désolantes de naïveté, une image digne d’un téléfilm des années 1980…
Les Fiches du Cinéma
Ce drame social à la structure chorale voudrait sans doute laisser son public sans voix, mais son esprit de sérieux finit par lui être fatal, et le film prête plutôt à rire.
Première
Et c’est précisément ce mélange des genres - symbolisé par ce choix d’une écriture sophistiquée pour raconter une réalité quasi documentaire - qui ne fonctionne pas. Cette artificialité abîme le récit jusqu’à une dernière ligne droite si prévisible qu’elle en perd tout impact.